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Municipales : Nicolas Rivalan présente sa liste à Férel

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La liste de Nicolas Rivalan

La liste de Nicolas Rivalan (©DR)

L’adjoint à la citoyenneté et aux associations à Férel (Morbihan)  Nicolas Rivalan, concrétise son engagement en dévoilant son équipe, entre « esprit collectif, ouverture et écoute ».

Depuis le début de semaine la liste « Avec vous, Férel demain » est dans la course aux suffrages. Auprès de Nicolas Rival, neuf élus sortants et une pyramide des âges allant de 73 à 33 ans. La démarche première s’inscrit dans celle du

« développement durable où la dimension environnementale sera intégrée dans tous les projets portés par la commune ».

Les 22 colistiers font également vœux prioritaires dans les domaines de l’économie (développement local et agricole), de la mobilité (sécurisation des déplacements), de l’intercommunalité (rendre ses travaux plus lisibles dans un esprit de solidarité maintenu avec Cap Atlantique), du logement (promouvoir l’offre) et dans les domaines en lien direct avec le bien-être et les besoins de la population (associatifs et générationnels, scolaire avec le projet éducatif de territoire, culturels).

Une réunion publique aura lieu le vendredi 13 mars, salle polyvalente.

La liste « Avec vous Férel demain »

De gauche à droite sur la photo : Marina Delalande, 38 ans, gérante de camping. Bertrand Fontaine, 44 ans, assistant d’éducation. Thierry Alno, 54 ans, exploitant agricole (adjoint au maire). Solène Crossouard, 40 ans, adjoint territorial du patrimoine ? Jean-Marc Dachicourt, 64 ans, retraité du secteur privé. Christelle Guignery, 48 ans, professeure des écoles (conseillère municipale). Aymeric Brouquier, 44 ans, pompier professionnel (conseiller municipal). Gisèle Bertho, 61 ans, infirmière coordinatrice retraitée (adjointe au maire). Nicolas Rivalan, 57 ans, cadre territorial (adjoint au maire). Hervé Brize, 64 ans, retraité. Stéphanie Santerre, 34 ans, salariée agricole (conseillère municipale). Danièle Rosse, 73 ans, secrétaire retraitée (conseillère municipale). Fabienne Sable, 48 ans, technicienne aéronautique. Anne Dheyriat, 42 ans, adjointe d’animation. Alain Kieffer, 70 ans, cadre retraité (conseiller municipal). Jean-Pierre Halgand, 45 ans, électricien (adjoint au maire). Isabelle Bochet, 45 ans, aide-soignante (conseillère municipale). Carine Artus, 46 ans, conceptrice commerciale. Jérôme Eonnet, 45 ans, chargé de mission milieux aquatiques. Fabrice Guiho, 38 ans, opérateur en raffinerie. Mylène Sicard, 33 ans, adjointe administrative. Daniel Pinard, 65 ans, cadre supérieur retraité. (Absent : Philippe Buchoul, 40 ans, technicien).


Municipales 2020 : à Château-Thébaud, la seule liste présente ses candidats

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Les 23 noms de la liste  Ensemble pour Demain à Château-Thébaud.

Les 23 noms de la liste Ensemble pour Demain à Château-Thébaud. (©Hebdo de Sèvre et Maine)

Alain Blaise, adjoint aux affaires scolaires et jeunesse dans ce mandat, a présenté sa liste « Ensemble pour demain », seule liste candidate aux élections municipales sur la commune de Château-Thébaud (Loire-Atlantique).

L’équipe affiche une forte expérience. Sur les 23 noms, la liste sans étiquette compte douze adjoints et conseillers, élus en 2014.

Le chef de file, Alain Blaise, candidat à la mairie, peut compter sur une garde rapprochée.

Lire aussi : Municipales 2020 : Ces candidats qui accompagnent Jessy Robert à Vertou

Trois adjoints qui en finissent avec le mandat (Jean-Michel Boussonnière, Viviane Hermont et Valérie Lecornet) repartent à ses côtés.

Seuls Jacqueline Levesque, première adjointe, et Jean-Luc Billet, adjoint aux travaux et à la voirie, ne se représentent pas.

Pour compléter la grille des 23 noms, la liste qui défend la continuité a puisé dans les forces vives de la commune : tissu associatif, parents d’élèves, comité des fêtes. 

Alain Blaise, seul retraité de l’équipe, reconnaît :

« On a pris notre temps pour choisir les candidats. Nous n’avons pas eu de difficultés à recruter ».

Moyenne d’âge : 48 ans

La liste est rajeunie. Elle affiche une moyenne d’âge de 48 ans. Le plus jeune candidat, Guillaume Landreau, a 29 ans.

La liste compte aussi dans ses rangs deux représentants de la viticulture avec un exploitant et un ouvrier viticole.

Les 23 noms habitent le bourg et les villages. Et couvrent « 70 à 80 % de la commune ».

Leurs premières propositions

Le programme va s’écrire dans les prochaines semaines. Premières annonces, Ensemble pour demain veut développer le soutien auprès des aînés, « en favorisant les liens de proximité intergénérationnels ».

En matière d’urbanisme, la liste entend « maîtriser le rythme des constructions », de manière à « garder l’identité rurale de la commune ».

Autre projet de la liste, créer une commission qui aura la charge :

d’étudier la dimension environnementale de chaque projet ».

Lire aussi : Municipales 2020. Divatte-sur-Loire : qui est sur la liste du maire Christelle Braud ?

Et organiser une journée culturelle et festive à destination de l’ensemble de la population.

La liste prévoit aussi d’aménager deux entrées de ville. Celle de la route fréquentée de Pont-Caffino et l’axe allant du bourg à l’espace du Bois-Joly. L’objectif est de faire cohabiter les différents modes de déplacement (voiture, vélo, piéton).

Reste le gros morceau : le complexe sportif. La liste entend adapter l’outil sportif à l’évolution des besoins. Pour avoir une vue d’ensemble, la liste lancera une étude prenant en compte « la globalité du projet ».

Les 23 candidats
1- Alain Blaise (tête de liste) 64 ans, retraité ; 2- Valérie Lecornet 49 ans, comptable ; 3- Jean-Michel Boussonnière 58 ans, adjoint de direction ; 4- Viviane Hermon 54 ans, enseignante ; 5- Nicolas Touzeau 52 ans, consultant informatique ; 6- Laurence Lehucher 53 ans, enseignante EPS ; 7- Thierry Cochin 49 ans, technicien territorial ; 8- Lysiane Degosse 48 ans, auxiliaire spécialisée vétérinaire ; Patrick Gouraud 54 ans, agriculteur ; 9- Karine Delporte 47 ans, attachée territoriale ; 11- Christophe Mathe 52 ans, responsable technique ; 12- Francine Moreau 42 ans, paysanne herboriste ; 13- Christophe Prud’homme 54 ans, artisan ; 14- Sophie Maisdon 43 ans, auxiliaire de puériculture ; 15- Stéphane Delhommeau 42 ans, directeur associé ; 16- Corinne Brillouet 55 ans, chargée relation bancaire ; 17- Pascal Drouard 42 ans, viticulteur ; 18- Séverine Lemaitre 46 ans, assistante RH recrutement ; 19- Denis Robin 50 ans, ouvrier viticole ; 20- Nathalie Elineau 50 ans, infirmière ; 21- Guillaume Landreau 29 ans, assistant direction projets ; 22- Edwige Auger 46 ans, chargée de mission ; 23- Thomas Morisseau 34 ans, ingénieur informatique.
En italique, les élus qui se représentent.

Seine-et-Marne : malgré son AVC, Guy Nicoud reste tête de liste à Mareuil-lès-Meaux

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Guy Nicoud, maire de Mareuil et candidat aux municipales, a été victime d'un AVC.

Guy Nicoud, maire de Mareuil et candidat aux municipales, a été victime d’un AVC fin janvier 2020. (©DR)

Après l’accident vasculaire cérébral de Guy Nicoud, maire de Mareuil et tête de liste aux municipales, fin janvier 2020, ses colistiers ont pris la décision de poursuivre la campagne.

« En accord avec la famille, nous avons décidé de maintenir Guy Nicoud en tête de liste » commente Gilbert den Bekker, membre de la liste Votre village, notre passion.

Lire aussi : Seine-et-Marne : l’état de santé du maire de Mareuil-lès-Meaux est jugé préoccupant

Dans un tract distribué il y a quelques jours, les colistiers de Guy Nicoud ont indiqué vouloir « continuer la campagne, parce qu’un homme dont le village est la passion, s’est entouré de femmes et d’hommes, ayant sa confiance, pour bâtir un projet sur la base d’une certaine idée de l’avenir de Mareuil-lès-Meaux ».

La campagne va donc reprendre un rythme normal et la liste de Guy Nicoud compte bien organiser prochainement une réunion publique pour présenter le programme et les colistiers.

Lire aussi : Municipales en Seine-et-Marne : Guy Nicoud veut que Mareuil-lès-Meaux conserve « son esprit village »

Éducation. Bientôt des échanges entre Elbeuf et la Norvège ?

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La délégation norvégienne a rencontré l'équipe éducative du lycée Ferdinand Buisson

La délégation norvégienne a rencontré l’équipe éducative du lycée Ferdinand Buisson (©Le Journal d’Elbeuf)

À Elbeuf, les enseignants du lycée Ferdinand-Buisson ont rencontré, vendredi 31 janvier, leurs homologues Norvégiens afin de préparer un appariement pour permettre la mobilité des élèves de la section européenne.

La délégation norvégienne est arrivée jeudi. Stefan Preisig (proviseur adjoint) et Trine Svendsen (enseignante de sciences) du lycée agricole Skjetlein videregaende skole à Leinstrand, Anna Dyrseth Fox (proviseur adjoint) et Beate Haugberg (enseignante de norvégien, français et d’histoire) du lycée général et professionnel Melhus videregaende skole à Melhus ont abordé la possibilité d’envoyer 37 élèves en Norvège pendant huit jours.

Les deux établissements se trouvent au centre de la Norvège, à proximité de Trondheim, 3e plus grande ville du pays dans la région de Trondelag et de la mer de Norvège. Les élèves du lycée Buisson vont, cette année, en Hollande et en Belgique. La Norvège serait une belle opportunité si le projet reçoit toutes les autorisations.

Bien que les élèves norvégiens n’étudient pas le français, les enseignants espèrent que ce projet débouchera sur une ouverture de cours de français. L’anglais y est obligatoire depuis le plus jeune âge des écoliers et les films (au cinéma et à la télévision) ne sont jamais visionnés en sous-titrage. Les enseignants ont ensuite visité la ville d’Elbeuf puis ont été reçus à la mairie.

Gard. 80 policiers et le préfet sur place après la fusillade dans le quartier de Pissevin à Nîmes

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Une nouvelle fusillade dans le quartier de Nîmes Pissevin.

Une nouvelle fusillade dans le quartier de Nîmes Pissevin. (©V. de Nîmes)

Selon France Bleu Gard Lozère une compagnie de C.R.S., deux équipages de la BAC de Nîmes ainsi que deux équipes d’intervention ont participé à cette l’opération de contrôle de ce mardi 11 février en soirée destinée à rassurer les habitants du quartier Pissevin, à Nîmes.

Fusillade lundi soir

Ce quartier a en effet été marqué par une fusillade qui a fait trois blessés le lundi 10 février au soir ou des tirs de Kalachnikov ont retenti en soirée. La fusillade a éclaté vers 21 h 30. Trois hommes ont été blessés aux abords de la galerie Richard-Wagner. Ils ont été transportés au CHU. Ils sont aujourd’hui hors de danger. L’antenne nîmoise du SRPJ de Montpellier a été chargée de l’enquête. 

Flambée de violence

Il s’agit d’une nouvelle flambée de violences dans ce quartier de Nîmes Pissevin qui fait suite à un premier épisode le 26 janvier 2020 au terme duquel, une quarantaine de tirs avait été entendus  dans le même secteur. Aucun blessé n’était à déplorer lors de ce premier épisode déjà très probablement lié au trafic de drogue. 

Nombreuses réactions

De nombreuse réactions se sont fait entendre après la nouvelle fusillade de lundi soir,  à commencer par celle du marie de Nîmes  Jean Paul-Fournier qui a déclaré « attendre de l’État la mise en oeuvre de moyens humaines et matériels afin de rétablir au plus vite l’autorité républicaine dans nos quartiers ». La présence du préfet et des importantes forces de police ce mardi soir constitue une première réponse à l’inquiétude des habitants.

Municipales 2020: à Bradiancourt, Romain Rousselin brigue un deuxième mandat

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A Bradiancourt, Romain Rousselin est le plus jeune maire du pays de Bray.

A Bradiancourt, Romain Rousselin est le plus jeune maire du pays de Bray. (©Le Réveil de Neufchâtel)

Romain Rousselin maire de Bradiancourt, près de Saint-Saëns (Seine-Maritime) sera candidat à sa succession. Il a constitué une liste en vue des élections municipales.

Quelles raisons vous ont poussé à vous représenter ?

Romain Rousselin : J’hésitais car la fonction de maire prend du temps. Quand on travaille, c’est compliqué d’allier la vie professionnelle, personnelle et la vie d’élu. Mais être maire est très enrichissant. Il y a tous les jours de nouveaux sujets, parfois trop (sourire). Il faut aussi faire très attention au budget.

Lire aussi : Municipales 2020 : qui repart ou pas dans l’ex-canton de Saint-Saëns ?

Quel bilan tirez-vous du mandat écoulé ?

Dans les petites communes, le maire gère beaucoup de choses. Il propose des solutions. Ce qui intéressant. Le côté humain est enrichissant. Il faut prendre le temps de discuter et de rassurer les personnes confrontées à des problèmes.

Nous avons refait la garderie suite à une infiltration. Notre mairie étant petite, la salle sert aussi pour les mariages. Nous avons privilégié les espaces de vie comme l’école maternelle ou nous avons fait des travaux d’isolation.

Quels sont les profils de vos colistiers ?

Nous sommes sept sortants et nous accueillons quatre nouveaux membres. Nous avons une pluralité de personnalité : trois jeunes retraités, quatre trentenaires et des tranches intermédiaires de 40 à 50 ans. La liste allie différentes catégories d’âge mais aussi différents parcours professionnels et personnels.

Il y a aussi des convictions politiques différentes. Lors de notre réunion de préparation, tous les sujets ont été abordés.

Pouvez-vous nous parler de votre programme ?

La propagande ne peut commencer qu’à partir de début mars. A ce moment-là, une communication sera faite auprès des habitants via un courrier pour présenter les candidats et notre feuille de route.

Nous aimerions créer des zones sécurisées pour les piétons et aussi des aménagements paysagers. Il faut que nous soyons prudents sur les dépenses.

Nous aurons aussi la défense incendie à gérer. Nous allons valider avec l’ancienne équipe le plan de déploiement. Nous travaillons dessus depuis deux ans.

Coupe de France : marquer l'histoire au présent, le nouveau défi de Cavani

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L’attaquant uruguayen du Paris-SG, Edinson Cavani, buteur lors du match de Ligue 1 face à Lyon, au Parc des Princes, le 9 février 2020. (©AFP/Archives/GEOFFROY VAN DER HASSELT)

Le transfert avorté d’Edinson Cavani à l’Atlético Madrid offre au PSG une « recrue » insoupçonnée : buteur contre Lyon dimanche, l’Uruguayen espère récidiver à Dijon en quarts de finale de Coupe de France ce mercredi 12 février 2020 (18h30), pour franchir la barre symbolique des 200 buts et tenter de redevenir titulaire.

Loin du Parc des Princes, le chouchou du public parisien sera-t-il enfin de retour dans le onze de départ, trois jours après la communion retrouvée avec ses coéquipiers et supporters ?

A quelques jours de son anniversaire – il fêtera ses 33 ans, le 14 février – et du huitième de finale aller de Ligue des champions contre Dortmund le 18 février, un tel « timing » serait parfait pour le « Matador ».

Car son 199e but sous le maillot parisien contre Lyon dimanche en Ligue 1 (4-2), seulement trois minutes après son entrée en jeu, n’aurait jamais dû arriver si ses souhaits de départ avaient été exaucés cet hiver..

Sans l’échec des négociations entre Paris et l’Atlético, son histoire d’amour avec le PSG aurait même pu se finir sur un dernier doublé contre les amateurs de Linas-Montlhéry (6-0), le 6 janvier dernier.

Mais le « turn-over », nécessaire vu le calendrier infernal du PSG avant la C1, le mutisme de son concurrent Mauro Icardi, et une passe décisive d’Angel Di Maria ont changé le destin parisien du meilleur buteur de l’histoire du club.

L'attaquant du Paris-SG, Kylian Mbappé, félicite son homologue, l'Uruguyen Edinson Cavani pour son but face à Lyon, en Ligue 1, au Parc des Princes, le 9 février 2020.

L’attaquant du Paris-SG, Kylian Mbappé, félicite son homologue, l’Uruguyen Edinson Cavani pour son but face à Lyon, en Ligue 1, au Parc des Princes, le 9 février 2020. (©AFP/Archives/GEOFFROY VAN DER HASSELT)

« Tous contents pour lui »

« C’était une soirée spéciale. J’ai senti la chaleur de tous mes coéquipiers et des supporters après avoir marqué. C’est magnifique ! », a-t-il savouré au micro de PSG TV, quelques minutes après avoir célébré son but avec rage et soulagement.

Pour retrouver une telle scène de joie collective à Paris, il fallait remonter à son dernier but au Parc face à Galatasaray (5-0) mi-décembre dernier, célébré dans une ambiance de folie. Le signe d’un statut à part.

« Il a passé des moments un peu bizarres. Il est vraiment incroyable, on était tous contents pour lui« , a confié dimanche Marco Verratti, porte-parle d’un vestiaire admiratif de l’abnégation sans limites d’ »Edi ».

« Il a toujours montré qu’il était très professionnel, toujours avec le sourire. Il s’entraîne toujours au maximum, a ajouté l’Italien. Je pense que si on avait demandé à tous les joueurs qui devait marquer, tout le monde aurait dit « Edi » ».

Ce retour en forme à point nommé et sa faculté rare à galvaniser ses partenaires peuvent-ils bousculer la hiérarchie des attaquants, pas à son avantage depuis l’avènement des « Quatre Fantastiques » 

L'attaquant argentin du Paris-SG, Icardi (c), lors du match de Ligue 1 face à Lyon, au Parc des Princes, le 9 février 2020.

L’attaquant argentin du Paris-SG, Icardi (c), lors du match de Ligue 1 face à Lyon, au Parc des Princes, le 9 février 2020. (©AFP/Archives/FRANCK FIFE)

Lire aussi : Coupe de France : Rennes s’impose face à Belfort et se qualifie pour les demi-finales

Icardi et la C1 dans le viseur

« Toute concurrence est bonne, on en a besoin pour tous les joueurs, je l’ai toujours dit. On peut sentir qu' »Edi » est plus fort à l’entraînement en ce moment parce que les choses sont claires maintenant que le mercato est fini », a répondu son entraîneur Thomas Tuchel, dimanche après Lyon.

« Il est entré très fort, a inscrit un but très important et c’est bien pour lui, pour nous. On a besoin de tous les joueurs, des joueurs d’expérience comme « Edi », avec sa qualité. C’est nécessaire. Qu’il soit en forme est la meilleure chose pour nous », a-t-il ajouté.

Reste le problème du rythme, qui concerne également les tauliers de la défense Thiago Silva et Marquinhos, toujours en phase de reprise. Après Dijon, il ne restera plus que le match à Amiens samedi en Ligue 1 pour retrouver l’intensité avant le grand rendez-vous de Dortmund.

Peu importe, selon le technicien uruguayen Pablo Correa, qui estime Cavani « plus utile » qu’Icardi en Ligue des champions en raison de son inégalable vécu.

« On a voulu comparer Icardi sur quelques matches et Cavani sur ses six années à Paris. On l’a vite oublié. J’ai vu les buts d’Icardi, je pense que Cavani les aurait mis également », explique-t-il dans Le Parisien.

« Les gros matches arrivent et je n’ai aucune certitude sur la capacité d’Icardi de mener loin le PSG, complète-t-il. Il y a par ailleurs le caractère émotionnel des matches de C1. Icardi a moins d’expérience que Cavani dans ce domaine. » Suffisant pour faire la différence ?

Lire aussi : Football. Mbappé, Neymar, Cavani… le Paris-Saint-Germain gagne, l’institution PSG mise à l’épreuve

Source : © 2020 AFP

Municipales 2020 : le maire de Pirmil brigue un troisième mandat

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Gaël Lagneau-Deret, maire sortant de Pirmil (Sarthe), se porte candidat aux prochaines élections municipales. Il présente sa liste. Absent sur la photo : Eric Houlbert.

Gaël Lagneau-Deret, maire sortant de Pirmil (Sarthe), se porte candidat aux prochaines élections municipales. Il présente sa liste. Absent sur la photo : Eric Houlbert. (©Marie Lamarque / Les Nouvelles de Sablé)

Il a longtemps laissé planer le doute sur sa possible candidature. Vendredi 7 février, le maire de Pirmil (Sarthe), Gaël Lagneau-Deret, a officiellement annoncé sa décision de se représenter aux prochaines élections municipales, envahi par un sentiment de « plénitude et de soulagement ».

À la tête de la commune depuis 2008, il considère que le maire jouera dans les années à venir « un rôle essentiel dans la démocratie locale. J’aime Pirmil. J’ai toujours été investi dans ma mission », affirme-t-il.

Lire aussi : PHOTOS : les membres de la liste « Oser Pirmil Autrement » candidats aux élections municipales

Des habitants « inquiets »

Durant plus de huit mois, le maire a sondé les habitants, « et j’ai été surpris de leur inquiétude grandissante. De facto, il est important d’instituer un nouveau dessein harmonieux pour le village ».

Il avait convié ses colistiers bar-restaurant et nouvellement épicerie Au Vieux Tailleur, unique commerce du village de 567 habitants, repris en mai 2019. Un lieu qui n’a pas été choisi au hasard.

« J’ai trouvé deux nouveaux gérants qui bénéficient de mon soutien indéfectible depuis la réouverture. Ce restaurant est l’une des clés de voûte de notre commune », indique le maire sortant.

Afin de monter sa liste « Ensemble pour Pirmil », il a réuni autour de lui 14 candidats, six femmes et huit hommes dont un seul élu sortant, Eric Houlbert. « Dynamiques, neutres, tolérants et efficaces, ils allient dévouement et sens de l’action publique », souligne la tête de liste. La moyenne d’âge s’élève à 42 ans.

Lire aussi : Sarthe : seul commerce du village, le bar-restaurant Au Vieux Tailleur reprend du service à Pirmil

Un City Parc pour tous

Le maire et son équipe souhaitent offrir un nouvel élan à Pirmil. Ils aspirent à créer un City Parc éco-citoyen et transgénérationnel pour l’ensemble des habitants.

Il comportera un terrain multisport pour le foot, le basket, le volley, la pétanque ou encore le skate et une aire de jeux avec un espace convivial et barbecue. Un équipement « éducatif et ludique pour les activités scolaires ».

Sur le plan environnemental, la liste veut œuvrer pour réduire l’empreinte carbone en « rénovant thermiquement les bâtiments communaux et les logements sociaux et en créant une aire de covoiturage. Un arbre pour chaque naissance sera planté ».

Créer un CMJ

Le candidat souhaite « pérenniser la citoyenneté et la démocratie locale par la mise en place d’un Conseil Citoyen Jeunes (CMJ). Il sera un lieu d’apprentissage où les jeunes pourront s’exprimer et créer de nouveaux projets ».

Il veut diversifier les actions culturelles en mettant en place un « jumelage avec une commune anglophone ou francophone ». Une bibliothèque participative pourrait être mise en place.

Concernant son implication au sein de la Communauté de communes LBN, l’élu estime avoir « toujours travaillé pour l’intérêt commun. Je suis peut-être l’un des rares vice-présidents à avoir un bilan avec la mise en place du site internet et des bulletins communautaires notamment ».

Une réunion publique est prévue le vendredi 28 février à 20 h 30 à l’Espace Rencontres.

Les visages de la liste


Nancy : le préfet valide le projet de futur tram, en plein débat des municipales

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L'actuel tram de Nancy.

L’actuel tram de Nancy (Meurthe-et-Moselle). (©Métropole du Grand Nancy)

Le projet de tram qui doit remplacer le TVR en fin de course dans la métropole de Nancy se fera. En tout cas d’un point de vue de l’État puisque le préfet de Meurthe-et-Moselle, Éric Freysselinard, a prononcé mardi 11 février 2020  l’arrêté de Déclaration d’utilité publique du projet. Cette validation tombe en plein débat de la campagne des municipales où ce futur tram est largement discuté par les candidats. 

« Cette nouvelle étape va permettre au Grand Nancy de respecter son calendrier, avec la poursuite des études, le lancement des travaux préparatoires en fin de cette année, et le démarrage des travaux de construction et la mise en place d’un service de substitution par bus dès l’été 2021 », a indiqué la Métropole du Grand Nancy, porteuse du projet, dans un communiqué publié mercredi 12 février. 

Lire aussi : Futur tram de Nancy : « son financement est assuré », selon Christophe Choserot

Démarrage des travaux en 2021

Selon le calendrier officiel, porté par la Métropole, des études et maîtrise d’œuvre ainsi que les premiers travaux préparatoires vont se dérouler dès cette année. 

C’est en 2021 qu’est prévu le démarrage des travaux de construction du nouveau tramway en parallèle de la mise en place d’un service de transport de substitution par bus. En effet, l’actuel TVR Bombardier ne circulera plus. Il est d’ailleurs en fin de vie et ne peut pas circuler au-delà de 2022. Pour les travaux, le Grand Nancy est « autorisé à acquérir les immeubles nécessaires à la réalisation du projet, soit à l’amiable, soit par expropriation dans un délai de cinq ans ». 

En 2023, c’est la mise en service de la ligne Porte Verte (Essey-lès-Nancy) à Nations – Jeanne d’Arc (Vandœuvre-lès-Nancy) qui est prévue, suivie de Brabois en 2026 et de l’extension jusqu’à Roberval en 2028. 

Lire aussi : Futur tram de Nancy : des maires lancent un « message d’alerte » sur son coût

Aurillac. Municipales 2020 : Catherine Amalric explique les motivations de sa candidature dans une vidéo

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Catherine Amalric, tête de liste aux Municipales d'Aurillac

Catherine Amalric, tête de liste aux Municipales d’Aurillac (©cc/Facebook/).

Soutenue par la République en Marche, Catherine Amalric, adjointe à la culture de Pierre Mathonier, a démissionné de son poste en septembre 2019. Elle expliquera notamment lors du Conseil municipal du 19 décembre avoir « été évincé de nombreux dossiers à la suite de ma candidature aux Européennes de mai 2019. » 

Lire aussi : Cantal. Municipales 2020 : pourquoi Jean-François Cabezon est candidat à Maurs

Quelques axes de son projet

Et cette dernière de se lancer dans la campagne des Municipales où elle sera tête de liste à Aurillac. Et elle décide de présenter sa liste via un post Facebook. Tout ceci accompagner « d’un document de travail » où elle donne quelques axes de son programme « Aurillac avec du bon sens ». 

Avec quatre thématiques : liberté d’entreprendre, de réaliser et de se réaliser (pépinière d’activité économique, 5G et un plan communal de déplacement). L’écologie (circuits courts, économies d’énergie, nouvelles énergies). l’égalité et la solidarité au quotidien (guichets de proximité). Et faire d’Aurillac un espace partagé par tous, respectueux des hommes, des animaux et de la nature.

1 // LA CANDIDATURE D'UNE FEMME

1 // LA CANDIDATURE D'UNE FEMMESensibilité et convictions pour " donner à chacun l'accès à la meilleure qualité possible dans tout ce que nous mettrons en place."

Publiée par Catherine Amalric – Aurillac avec bon sens – 2020 sur Mardi 11 février 2020

La liste de Catherine Amalric

Richard Biffaud, ingénieur informaticien, Ambroise Bouchet, étudiant, Patricia Bastide, adjoint administratif, Yannick Brunel, auxiliaire de vie, Laurence Brun, aide-soignante retraitée, Alex Casagrande, aide-soignant, Yolande Calmels, secrétaire, Georges Delpuech, retraité de l’Education nationale, Hélène Cordéro, assistante de gestion administrative et financière, Géraud Delpuech, expert-comptable, Josiane Costes, professeure d’anglais, Gilles Desplaces, chargé d’affaires, Catherine Delpuech, expert-comptable, Fanny Goy, avocate, Saïd Fenkar, étudiant infirmier, Géraud Grange, ingénieur agro-alimentaire et commerçant, Florence Michalet, professeure de lettres, Valérie Millot, pharmacienne, Raymond Louis, retraité, Christian Morgo, attaché principal.

Hourira Ouaaffi, accompagnante d’élèves en situation de handicap, Annie Palurovic, directrice d’associations, Gérard Moulinaux, artisan, commerçant retraité, Lola Poirot, étudiante, Jean-Paul Nicolas, informaticien, Florence Prillo-Josseaume, enseignante, Tony Pichot, gestionnaire de magasins, Eddy Raulin, directeur de préfecture en retraite, Michèle Roque, psychologue du travail, Christian Thourret, ancien directeur de l’hôpital d’Aurillac, Chantal Toire, chargée de mission, Bernard Tourde, agriculteur, Laurinda Vanthuyne, étudiante, Eliane Vidal, secrétaire retraitée.

Distribution de roses, jeu concours... Ilévia célèbre la Saint-Valentin, dans la métropole de Lille

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Vendredi 14 et samedi 15 février 2020, Ilévia organise plusieurs animations sur son réseau pour la Saint-Valentin.

Vendredi 14 et samedi 15 février 2020, Ilévia organise plusieurs animations sur son réseau pour la Saint-Valentin. (©Illustration/Pixabay)

Voilà une nouvelle surprenante. Le réseau de transports en commun de la métropole de Lille (Nord) Ilévia célèbre la Saint-Valentin. Vendredi 14 et samedi 15 février 2020, diverses animations sont annoncées à destination des voyageurs.

Ilévia vous jette des fleurs

En plus de toute une campagne de communication autour du thème de « La Saint-Valentin pour tous », qui verra des mots attentionnés à destination des voyageurs circuler dans les stations et sur les réseaux sociaux, Ilévia annonce une animation surprenante.

Un jeu concours, associé à une distribution de roses, sera proposé dans plusieurs stations : la gare Lille-Flandres, Roubaix Eurotéléport et Villeneuve-d’Ascq Hôtel de Ville.

Les voyageurs seront invités à se prendre en photos par deux sur place, devant des stickers aux couleurs de l’opération. Il leur suffira ensuite d’envoyer cette photo en message privé sur le Facebook d’Ilévia, en expliquant le lien qui les unit (amical, amoureux, familial…).

Un tirage au sort sera organisé le 17 février pour désigner les trois gagnants des coffrets cadeaux en jeu.

Pour l’heure, leur contenu est un mystère. Mais – à l’image d’un premier rencart – cela fait partie du charme de l’opération, non ?

Lire aussi : Un blind-test spécial rupture au Caf&Diskaire pour la Saint-Valentin

Bourgtheroulde. Non, le projet du giratoire au croisement de la pépinière n'est pas abandonné

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Ce croisement situé à l'entrée de la ville est jugé dangereux par plusieurs riverains.

Ce croisement situé à l’entrée de la ville est jugé dangereux par plusieurs riverains. (©A.F)

« Contrairement à ce qu’il s’est dit, il y a bien un plan d’aménagement en cours pour cet espace, où il y a effectivement un problème de vitesse et de civisme », appuie Vincent Martin, maire de Grand-Bourgtheroulde (Eure). L’élu précise qu’une étude a été réalisée, et que les mesures ont été prises pour de futurs travaux. Mais période électorale oblige, aucune date précise ne peut être avancée.

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« Il y a eu un amalgame après le rachat puis la vente par la commune de la maison au coin du croisement. La propriété devait être aménagée pour permettre la mise en place d’un giratoire. Mais l’étude a montré qu’il y avait suffisamment de place sur la chaussée, sans empiéter sur la propriété », explique le maire. Certains habitants ont donc pensé que la revente de la maison était synonyme d’abandon du projet. « Le débat a été pollué et l’inquiétude n’est pas passée », remarque Vincent Martin.

Un croisement périlleux

Ce carrefour jugé dangereux avait déjà fait l’objet de débats, et des craintes ont été formulées sur Facebook par de nombreux riverains. Le 21 janvier dernier, Matthieu Berment, habitant à Bourgtheroulde, écrivait notamment : « Carrefour de la pépinière : il va falloir faire quelque chose avant qu’un accident grave n’arrive. En attendant, les gens qui ont la priorité ont aussi le droit de respecter la vitesse. » Une autre internaute rajoutait : « Et au passage que la mairie change aussi le panneau avertissant le stop 150 m avant qui est encore un cédez-le-passage. » En réponse, Stéphane Leclerc, adjoint à la mairie, a concédé qu’il manquait le mot « stop » et qu’un renouvellement des panneaux sur la commune était en cours.

Pour Patrick Gaudry, propriétaire d’une boucherie à Bourgtheroulde, la zone est effectivement potentiellement dangereuse. « Il y en a qui déballent à toute vitesse de la droite. D’autres qui ne marquent pas le stop. Moi, quand j’arrive en fourgon au niveau du stop, je ne peux pas voir à droite. Il y a trop peu de visibilité », note-t-il.

La situation était encore plus périlleuse avant le remplacement du cédez-le passage par un stop. Mais la mise en place d’un giratoire pourrait effectivement sécuriser davantage le carrefour.

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Pays de Ploërmel : la lutte contre les cyanobactéries se poursuit au lac au Duc

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Jean-Charles Sentier, vice-président du syndicat mixte du Grand Bassin de l'Oust.

Jean-Charles Sentier, vice-président du syndicat mixte du Grand Bassin de l’Oust.

Le phénomène est connu depuis la fin des années 1980. Le développement des cyanobactéries dans le lac au Duc entre Ploërmel et Taupont (Morbihan), est un problème majeur. Le Grand bassin de l’Oust mène des expérimentations pour réduire leur expansion.

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Les interdictions de baignade ou de consommation de poisson sont courantes. Mis à part en 2019, où le niveau des cyanobactéries a permis une activité sans interruption. Jean-Charles Sentier, vice-président du Grand Bassin de l’Oust (GBO), indique :

On a seulement observé une remontée en septembre.

Le risque majeur qui préoccupe le syndicat mixte du Grand Bassin de l’Oust est la libération de toxines dangereuses pour l’homme que contiennent ces cyanobactéries. Jusqu’ici, cela ne s’est jamais produit.

Quelles causes ?

Ces organismes unicellulaires se développent notamment en raison du phosphore qui peut provenir de différents milieux, stations d’épuration, végétation qui se dégrade, selles d’animaux ou encore via les pratiques agricoles.

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Une larme d’eau peut contenir jusqu’à trois millions de cyanobactéries.

Quels risques ?

Chez l’homme, le contact ou l’ingestion de cyanobactéries peuvent causer des diarrhées, des gastro-entérites, des maux de tête mais également des irritations de la gorge et des oreilles ou encore cutanées.

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En cas de libération des toxines, les cyanobactéries peuvent être très dangereuses pour l’homme. Elles le sont tout autant pour la faune. En 2012, 4,8 tonnes de poissons morts avaient été ramassées en seulement trois jours dans le lac.

Quelles actions ?

À l’image de ce qui avait été fait dans les années 1990 pour réduire la concentration de nitrate, GBO veut agir dans le temps.

Depuis que le problème des cyanobactéries est connu, de nombreuses pistes ont été étudiées et quelques actions ont été mises en place.

Un gros tuyau — un bulleur — a été installé dans le lac à la fin des années 1990, afin d’oxygéner les bactéries. Mais les coûts d’entretien trop importants et la pratique des loisirs nautiques n’ont pas permis son utilisation sur le long terme. Jean-Charles Sentier confie :

Un jour ou l’autre, il est possible qu’on l’utilise à nouveau car il est toujours en place.

Pour limiter l’arrivée de terre dans le lac, un piège à sédiments avait été monté à Loyat à la fin des années 90. Mais il a été rempli tellement vite que l’idée a été abandonnée.

Il aurait fallu le curer tous les trimestres avec un coût important. 

Puis, le traitement au sulfate de cuivre a été utilisé un temps, au début des années 2000. Enfin, en 2012, des tests au carbonate de calcium ont été menés sur la zone de baignade pour entraîner les cyanobactéries dans le fond du lac.

Et maintenant ?

Le conseil communautaire a approuvé, le 4 juin 2018, la participation de Ploërmel communauté au projet international InterregCPEs « Channe Payments for Ecosystem Services ».

Ce programme européen réunit différents partenaires : l’Université de Rennes, l’Inra, le CNRS, la junior entreprise d’Agrocampus, la chambre d’agriculture, le conseil régional… Chacun a une mission bien définie. En tout, les partenaires du projet investissent plus de 1,5 million d’euros pour le territoire.

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Aujourd’hui, le GBO souhaite poursuivre les travaux sur la maîtrise des flux de phosphore et mieux comprendre les proliférations des cyanobactéries et leur origine. Leur objectif est d’obtenir des résultats sur le long terme. Jean-Charles Sentier précise :

Les actions qui étaient menées avant, c’était du curatif, aujourd’hui on cherche des solutions durables dans le temps. On n’enlèvera jamais la totalité des cyanobactéries, mais on peut trouver un moyen de les limiter.

De ce fait, le SMGBO a défini une zone, à Guilliers, pour mener ses futures actions. 11 agriculteurs ont été mobilisés pour prendre part au projet et changer leurs pratiques en remettant du bocage ou des talus. Reste à leur assurer une garantie financière.

Pour cela, le GBO démarche les entreprises qui ont des obligations dans le cadre de leur fonds RSE (responsabilité sociétale des entreprises). Jean-Charles Sentier explique :

De nombreuses entreprises locales ont ces obligations RSE, et nous allons les voir pour qu’ils mettent cet argent dans le territoire.

À ce jour, le syndicat a rencontré les dirigeants d’Yves Rocher, Vinci, Brézéo ou encore Liger. Ce sont plusieurs millions d’euros par an qui devront être trouvés. « C’est la partie la plus compliquée », admet Jean-Charles Sentier.

Une étude sera peut-être menée autour de la cascade. Le brassage permettrait de modifier la température et une oxygénation naturelle.

Une étude sera peut-être menée autour de la cascade. Le brassage permettrait de modifier la température et une oxygénation naturelle.

D’autres pistes ?

Les pêcheurs ont remarqué que lorsque la cascade, située au niveau de la digue, coule plus tard dans l’année, le brassage permet de modifier la température et une oxygénation naturelle de l’eau.

En 2019, elle a coulé plus longtemps, cela a peut-être joué sur les bonnes conditions de l’an dernier. On va donc étudier pour voir s’il n’y a pas un travail à faire autour de cette cascade.

Des tests devaient être menés par l’Université Rennes 1 à l’aide d’ultrasons en 2019. Ces derniers avaient fait leur preuve aux États-Unis, mais le lac au Duc n’était pas assez profond.

Viols et violences sur son ex-femme : un homme de Châteaubriant à nouveau condamné

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L'homme habitant Châtreaubriant (Loire-Atlantique) a été à nouveau condamné par le tribunal pour des faits de violence.

L’homme habitant Châteaubriant (Loire-Atlantique) a été à nouveau condamné par le tribunal pour des faits de violence. (©illustration Pixabay)

Un homme d’origine roumaine habitant Châteaubriant (Loire-Atlantique), qui avait été condamné le 25 septembre 2019 pour des « viols conjugaux répétés » sur sa compagne, a de nouveau été reconnu coupable, mardi 11 février 2020, de « violences » commises sur la même victime le 2 février 2019.

Dans la mesure où il n’avait encore à cette date qu’une inscription au casier judiciaire (pour conduite en état d’ivresse), le tribunal ne lui a infligé que quatre mois de prison avec sursis et une amende de 150 €.

Il tente d’étrangler son ex campagne, la bagarre éclate

L’homme de 40 ans avait ce jour-là cassé la porte d’entrée de la mère de ses enfants, dont il est séparé depuis 2017, en donnant « une quinzaine de coups de pied » dedans. Après être rentré « par le trou » qu’il avait ainsi fait, il avait mis les mains sur le cou de son ex-compagne pour l’étrangler.

Le nouveau compagnon de la victime était alors sorti de la cachette, où celle-ci lui avait dit de se mettre, et une bagarre entre les deux avait éclaté. Le prévenu avait à ce moment-là blessé le nouveau compagnon en le mordant à la cuisse. « Son intention était de me mordre les parties génitales », a précisé la victime, qui a eu deux jours d’ITT.

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Le 28 janvier, il avait écopé de six ans de prison

Le prévenu, qui se défendait sans avocat, ne s’est pas exprimé sur les faits et a fait valoir son droit au silence. Le procureur avait réclamé six mois de prison avec sursis et une mise à l’épreuve de deux ans, qui aurait permis d’exercer un contrôle sur le prévenu à sa sortie de détention… désormais en 2025.

L’audience a en effet permis de connaître les dernières évolutions du procès retentissant de septembre 2019, au terme duquel trois ans de prison ferme avaient été prononcés à l’encontre de l’homme, en son absence. Un mandat d’arrêt avait aussi été émis, à l’époque, pour le retrouver.

Le plaquiste roumain, qui avait finalement été arrêté quelques jours plus tard, avait donc logiquement fait appel de sa condamnation… mais il a finalement écopé, le 28 janvier 2020 à Rennes (Ille-et-Vilaine), de six ans de prison ferme, soit le double de la peine initiale ! « Six ans, c’est énorme », a-t-il ainsi soufflé depuis son box.

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Il imposait des relations sexuelles à sa femme

Les faits étaient particulièrement détestables. L’homme avait par exemple imposé des relations sexuelles à sa femme en la menaçant d’un couteau ou bien en l’attrapant par la gorge – parfois même quand leurs deux enfants couchaient dans le même lit qu’eux. Un soir d’été, en rentrant ivre de discothèque, il s’était aussi convaincu qu’un autre homme venait de quitter leur lit conjugal après avoir retrouvé sa compagne en sueur… Après avoir vainement cherché l’amant imaginaire, il avait alors imposé un rapport à sa femme.

Ce « collectionneur » de couteaux – qui en gardait toujours un à côté de lui « même pour dormir » – a aussi été reconnu coupable d’une « agression sexuelle » sur sa belle-soeur de 24 ans, commise le jour-même où sa femme accouchait de leur premier enfant à la maternité.

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GF (PressPepper)

Seine-et-Marne. Coulommiers : Senteurs d'ici, la nouvelle boutique test, vient d'ouvrir

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Leila Mbarki a accueilli des élus de la Ville et de la Communauté d'Agglomération dans ses nouveaux locaux.

Leila Mbarki a accueilli des élus de la Ville et de la Communauté d’Agglomération dans ses nouveaux locaux. (©LPB)

Depuis le samedi 1er février, le magasin « Senteurs d’ici » a ouvert sur la place du marché, à l’emplacement de l’ancienne bijouterie Phantasia.

Il a été sélectionné dans le cadre du programme « boutique test », lancé par la mairie l’an dernier afin d’encourager l’ouverture de nouveaux commerces en centre-ville.

Produits de bien-être en vrac et zéro déchets

Après un premier essai concluant en 2018 avec le salon de toilettage « un Chien au Salon », première boutique à l’essai columérienne, la deuxième boutique test vient d’ouvrir ses portes sur la place du marché. Il s’agit de Senteurs d’ici, un magasin spécialisé dans les savons bio et artisanaux, les bougies, les cosmétiques et les produits de bien-être.

À l’origine de cette expérience se trouve la Mourousienne Leila Mbarki : « Le concept de la boutique c’est de mettre en avant le local ainsi que le zéro déchet : on trouve ici des savons à la découpe, des huiles essentielles ou encore des gels douche en vrac », raconte la responsable du magasin.

Avant de s’installer dans la boutique test, elle a fait les marchés de la région pour vendre des produits de beauté fantaisie et originales, comme des shampoings dans des bouteilles de vin ou des savons en forme de fromages. On trouve ces produits toujours dans son nouveau magasin, mais sa gamme a été complétée par des produits fabriqués en France, voire fabriqués en Brie, comme des bougies par une créatrice originaire de Boissy-le-Châtel.

De plus, elle propose des disques démaquillants lavables ainsi que des serviettes hygiéniques réutilisables. Le dispositif boutique test de la mairie lui permet de tester son idée de commerce pendant 6 mois, renouvelable une fois.

 

Renseignements : Senteurs d’ici, 24 place du marché, ouvert de mardi à samedi de 9h à 19h en continu et le dimanche de 9h à 13h.


Melun. Feu vert pour la création d'un nouveau tunnel à la gare 

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Les élus ont voté le financement pour la création d'un nouveau tunnel

Les élus ont voté le financement pour la création d’un nouveau tunnel (©M-A.M)

Les élus de Melun Val de Seine ont entériné une avancée, pour le futur pôle d’échange multimodal, à la gare de Melun. Pour la dernière séance du mandat, lundi 3 février, ils ont validé le financement qui va permettre de lancer les études de la création d’un tunnel mixte.

 

De la rue séjourné à la rue Barchou

Appelé scénario B, c’est la proposition de création d’un nouveau tunnel, plus vaste qui a été retenue. Ce tunnel reliera la rue Séjourné à la rue Barchou. L’actuel petit souterrain sera conservé et devrait être réservé aux vélos. 

Le futur ouvrage, lui, permettra aux voyageurs d’accéder aux quais, mais aussi aux habitants de traverser. Afin de garantir cette continuité, l’agglomération Melun Val de Seine va participer à hauteur de 500 000 € sur le projet, estimé par la SNCF à quelque 3,3 M €. Cette enveloppe permettra ainsi d’élargir le tunnel.

Accessibilité 

« Les sommes engagées pour ce tunnel sont conséquentes et elles arrivent très tard, à l’heure du mandat, a regretté Nicolas Alix, élu à Dammarie-lès-Lys. Celui qui participait à son dernier conseil (il n’est pas candidat aux municipales a adressé un message aux futurs élus :

« A ceux qui briguent un futur mandat, vous devrez faire des questions d’accessibilité un sujet principal, afin que cela ne soit pas encore un mandat pour rien. » Dans nos colonnes, Bernard Fabre, élu en charge des transports à l’agglomération avait évoqué un début des travaux d’ici à 2023 pour une durée prévisionnelle de 4 à 5 ans.

 

Lot. La place Saint-Priest de Cahors est désormais piétonne

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Derniers coups de pelle pour l'aménagement de la place St Priest en centre-ville de Cahors dans le Lot.

Derniers coups de pelle pour l’aménagement de la place St Priest en centre-ville de Cahors dans le Lot. (©photothèque Ville de Cahors/Grand Cahors : Claudine Brazier.)

Les travaux d’aménagement de la place Saint-Priest, en plein cœur du centre-ville de Cahors, dans le Lot, s’achèvent en ce mois de février 2020. Ancien parking semi-sauvage, elle devient aujourd’hui un lieu de vie au cœur du centre historique de Cahors. Son aménagement intervient dans la continuité du programme de rénovation des rues et de l’éclairage public du secteur sauvegardé.

Aménagement pensé avec les habitants

Sur les bases des propositions du cabinet d’architectes, l’aménagement a été pensé avec les habitants de la place qui ont adopté l’idée de la mise en valeur des lieux et du patrimoine environnant.

Au fond, côté rue Saint-Priest, la place est composée d’un espace libre minéral, d’un point d’eau, d’un arbre (un érable de Montpellier), le mur du fond est tapissé de bambous. Côté rue Lastié, c’est un espace ombragé qui a été conçu. Agencé de massifs d’arbustes d’ornement (2 arbres de Judée et un savonnier), il est parcouru d’un chemin en dalles calcaires, zébrées de lignes engazonnées.

Pour les promeneurs

L’ensemble de la place sera complété prochainement par l’installation de deux bancs et de deux tabourets pour accueillir les promeneurs et inciter à la détente. L’éclairage public a également été refait, accentuant l’effet intimiste de la place. À noter que les grilles actuellement posées resteront en place le temps que le gazon prenne.

Le coût total de cet aménagement, conduit par le Grand Cahors, est de 170 000 €.

Emmanuel Macron annoncera demain la création du Parc Naturel Régional de la Baie de Somme

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Du littoral picard jusqu'au Haut-Clocher et la Vallée de la Somme, 134 communes sont couvertes par ce PNR

Du littoral picard jusqu’au Haut-Clocher et la Vallée de la Somme, 134 communes sont couvertes par ce PNR (©Le Journal d’Abbeville)

Evoqué depuis plus de dix ans, le parc naturel régional Baie de Somme – Picardie Maritime est enfin une réalité.

Une annonce ce jeudi à Chamonix

Le décret officiel signé de la main du ministre devrait suivre d’ici les prochains jours, mais selon France Inter ce matin, le Président de la république Emmanuel Macron annoncera la création de quatre Parcs lors du Conseil de défense écologique qui se tiendra ce jeudi à Chamonix, dont celui de Picardie Maritime.

Une annonce dont se réjouissent les équipes de Baie de Somme 3 Vallées et de ses partenaires :

Nous sommes Parc pour 15 ans !

Le parc naturel régional Baie de Somme – Picardie Maritime couvrira 134 communes du littoral picard jusqu’aux communes du Haut-Clocher et de la Vallée de la Somme.

Du littoral picard jusqu'au Haut-Clocher et la Vallée de la Somme, 134 communes sont couvertes par ce PNR

Du littoral picard jusqu’au Haut-Clocher et la Vallée de la Somme, 134 communes sont couvertes par ce PNR (©Le Journal d’Abbeville)

Seine-et-Marne. Le vent va souffler fort ce jeudi après-midi

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Un temps maussade et venteux ce jeudi

Un temps maussade et venteux ce jeudi

Après la tempête Ciara le week-end dernier et en attend Dennis ce week-end, la Seine-et-Marne va connaître à nouveau des rafales de vent ce jeudi 13 février 2020 du fait de la tempête Ines.

Ce matin,  « un front froid actif arrive en Île-de-France et s’étire jusqu’aux Hauts-de-France. Quelques orages éclatent au sein de ce front, accompagné de fortes rafales. Elles avoisinent 70 à 90 km/h à l’intérieur des terres », explique la Chaîne Météo.

En Seine-et-Marne, les vents ne dépasseront pas les 75 km/h ce matin. En revanche, cet après-midi, on attend des vents jusqu’à 90 km/h à Rozay-en-Brie par exemple.

Ils devraient se ralentir progressivement dans la soirée. 

De fortes rafales sont attendues ce jeudi après-midi notamment dans le secteur de Rozay-en-Brie

De fortes rafales sont attendues ce jeudi après-midi notamment dans le secteur de Rozay-en-Brie (©La Chaîne Météo)

 

 

Essonne. A Orsay, le RAID interpelle un homme qui menaçait des élagueurs avec une arme

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La rue de Chartres a été fermée à la circulation le temps de l'opération

La rue de Chartres a été fermée à la circulation le temps de l’opération (©DR)

Des véhicules de police en travers de la route et des habitants qui s’interrogent. Ce mercredi 12 février, la rue de Chartres à Orsay, a été fermée une bonne partie de la matinée dans le cadre d’une importante opération de police, visant à interpeller un individu menaçant.

Plus tôt dans la matinée, ce dernier s’en était pris à des employés d’une société d’élagage comme le précise la municipalité. Ne supportant pas les nuisances sonores induites par les travaux d’élagage, l’homme « les avaient menacés, avec ce qui avait l’apparence d’une arme » comme le fait savoir la mairie.

Rapidement alertée, la police nationale s’est rendue sur place. Face à cet individu, qui serait sujet à des troubles psychologiques, enfermé à l’intérieur de son domicile, les policiers ont alors fait appel aux services du RAID comme l’exige la procédure.

Placé en garde à vue

Un périmètre de sécurité a été rapidement mis en place afin de permettre aux unités d’élite de la police nationale de procéder à l’interpellation de l’individu qui s’est finalement rendu de lui-même. Les policiers ont ainsi constaté que ce dernier « ne disposait en réalité d’aucune arme réelle ».

Le forcené a été immédiatement placé en garde à vue. Les ouvriers qui avaient été menacés ont quant à eux déposé plainte. Le dispositif a été levé aux environs de midi.

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