Quantcast
Channel: actu.fr - Toute l'information nationale, régionale et locale.
Viewing all 47515 articles
Browse latest View live

Le pilote normand de Formule 1 Esteban Ocon veut briller avec Renault

$
0
0
Cette saison, Esteban Ocon pilotera une Renault.

Cette saison, Esteban Ocon pilotera une Renault. (©DR)

Depuis le retour de la marque au losange en Formule 1 en 2016, pas un Français n’avait piloté la monoplace Renault. C’est donc, en cette saison 2020, le Normand Esteban Ocon qui va mettre fin à cette disette en devenant, après Romain Grosjean, Patrick Tambay, Philippe Streiff, François Hesnault, René Arnoux, Alain Prost et Jean Pierre Jabouille, le huitième pilote tricolore à courir pour la marque Française.

Lire aussi : Formule 1. Pierre Gasly et Esteban Ocon, deux pilotes de Normandie dans l’élite

A 23 ans, le natif d’Evreux sait donc tout le poids qui repose désormais sur ses épaules. « Mais ça ne me fait pas peur, bien au contraire. Je suis tellement fier de courir désormais pour Renault. »

Fils de garagistes à Evreux

C’est d’ailleurs au volant de la marque française que le Normand a débuté sa carrière en monoplace en 2012, après huit ans passés sur les pistes de karting grâce à ses parents Laurent et Sabrina, garagistes à Evreux. De la Formule Renault à la Formule 3 en passant par la GP2 aux côtés notamment d’un autre Normand, le Bois-Guillaumais Pierre Gasly, Esteban Ocon s’est vu confier son premier baquet de Formule 1 en tant que pilote de réserve chez Renault en 2016 avant, en août de cette même année, de rejoindre l’écurie Manor Racing pour son premier Grand Prix à Spa en Belgique où il devient à 19 ans et 345 jours, le plus jeune Français à prendre le départ d’une épreuve de Formule 1.

C’est ainsi que débute sa carrière parmi les vingt meilleurs pilotes du monde, c’est aussi ce jour-là qu’il choisit son numéro permanent, le 31, numéro fétiche avec lequel il avait obtenu le premier titre de champion de France minimes de karting de sa carrière en 2007.

« C’est très excitant »

Dès lors, ce sont 50 courses chez Manor et Force India qu’Esteban Ocon a disputé. La 51e, ce sera en Australie, le 15 mars prochain pour le premier Grand Prix de la saison 2020. « Evidemment, j’ai hâte » reprend-t-il. 

 « C’est très excitant et j’ai hâte de tester la nouvelle voiture à Barcelone. Nous avons eu beaucoup de temps pour nous préparer et je me sens prêt à relever le défi. J’ai vraiment hâte de recommencer à courir – là où je veux être – après avoir attendu un an. Il y a beaucoup de nouveaux éléments sur la voiture de cette année et les gars ont travaillé dur pour trouver des performances supplémentaires. Tout est question de détails en Formule 1 et j’ai vu pas mal de détails sur la Renault R.S.20. C’est excitant de voir le design, mais la prochaine chose que vous voulez, c’est être derrière le volant et ressentir ce que c’est. « 


Municipales 2020. Christophe Fambon brigue un nouveau mandat à Roz-sur-Couesnon

$
0
0
Les 15 noms de la liste « Nouveaux horizons pour Roz-sur-Couesnon » qui n'est pas pour l'heure dans l'ordre officiel. De gauche à droite, au premier rang : Marie-Françoise Eugie ; Fabien Bodin ; Sandrine Pontais ; Christophe Fambon, Sophie Kiépura ; Claudie Macon ; Yannick Even ; Bertrand Duine. Deuxième rang : Lucy Lestienne ; Félix Piat ; Marie-Jeanne Henri ; Michel Vaévien ; Jean-Paul Fortin, Marie-Anne Kerbiriou ; Henri Guené.

Les 15 noms de la liste « Nouveaux horizons pour Roz-sur-Couesnon » qui n’est pas pour l’heure dans l’ordre officiel. De gauche à droite, au premier rang : Marie-Françoise Eugie ; Fabien Bodin ; Sandrine Pontais ; Christophe Fambon, Sophie Kiépura ; Claudie Macon ; Yannick Even ; Bertrand Duine. Deuxième rang : Lucy Lestienne ; Félix Piat ; Marie-Jeanne Henri ; Michel Vaévien ; Jean-Paul Fortin, Marie-Anne Kerbiriou ; Henri Guené. (©La Gazette de la Manche)

Le maire sortant de Roz-sur-Couesnon (Ille-et-Vilaine), Christophe Fambon a fait le choix de briguer un nouveau mandat à la tête de la liste sans étiquette « Nouveaux horizons pour Roz-sur-Couesnon ».

Six sortants sur la liste

Cette liste est constituée autour de six conseillers et adjoints sortants et de huit nouveaux candidats.

Une liste dont la moyenne d’âge n’excède pas 47 ans.

Christophe Fambon explique

À la vue de l’étendue de la commune plus de 50 hameaux et lieux-dits, les candidats sont issus de l’ensemble du territoire (polders, marais, centre bourg, village et hameaux). Cette liste est composée de femmes et d’hommes de sensibilités et de milieux socioprofessionnels différents. Elle se veut au service de la population afin de répondre aux enjeux de l’équilibre de notre territoire à l’horizon 2026 » .

Un programme en cours d’élaboration

Le programme est en cours d’élaboration. Le candidat évoque « une démarche politique et participative de projet de territoire s’appuyant sur toutes les forces vives, pour accélérer la mise en œuvre des transitions indispensables afin de relever les défis auxquels nous sommes confrontés ».

L’ambition est de faire de Roz-sur-Couesnon une commune littorale rurale à vivre, alliant dynamisme économique, création de richesses, préservation de l’environnement, qualité de vie et cohésion sociale. C’est aussi une équipe qui s’inscrit au cœur de l’évolution sociétale (changement climatique, être éco-responsable, conjuguer développement durable et économique…) pour construire notre territoire de demain ».

Des thèmes majeurs dévoilés

  • la consultation citoyenne « sur des projets majeurs et la constitution des Groupes Actions Projet ».
  • L’aménagement du bourg fait partie des projets « là encore avec une action participative ».
  • Le groupe scolaire, avec garderie et restauration scolaire,
  • la mise en accessibilité des espaces publics
  • la création d’un Espace intergénérationnel au sein du quartier du Vieux Chêne sont au cœur des projets de la liste menée par le maire sortant.

Bien vivre ensemble

Nous voulons accompagner les différentes tranches d’âges de notre population à vivre ensemble. L’espace intergénérationnel, en complémentarité avec la résidence senior, sera un lieu où se dérouleront des animations, des ateliers, des rassemblements familiaux à destination des personnes à mobilité réduite, mais aussi à la population dans une salle dédiée.

Des espaces de santé

Le développement de l’accès à la santé passera par la réalisation de quatre espaces à destination des professions libérales. .

Les candidats

  1. Christophe Fambon (tête de liste), conseiller d’éducation, 49 ans, maire ;
  2. Sophie Kiépura, contrôleur des Finances publiques, 46 ans, conseillère ;
  3. Jean-Paul Fortin, exploitant agricole, retraité, 70 ans, adjoint ;
  4. Marie-Jeanne Henri, enseignante, retraitée, 70 ans, conseillère ;
  5. Michel Vaévien, exploitant agricole, 52 ans, adjoint ;
  6. Marie-Anne Kerbiriou, enseignante, 39 ans, conseillère ;
  7. Yannick Even, cadre Télécom, retraité, 66 ans, conseiller ;
  8. Lucy Lestienne, chef d’entreprise, 50 ans ;
  9. Henri Guené, paysagiste, retraité, 66 ans ;
  10. Marie-Françoise Eugie, agent SNCF, 50 ans ;
  11. Bertrand Duine, chef d’entreprise, artisan, 32 ans ;
  12. Claudie Macon, enquêtrice civile, 39 ans ;
  13. Félix Piat, exploitant agricole, 32 ans ; Sandrine Pontais, infirmière libérale, 33 ans ;
  14. Fabien Bodin, salarié spécialisé, 21 ans.

Seine-et-Marne. Nouvel élan pour le Marais de Larchant

$
0
0
Le marais de Larchant photographié avec un drone

Le marais de Larchant photographié avec un drone (©Marais de Larchant)

Du nouveau pour la Réserve naturelle du Marais de Larchant. Le site classé depuis 2008 Réserve Naturelle régionale de 124 ha dispose depuis peu d’un nouveau plan de gestion pour les 10 prochaines années.

« Le précédent plan de gestion s’était achevé en 2013, explique Céline Despres, chargée d’étude scientifique au sein de l’association de la réserve naturelle du marais de Larchant (ARNML). Ce nouveau plan de gestion nous permettra d’obtenir des financements pour l’entretien de la réserve et de renforcer nos relations avec les institutions locales ».

Parmi les enjeux dressés par l’association figure l’amélioration de la connaissance scientifique. « Des hydrologues vont étudier de près le fonctionnement du marais pour tenter de comprendre ses cycles hydrologiques », affirme Céline Despres.

Autre enjeu : la gestion du milieu naturel. « Des travaux sont en cours et nous espérons développer une mosaïque d’habitants », souligne la chargée d’étude de l’association qui évoque également une zone atypique du marais. « C’est une zone forestière qui s’est développée sur un sol sablonneux, détaille Céline Despres. Pourquoi pas se rapprocher de l’ONF pour la gestion de cette zone » ?

Enfin le dernier enjeu mis en avant par l’équipe de l’association est l’animation et la valorisation du site. « À défaut d’ouvrir le marais plus souvent, on essaie d’aller vers le public notamment en participant à la foire aux plantes ou en invitant les écoles », insiste la chargée d’étude scientifique. La prochaine visite du marais aura lieu le samedi 4 avril.

Renseignements :
Site internet : maraisdelarchant.fr Page Facebook : Marais de Larchant

Le marais de Larchant photographié avec un drone ©Marais de Larchant

Le Lot signe son premier emploi franc

$
0
0
Entourée des institutions qui ont suivi le projet, Aurélie Roger serre la main à sa nouvelle collaboratrice Karen Ourcival.

Entourée des institutions qui ont suivi le projet, Aurélie Roger serre la main à sa nouvelle collaboratrice Karen Ourcival. (©Marie-Françoise Plagès)

Vendredi 7 février, l’entreprise Edicad, spécialisée dans les logiciels PAO-DAO basée à Cahors, a recruté Karen Ourcival, du quartier de Terre Rouge, en CDI, et signé le premier emploi franc du Lot, en tant que chargée d’affaires export.

Edicad, qui existe depuis 20 ans, a été reprise en janvier 2019 par Aurélie et Pierre-Alain Roger. C’est une entreprise éditrice de logiciels et de métrés à destination des architectes et des maîtres d’œuvre, mais aussi de toutes les entreprises du bâtiment. Afin de développer la partie export, les gérants, en une année, sont passés de 10 à 20 collaborateurs. Dans le même temps, l’entreprise a connu une croissance de 18 %. La zone d’exportation est un secteur très prometteur pour l’entreprise.

Un dispositif d’aide à l’embauche

Les emplois francs sont un dispositif d’aide à l’embauche qui vise à répondre aux inégalités que subissent certaines personnes. À diplôme, âge et parcours équivalents, il est plus difficile d’accéder à un emploi pour les habitants des quartiers prioritaires de la politique de la ville. Ce dispositif est mis en œuvre par Pôle Emploi et les missions locales. Toute entreprise ou association du secteur privé reçoit une aide financière pour une embauche en CDI ou en CDD de 6 mois minimum. Seul critère demandé : que le salarié réside dans un quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV).

Pour 2020, la région Occitanie s’est fixée un objectif plancher de 1223 emplois francs, visant, pour le Lot, le seul quartier de la politique de la ville du département, Terre Rouge, à Cahors. À peine un mois après l’annonce de la généralisation du dispositif, le Lot enregistre déjà son premier contrat.

M-F PLAGÈS

Près de Montpellier. Vendargues, future place forte du cinéma français

$
0
0
Studios de France Télévision à Vendargues.

Studios de France Télévision à Vendargues. (©France Télévision)

Inaugurés il y a exactement deux ans à Vendargues dans l’Hérault, aux portes de Montpellier, les studios de tournage de France télévisions s’apprêtent à passer un nouveau cap en devenant une future place forte du cinéma français. 

D’une surface totale de 16 000m², les locaux de Vendargues ont permis à la production France TV Studio, filiale de production du groupe public, de trouver des espaces de grandes surfaces pour la réalisation de la série télévisée « Un si grand Soleil ».

Installés près de Montpellier, de Nîmes, de la Camargue et des plages, ces studios se sont révélés être un très bon choix pour la production : « facile d’accès, ils nous permettent d’avoir accès à la quintessence de ce qui fait la France d’aujourd’hui » avait expliqué Toma de Matteis, directeur délégué de France TV Studio en charge de la fiction et producteur d' »Un si grand soleil ».

Studios de France Télévision à Vendargues.

Studios de France Télévision à Vendargues. (© France Télévisions)

Plus de 10 millions d’euros d’investissement 

Construits dans la zone industrielle du Salaison, ces locaux, avaient nécessité un investissement de plus de 10 millions d’euros pour être monter de toutes pièces. Protégés des regards indiscrets, ils permettent notamment le tournage des 260 épisodes annuels d' »Un si grand soleil », et pourraient recevoir en 2020 de nombreux autres tournages.

Divisés en deux 

Des locaux qui devraient donc voir de nouvelles productions et pour lesquelles sont annoncés de futurs agrandissements. 

Les studios de Vendargues sont divisés en deux. Il y a d’un coté une superficie de  8 000 m2 dédiés à la production de la série. Cette première partie est composée des services administratifs, des loges des comédiens, des loges de maquillage ainsi que de deux grands studios de 1 100 m2 chacun, dans lesquels on retrouve toutes les pièces récurrentes de la série à savoir le commissariat, la geôle de prison, les appartements des personnages, le tribunal, le bureau du zoo, une rue,…

L'un des décors de la série Un si grand Soleil tournée dans les studios de Vendargues

L’un des décors de la série Un si grand Soleil tournée dans les studios de Vendargues (©France Télévisions )

La deuxième partie, elle-aussi de 8 000 m2 est quant à elle dédiée au stockage de tous les décors, accessoires et vêtements, de toutes les productions de France Télévisions. C’est cette partie permettant notamment la fabrication de nombreux décors qui devrait être agrandie. 

Devenir un haut lieu de tournage pour la France entière

« Actuellement basée en région parisienne, le site de post-production mobilise une vingtaine de personnes chaque jour. Notre volonté est d’installer ce site sur Vendargues », explique Olivier Roelens, producteur exécutif chez France Télévisions. « Pour cela, nous sommes en train d’étudier l’éventualité de construire de nouveaux équipements de production, ici dans le sud de la France ».

A terme, le site de Vendargues pourrait devenir un véritable un haut lieu de tournage pour la France entière.

Près de Caen, le WIP est le seul tiers-lieu de Normandie désigné « Fabrique de territoire »

$
0
0
Basé à la Grande Halle à Colombelles, près de Caen, le WIP a été distingué « Fabrique de territoire ».

Basé à la Grande Halle à Colombelles, près de Caen, le WIP a été distingué « Fabrique de territoire ». (©Liberté le bonhomme libre)

Tiers lieu dans la région de Caen (Calvados), le WIP est installé à la Grande Halle de Colombelles.

En devenant lauréat de l’appel lancé par le ministère de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales pour financer 80 tiers-lieux en France, le WIP devient « Fabrique de territoire », c’est-à-dire un tiers lieu « tête de réseau » qui va jouer le rôle à la fois de lieu « ressource » pour les porteurs de projets, de lieu de formation et d’apprentissage, et de lieu d’inclusion numérique.

Lire aussi : Grande Halle sur l’ancien site de la SMN : 5 000 personnes pour l’ouverture

250 000 euros sur 3 ans

À ce titre, explique sa directrice Ophélie Deyrolle :

Le WIP va recevoir une dotation financière de 250 000 € sur 3 ans.

Précisons que sur les 32 lauréats, le WIP est la seule fabrique numérique de tout le territoire normand. Parmi les projets, le WIP envisage un développement du medialab vers la radio avec Bazarnaum, et vers le montage vidéo dont l’accès sera ouvert à tous les publics (scolaires, étudiants, actifs, personnes éloignées de l’emploi…). Cette reconnaissance a été officialisée le jeudi 6 février 2020.

Un festival autour de l’art aura lieu au printemps prochain à la Grande Halle avec La Villette a annoncé le maire Marc Pottier

Un festival autour de l’art aura lieu au printemps prochain à la Grande Halle avec La Villette a annoncé le maire Marc Pottier (©Liberté le bonhomme libre)

« Un lieu ouvert sur les possibles »

La Grande Halle est un lieu ouvert sur les possibles, comme un écosystème d’acteurs dont les maîtres mots sont la bienveillance, la curiosité et l’ouverture sur l’extérieur, et enfin comme un lieu générateur de projets ancrés sur le territoire, explique le préfet Philippe Court.

Il a évoqué également les tiers lieux comme ayant un but quasi philanthropique afin de « faire ensemble pour mieux vivre ensemble ».

Lire aussi : Près de Caen. La Grande Halle de Colombelles, 18 mois de chantier pour redonner vie à un lieu symbolique

À l’annonce de la réussite de ce projet mené par le WIP & co, associé avec les autres tiers-lieux de Caen la mer que sont le Dôme, le Café des Images, le Tiers-Lieu Rive droite et la Micro-Folie de Colombelles, le maire Marc Pottier n’a pas caché sa joie devant cette « excellentissime nouvelle » comme il l’a qualifiée.

Après Territoire zéro chômeur de longue durée, c’est de nouveau une reconnaissance nationale pour Colombelles et pour celles et ceux qui s’engagent sur ce territoire pour penser et agir différemment et durablement aux services des habitants.

Un festival autour de l’art en avril

L’enveloppe de 250 000 € sur 3 ans apportée par ce label permettra de financer la Micro-Folie, un poste de médiateur mutualisé avec les partenaires, et une partie d’un poste de coordination. L’objectif étant d’atteindre à terme une autonomie financière complète, sachant que le coût annuel de fonctionnement du WIP est évalué à environ 500 000 €.

Parmi les futurs spectacles organisés dans la Grande Halle, le maire a annoncé la tenue d’un festival autour de l’art en avril prochain, en collaboration avec La Villette.

Municipales à Marolles : Roland Edeline, candidat à la mairie, a présenté sa liste

$
0
0
1er rang (de gauche à droite) : Patrice Groussard, Richard Daguin, Gilbert Lignel, Karine Cuadrado, Monique Bianchi, Tania Bouvier, Charlotte Catherine et Chantal Leroux. 2e rang : François Maës, Jean-Claude Ruaux, Guillaume Nuttens, Roland Edeline, Agnès Pilat, Benoît Potiron, Charlène Lemaitre.

1er rang (de gauche à droite) : Patrice Groussard, Richard Daguin, Gilbert Lignel, Karine Cuadrado, Monique Bianchi, Tania Bouvier, Charlotte Catherine et Chantal Leroux. 2e rang : François Maës, Jean-Claude Ruaux, Guillaume Nuttens, Roland Edeline, Agnès Pilat, Benoît Potiron, Charlène Lemaitre. (©Le Pays d’Auge)

Adjoint au maire sortant de Marolles (Calvados) près de Lisieux, Roland Edeline a présenté vendredi 7 février 2020 la liste qu’il mènera lors des prochaines élections municipales. Une liste renouvelée à près de 50 %, composée de 7 femmes et de 8 hommes. La moyenne d’âge est de 53 ans. 

Hommages à Antoine Maille, Francis Dutot et Michèle Deslandes

Après avoir salué le bon travail réalisé pendant la mandature d’Antoine Maille – le maire sortant qui ne se représente pas – et rendu hommage pour la durée de leur mandat à deux élus qui ont décidé eux aussi de ne pas repartir (Francis Dutot et Michèle Deslandes, élus respectivement pendant 31 et 19 ans), Roland Edeline a fait un rapide survol des projets qu’il a pour la commune.

L’aménagement du centre-bourg, un dossier lourd à monter dont le premier coup de pioche est prévu pour dans deux ans. Mais aussi la défense incendie avec la mise en conformité pour les permis de construire, une réflexion pour l’agrandissement du cimetière et continuer les travaux d’accessibilité, y compris un parking pour les personnes à mobilité réduite.

Roland Edeline veut terminer les chantiers en cours : la sente piétonnière et les travaux commencés sur l’église. Concernant les impôts locaux, la stabilité est envisagée.

La liste

Roland Edeline, 58 ans, artisan couvreur. Monique Bianchi, 72 ans, retraitée. Tania Bouvier, 54 ans, assistante direction comptable (nouvelle candidate). Charlotte Catherine, 37 ans, responsable administratif (nouvelle candidate). Karine Cuadrado, 53 ans, administration de ventes. Richard Daguin, 57 ans, comptable. Patrice Groussard, 58 ans, miroitier. Charlène Lemaitre, 27 ans, aide-soignante (nouvelle candidate). Chantal Leroux, 54 ans, assistante maternelle (nouvelle candidate). Gilbert Lignel, 54 ans, menuisier. François Maës, 51 ans, chauffeur (nouveau candidat). Guillaume Nuttens, 33 ans, agriculteur (nouveau candidat). Agnès Pilat, 68 ans, retraitée. Benoît Potiron, responsable magasin (nouveau candidat) et Jean-Claude Ruaux, 72 ans, retraité.

Sarthe : un accident entre deux voitures fait un mort et un blessé grave

$
0
0
Une personne est morte dans un accident survenu entre deux véhicules à La Flèche (Sarthe) jeudi 13 février 2020.

Une personne est morte dans un accident survenu entre deux véhicules à La Flèche (Sarthe) jeudi 13 février 2020. (©Les Nouvelles de Sablé)

Un accident impliquant deux véhicules est survenu jeudi 13 février 2020 à La Flèche (Sarthe). Une personne est morte, une autre, grièvement blessée, a été transportée par hélicoptère.

Lire aussi : Début d’incendie dans une entreprise de Sablé-sur-Sarthe

Une enquête en cours

« Les deux véhicules roulaient sur la route départementale 323 entre La Flèche et Bazouges. L’un venait de Bazouges et l’autre de La Flèche. Une enquête est en cours afin de déterminer pourquoi ces deux voitures se sont percutées », indique le commandant Lecomte de la compagnie de gendarmerie de La Flèche.

Les pompiers de La Flèche et de Luché sont intervenus sur les lieux.


Manche : une station SNSM lance un financement participatif pour renouveler ses moyens de sauvetage

$
0
0
La station SNSM de Jullouville vient de lancer un financement participatif afin de renouveler ses moyens de sauvetage.

La station SNSM de Jullouville vient de lancer un financement participatif afin de renouveler ses moyens de sauvetage. (© Capture d’écran www.helloasso.com)

Après la station SNSM de Hauteville-sur-Mer (Manche), c’est au tour de celle de Jullouville (Manche) de lancer une cagnotte en ligne.

Lire aussi : Un financement participatif pour une station SNSM de la Manche

Objectif : collecter 25 000 € afin de renouveler ses moyens de sauvetage.

[C'EST LE GRAND JOUR]ça y est c'est parti, nous vous en parlons depuis longtemps, 2020= année du…

Publiée par SNSM Jullouville sur Mardi 11 février 2020

Du matériel vétuste

Lancé il y a quelques jours sur la plateforme Helloasso, le financement participatif est baptisé « Un bateau pour vous sauver ».

Les moyens de sauvetage des sauveteurs en mer de Jullouville sont vétustes. En 2016, notre vedette Quokelunde SNS 432 a été réformée pour des raisons de sécurité. Le Robin II SNS 5050 l’a remplacé en attendant notre nouveau bateau. Après 15 ans d’utilisation dans une autre station et 3 ans à Jullouville, il arrive à bout de course. Il est donc grand temps de les renouveler. »

Pourquoi solliciter le grand public ?

La SNSM (Société nationale de sauvetage en mer) est une association de loi 1901 composée de bénévoles (12 pour le site de Jullouville).

Lire aussi : Manche : Lauriane Bonnamant offre un précieux don à la station SNSM de Goury

Le financement de son budget repose essentiellement sur la générosité et la confiance des donateurs privés.

Par cette campagne, nous vous sollicitons pour nous aider à venir vous sauver en toute sécurité. »

Le rôle de la station SNSM de Jullouville
Sauver des vies en mer et sur le littoral, telle est la mission de la station SNSM de Jullouville. Cela implique la mise en œuvre de moyens humains et matériels considérables.

A quoi servira l’argent collecté ?

Les 25 000 € serviront à renouveler les moyens de la station :

  • Un bateau : un semi-rigide de 6,50 mètres, coque Alu, Zeppelin, construit dans un chantier granvillais.
  • 2 moyens de mise à l’eau : une remorque « type cage » permettant une mise à l’eau face à la mer en toute sécurité (fabrication manchoise) et un tracteur, de type 4*4 dont le modèle n’est pas encore défini.

Publiée par SNSM Jullouville sur Mardi 11 février 2020

Pratique. Pour participer à ce financement participatif, rendez-vous ici.

Des poissons volés au Marché de Rungis étaient revendus en Essonne

$
0
0
Les fruits et légumes partent de Perpignan à 16h pour arriver à 4h du matin à Rungis

Les fruits et légumes partent de Perpignan à 16h pour arriver à 4h du matin à Rungis (©Illustration/Flickr-Bernard Fidel)

Non, il n’y a pas que du trafic de produits stupéfiants dans les cités. Parfois, à l’abri des regards indiscrets, on revend aussi… Du poisson ! Deux hommes, travaillant dans des sociétés de Rungis (Val-de-Marne), comparaissaient en effet lundi dernier au tribunal correctionnel de Créteil pour avoir participé à un trafic de poissons volés. La marchandise se revendant dans une cité d’Athis-Mons (Essonne)

Selon le Parisien, qui révèle les faits, les deux employés du plus grand marché de produits frais ont été condamnés à 18 mois de prison avec sursis pour l’un et à un an avec sursis pour l’autre. Le quotidien précise que 12 caisses de daurade avaient été saisies par les policiers de L’Haÿ-les-Roses, après enquête. Le préjudice s’élèverait à 7 000 euros. 

Municipales 2020. Deux listes sont candidates à Moirans-en-Montagne. L'une est conduite par Serge Lacroix

$
0
0
La liste "Moirans, la dynamique pour demain"

La liste « Moirans, la dynamique pour demain » (©Patrick Guidat Studio art et images – Morez )

Comme il l’avait annoncé il y a deux mois, le maire de Moirans-en-Montagne, Serge Lacroix, sera candidat à sa succession pour un deuxième mandat en mars 2020. 

Depuis, il a constitué sa liste de 19 noms ainsi que deux remplaçants. Parmi ses colistiers neuf sont sortants, dont trois adjoints, et un conseiller délégué.

51 ans de moyenne d’âge

Sept sont également très impliqués dans les associations sportives et culturelles. La moyenne d’âge est de 51 ans.

Le nom de cette liste est « Moirans-en-Montagne, la dynamique pour demain ».

Le programme qui a été établi s’appuie tout naturellement sur le projet de restructuration du
centre-bourg.

« Mais notre objectif est de moduler notre action vers les autres quartiers (aménagement de la côte du four, le quartier du musée, la création du chemin des fresques, le quartier du champ de foire avec la reprise de la voirie et des aménagements sportifs…) pour rendre la ville attractive », explique M. Lacroix.

Il évoque plusieurs pistes de travail : la lutte contre les logements vacants avec un projet d’aide à la réhabilitation de l’habitat, la valorisation des déplacements doux… 

Cette « dynamique pour demain » se décline sur les différents axes du programme qui sera présenté début mars. A suivre aussi sur Facebook.

La liste :

Serge Lacroix (directeur retraité de l’industrie), Laurence Mas (commerciale export), Jean-Pierre Brocard (médecin retraité), Valérie Barbeau (contrôleur qualité), Didier Berrez (responsable agence routière départementale retraité), Nicole Martin (cadre retraitée de l’industrie), Jean-Pierre Lançon (responsable entrepôt retraité), Mekkia Eddhimene (assistante maternelle), Pascal Delacroix (cadre retraité de la Poste), Magaly Georges (adjointe gestionnaire cité scolaire), Joël Remy (conseil technique de ventes), Sophie Reffay (professeur musique et danse), Jean-Robert Maisonnave (enseignant), Emine Armagan (opératrice polyvalente), Patrick Sifferlen (technico-commercial), Lindy Chollet (principale adjointe cité scolaire), Nicolas Fournier (technicien injection), Catherine Dury (responsable qualité), Nicolas Bœuf (CPE collège), Maude-Carole Plumecoq (en formation), Alain-Stéphane Oberson (directeur général transports Oberson). 

Lire aussi : A Moirans-en-Montagne, Serge Lacroix a battu Jean Burdeyron

Seine-et-Marne. Un nouvel espace de coworking à Lieusaint

$
0
0
L'équipe de Coworking Lieusaint avec Michel Bisson et le maire de Réau Alain Auzet.

L’équipe de Coworking Lieusaint avec Michel Bisson et le maire de Réau Alain Auzet. (©RSM77)

Au 1er étage, on retrouve 250 m2 de bureaux, une cuisine, des sanitaires et, au fond, une grande salle de réunion, tout cela proche des commerces entre la gare et le Carré Sénart.

« Nous sommes un groupe familial, notre siège est dans le bâtiment juste en face, ici c’est en fait nos anciens locaux, et nous avons décidés d’en faire un coworking, c’est aussi un engagement pour la vie locale », indique Arthur Grout, directeur général d’AS International et fondateur du groupe Qualith.

«Une coloc d’entreprises»

En tout, ce sont vingt postes de travail, aérés, disponibles, que des travailleurs locaux, des indépendants, des auto-entrepreneurs ou bien encore de jeunes entreprises vont pouvoir se partager.

« Souvent, ce sont des salariés d’un groupe qui viennent nous voir, des entrepreneurs aussi qui commencent à embaucher, c’est une coloc d’entreprise ! », souligne Arthur Grout.

Une bonne idée aussi pendant les grèves lorsqu’il est difficile de se rendre à Paris, ou bien pendant un changement de locaux comme la société Vademi située à Savigny-le-Temple, qui depuis décembre a investit Lieusaint Coworking en attendant la livraison de leur nouveaux bureaux à Melun, entre mars et avril.

« Nous étions dans des locaux à Paris, ça faisait loin, et en venant chez notre expert comptable qui se situe dans le même bâtiment au rez-de-chaussé, j’ai vu qu’il existait du coworking au 1er, donc depuis décembre nous travaillons chez eux. Nous en sommes satisfaits, il y a de très bonnes conditions de travail, et en plus, c’est convivial », précise Abla Gnavo, responsable administrative chez Vademi.

Le coworking a pour avantage de rompre l’isolement de ceux qui travaillent à domicile, de créer des échanges, des synergies, parfois un esprit d’équipe, avec un tarif intéressant par rapport à une location classique de bureaux, et, en plus, des horaires assez souples, on peut louer à la journée ou au mois.

« C’est un très grand plaisir d’accueillir Lieusaint Coworking, c’est un service attendu, nous en avions besoin, ici il faut s’ancrer localement, bien connaître le territoire, et Arthur grout, c’est tout cela. Ca va permettre aux entreprises d’avoir des locaux, aux salariés d’éviter d’avoir des trajets pendulaires sur le RER D, le tout dans des conditions professionnelles », conclut Michel Bisson.

Plus d’infos sur le site Coworking-Lieusaint.fr

 

Cimetières de Saint-Malo : des inhumations plus écolos aux Ormeaux

$
0
0
A Saint-Malo, le cimetière des Ormeaux va bénéficier d'une extension qui sera renommée « La Prairie ».

A Saint-Malo, le cimetière des Ormeaux va bénéficier d’une extension qui sera renommée « La Prairie ». (©Le Pays Malouin)

A Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), le cimetière des Ormeaux va bénéficier d’une extension « à caractère plus naturel et écolo ». 

C’est sur une bande-son de pépiements d’oiseaux qu’Isabelle Gaultier de Saint-Jores , conseillère chargée de la gestion des cimetières, a présenté ce bucolique projet d’extension, au dernier conseil municipal.

Une extension prévoyant 600 emplacements pour concessions paysagères, un espace cinénaire de 200 concessions, et l’aménagement d’un espace de cérémonie.

« La Prairie »

Spécificité de cette partie du cimetière qui sera renommée « La Prairie », elle aura « un caractère plus naturel et écologique ».

Concrètement, « fleurs artificielles et soins de thanatopraxie utilisant des produits biocides n’y seront pas autorisés, le bois utilisé pour les cercueils devra être non traité et issu de forêts gérées durablement ; les caveaux seront interdits, les inhumations se feront dans des fosses en pleine terre ; des pierres d’origine locale sont à prévoir pour les stèles ; les dimensions seront réduites (0,70 m de hauteur x 0,40 m de largeur maximum et une épaisseur maximum de 20 cm) et les dalles non acceptées ».

Une charte à signer

Précision importante, « les familles qui souhaiteront inhumer leurs défunts dans cette nouvelle extension devront signer une charte d’engagement à respecter ces préconisations. Les pompes funèbres seront également invitées à attester que les services et fournitures retenus pour l’organisation des funérailles respectent les termes de cette charte ». 

Cette nouvelle partie du cimetière des Ormeaux doit être ouverte au printemps 2020. A noter que les tarifs des concessions resteront les mêmes qu’ailleurs. 

L'affaire Ginette Alvarez, tuée par un adolescent, dans un documentaire sur RMC Story

$
0
0
Un documentaire diffusé sur RMC Story revient sur l'affaire Ginette Alvarez ce jeudi 13 février 2020. Elle avait été tuée par un adolescent près de Cambrai (Nord).

Un documentaire diffusé sur RMC Story revient sur l’affaire Ginette Alvarez ce jeudi 13 février 2020. Elle avait été tuée par un adolescent près de Cambrai (Nord). (©Illustration/Le Perche)

C’est une affaire qui avait défrayé la chronique sur laquelle revient RMC Story ce jeudi 13 février 2020 : le meurtre de Ginette Alvarez. La quinquagénaire avait été tuée par un adolescent en 2017, près de Cambrai (Nord).

Lire aussi : Beauvois-en-Cambrésis : la femme de 57 ans retrouvée a été poignardée

Adolescents et criminels

Le 19 octobre 2017, à Beauvois-en-Cambrésis, deux promeneuses avaient découvrent le corps sans vie de Ginette Alvarez. La quinquagénaire avait reçu un coup de couteau dans le dos.

Les enquêteurs étaient remontés jusqu’à un adolescent de 15 ans. Le collégien avait reconnu les faits et a été condamné à 15 ans de réclusion criminelle. Solitaire, avec un profil inquiétant selon les experts, il n’a pas vraiment donné d’explication à son geste lors de son procès.

Il avait été établi que l’adolescent regardait beaucoup de vidéos violentes sur internet et passait beaucoup de temps sur les jeux vidéos.

L’émission a pour titre Adolescents et criminels : comment ont-ils basculé. Le document sur l’affaire de Ginette Alvarez sera diffusé à 21h55.

Municipales 2020 à Metz : pour la sécurité, Françoise Grolet (RN) appliquera la "tolérance zéro"

$
0
0
Françoise Grolet, candidate (RN) aux élections municipales de Metz (Moselle), compte recruter plus de policiers municipaux et appliquer une "tolérance zéro" en ville.

Françoise Grolet, candidate (RN) aux élections municipales de Metz (Moselle), compte recruter plus de policiers municipaux et appliquer une « tolérance zéro » en ville. (©Antony Speciale/Lorraine Actu)

En cas d’élection de Françoise Grolet, candidate du Rassemblement national (RN) aux élections municipales de 2020 à Metz (Moselle), il y aura plus de policiers municipaux en ville.

En effet, la conseillère régionale du Grand Est veut « recruter 22 agents supplémentaires », en plus des 92 déjà présents à Metz. Il s’agit d’un investissement « d’environ un million d’euros, l’un des plus coûteux de mon programme », reconnaît Françoise Grolet.

Des policiers mobilisés 24 h/ 24 h

De plus, elle compte sur « une présence des policiers 24 heures sur 24 » et créer « deux équipages de brigade canine« . Cette présence se fera en centre-ville mais aussi « en face des enceintes scolaires » et « dans les quartiers ». Globalement, Françoise Grolet cherche à appliquer une politique de « tolérance zéro » qui vise à « sanctionner proportionnellement les délits ».

De manière générale, la candidate du RN s’oriente vers une politique « 100 % prévention » avec une « cellule de veille dans chaque quartier » et une « augmentation en marge des caméras de surveillance dans la ville ».

Lire aussi : Municipales 2020 : Metz peut être gagnée par le Rassemblement national, selon Marine Le Pen

« Lutter contre l’immigration illégale »

Un autre axe de la politique de tolérance zéro que compte mener Françoise Grolet est la « lutte contre l’immigration illégale« . Selon elle, « le maire a des moyens d’agir en matière de prévention de l’immigration illégale ».

En cas d’élection, la conseillère régionale entend « utiliser toutes les possibilités » pour appliquer son pouvoir de maire sur cette question. Elle rappelle que « l’avis du maire est demandé sur les question de regroupement familial ». Françoise Grolet a affirmé qu’« un maire qui n’utilise pas son avis consultatif est un élu qui est responsable et se rend complice passif de l’immigration illégale ».

Françoise Grolet instaurera également « un suivi » des demandeurs d’asile qui se présenteront sur le territoire communal. Ensuite, elle rendra un avis au sujet des « demandeurs de carte de résident » : elle promet des « avis négatifs » aux personnes « qui refuseront de s’intégrer à la communauté nationale » ou notamment « par fondamentalisme musulman ».

Lire aussi : Municipales à Metz : Françoise Grolet veut rendre les parkings gratuits pour doper le commerce

Des conseils de vie nocturne et de droits et de devoirs des familles

L’élue du Rassemblement national compte également fonder un « conseil de la vie nocturne » avec des acteurs et de habitants de la ville. « La vie nocturne est un atout pour la ville », a-t-elle rappelé.

Ensuite, une autre institution verra le jour sous sa mandature : un « conseil pour les droits et les devoirs des familles », chargé de « responsabiliser les parents d’enfants mineurs en difficulté pour lutter contre l’absentéisme scolaire et la délinquance ».

Lire aussi : Municipales 2020 à Metz : la candidate RN Françoise Grolet veut pénaliser l’absentéisme des élus


Lannion. Tout à -50% à la P’tite Boutique de Kerlann

$
0
0
Chantier d'insertion de l'Amisep Kerlann à Lannion, la P'tite boutique solidaire vend toute l'année à prix cassés.

Chantier d’insertion de l’Amisep Kerlann à Lannion, la P’tite boutique solidaire vend toute l’année à prix cassés. (©Le Trégor)

La P’tite Boutique de l’association Amisep Kerlann, à Lannion propose une grande braderie, vendredi 14 février de 10h à 17h en continu.

Un grand déballage à – 50 % est annoncé sur l’ensemble de ce magasin de l’économie sociale et solidaire (bibelots, jouets, vaisselle, mobilier, électroménager, livres, matériel de jardinage et de bricolage…). A noter : l’association ne vend en revanche pas de vêtements.

Lire aussi : Lannion. La P’tite boutique des bonnes affaires a déménagé

Braderie ouverte à tous, zone artisanale de Buhulien, première à droite après l’objèterie.

Contact : tél. 02 96 48 65 31.

Hôpital de Quimper : ouverture d'une unité de dialyse aiguë

$
0
0
Deux infirmières sont chaque jour présentes dans l'unité de dialyse aiguë.

Deux infirmières sont chaque jour présentes dans l’unité de dialyse aiguë. (©Côté Quimper)

Depuis le 6 janvier 2020, le centre hospitalier de Quimper (Chic) a ouvert une unité de dialyse dédiée aux patients qui souffrent d’insuffisance rénale aiguë. L’objectif étant de pouvoir prendre en charge les patients ayant besoin d’une prise en charge en urgence pour une séance d’hémodialyse. 

Lors d’une hémodialyse, le sang du patient va circuler dans un dialyseur, aussi appelé rein artificiel. Il est ainsi épuré, débarrassé de ses déchets, avant d’être redirigé vers le corps du patient.

Quatre places dans l’unité de dialyse aiguë

Jusqu’à présent, le Chic disposait (et dispose toujours) de 16 places de dialyse, dont deux étaient réservées aux urgences. Le docteur Pascale Siohan, chef de service de l’hémodialyse explique :

Nous étions dans une situation qui n’était pas satisfaisante pour les urgences et l’ambulatoire. Aujourd’hui, nous avons quatre générateurs de dialyse supplémentaires, et deux infirmières par jour dédiées à cette nouvelle unité de soin.

L’unité est ouverte de 9 h à 17 h 15, du lundi au samedi, jour fériés inclus. Les dimanches et la nuit, le service de réanimation prend le relais. Un mois après son ouverture, 71 personnes ont déjà eu accès à ce nouveau service. « C’est un succès, avec l’offre de soin qui s’améliore », souligne le docteur Siohan.

Trois types de patients sont amenés à fréquenter cette nouvelle unité :

  • les personnes atteintes d’insuffisance rénale aiguë, due à un arrêt brutal du fonctionnement des reins,
  • celles souffrant d’une insuffisance rénale chronique terminale,
  • les patients déjà dialysés à l’Association des urémiques de Bretagne (AUB) ou dans des unités du centre hospitalier.

172 patients ont été accueillis au centre hospitalier pour des dialyses chroniques en 2019, les autres ayant été pris en charge par l’AUB ou à Brest. Et en moyenne, 64 personnes par semaine sont accueillies au Chic en ambulatoire pour des séances d’hémodialyse.

Le docteur Pascale Sioban, à droite, accompagnée du docteur Anne El rassi, cadre de santé et deux des quatre infirmières su service d'hémodialyse.

Le docteur Pascale Siohan, à droite, accompagnée du docteur Anne El Rassi, cadre de santé, et deux des quatre infirmières du service d’hémodialyse du Chic. (©Côté Quimper)

Près de 160 000 euros d’investissement

« Depuis l’ouverture, nous avons de très bons retours. Les locaux sont agréables et les patients y ressentent de la sérénité. C’est important psychologiquement parlant, car la dialyse peut être très angoissante pour ces patients, qui sont amenés à revenir », conclut le Docteur Siohan, qui souhaitait rendre hommage à toute l’équipe et au personnel médical ayant soutenu l’ouverture de cette nouvelle unité et accepté les réorganisations qu’elle a nécessitées.

L’investissement pour ce projet a représenté un total de 158 000 euros, dont 100 000 euros d’équipement, un générateur de dialyse valant à lui seul 18 500 euros. 

Un bar à fromages de Nantes organise une soirée raclette à volonté

$
0
0
A Nantes, le bar à fromages Le brie qui court organise une soirée raclette à volonté, mardi 18 février 2020.

À Nantes, le bar à fromages Le brie qui court organise une soirée raclette à volonté, mardi 18 février 2020. (©Illustration / Adobe Stock)

Du vent, de la pluie : il fait moche dehors. Alors, pour garder le moral, le bar à fromages Le Brie qui court vous propose une soirée raclette à volonté, mardi 18 février 2020.

Les dernières éditions organisées dans ce restaurant de Nantes (Loire-Atlantique) ont cartonné, et l’équipe a décidé de remettre le couvert. 

Lire aussi : Produits frais et locaux : Bioburger ouvre un restaurant sur l’île de Nantes

Des appareils à raclette de compétition

Nouveauté, les clients pourront s’empiffrer avec de véritables appareils à raclette Brézière. Les joies de la montagne en plein centre-ville de Nantes !

Et pour les mordus, le Brie qui court dispose de « la table raclette » pour quatre personnes tous les soirs. Même punition : fromages et patates sont à volonté jusqu’à épuisement des stocks !

Infos pratiques :
Soirée raclette à volonté, mardi 18 février 2020, à partir de 19 h.
Fromage à raclette de Savoie et pommes de terre à volonté et une assiette de charcuterie par personne.
Tarif : 25 euros.
Réservation au 06 61 00 22 24
Au Brie qui court, 22 rue des Carmes, à Nantes. 

La grippe et la gastro-entérite continuent de sévir en Occitanie, mais moins que dans les autres régions

$
0
0
Une nouvelle réglementation  sur le Midazolam a été annoncée lundi 10 février 2020, quues conséquences pour le médecin et son épouse mis en examen en Seine-maritime ?

Si la grippe et la gastro sont toujours présentes en Occitanie, elles le sont moins que dans les autres régions de France. (©Adobe Stock/Illustration)

L’hiver continue d’apporter ses cadeaux empoisonnés. En ce début de mois de février 2020, Santé Publique France et l’Inserm ont fait le point sur la situation épidémiologique en France. Pour la grippe, il s’agit toujours d’une activité épidémique.

La gastro-entérite en recul

Placée en phase épidémique pour la grippe dès le 22 janvier dernier, la région Occitanie est toujours en proie à une intense activité de la maladie. Elevé à 129 pour 100 000 habitants il y a trois semaines, son taux d’incidence est désormais à 284 à la mi-février. Mais ce n’est pas le plus élevé.

Lire aussi : Occitanie. Les projets en faveur de l’eau ont représenté 73.6 millions d’euros d’investissements en 2019

En effet, il n’y a qu’en Centre-Val de Loire (258), en Bourgogne-Franche-Comté (245) et en Normandie (156) que les taux sont inférieurs. La région Occitanie est donc loin d’être la plus touchée par la grippe. C’est le même constat au moment d’observer la situation pour la gastro-entérite.

Lire aussi : Région Occitanie : des trains à batteries rechargeables seront bientôt testés

Avec un taux d’incidence à 86 pour 100 000 habitants, l’Occitanie est l’une des régions où le fléau frappe le moins puisque cette fois-ci, ce ne sont que deux secteurs qui ont un taux moins fort : la Corse (60) et l’Île-de-France (60). 

Clichy. Le chauffeur de taxi reçoit un coup de couteau à l'abdomen

$
0
0
Un chauffeur de taxi a été poignardé à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), dans la nuit du mardi 11 au mercredi 12 février 2020.

Un chauffeur de taxi a été poignardé à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), dans la nuit du mardi 11 au mercredi 12 février 2020. (©Illustration / Adobe Stock)

Nuit mouvementée à Clichy-la-Garenne, entre mardi 11 et mercredi 12 février 2020. Le changement de jour venait tout juste d’être opéré lorsqu’un homme a agressé un chauffeur de taxi, au croisement entre la rue Fournier et la rue du Port

Son pronostic vital n’est pas engagé

La victime reçoit un coup de couteau. Elle est touchée à l’abdomen. L’homme, âgé de 39 ans, parvient à prévenir les secours. Il est pris en charge et transféré à l’hôpital Bichat (Paris XVIIIe). Si son pronostic vital n’est pas engagé, il devrait subir une intervention chirurgicale prochainement avant d’être entendu par la police judiciaire. Aucune piste n’est pour l’heure privilégiée quant au motif de cette agression.

Viewing all 47515 articles
Browse latest View live