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Yvelines. Médan : 71 000 € pour restaurer un lavoir

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Ce lavoir restauré a été inauguré le 11 janvier dernier.

Ce lavoir restauré a été inauguré le 11 janvier dernier. (©Thomas Richardson/ Le Courrier des Yvelines)

Le 11 janvier dernier, a été inauguré à Médan (Yvelines), un lavoir datant de la fin du XIXe siècle, situé dans la cour de la mairie, en présence du sous-préfet Stéphane Grauvogel, de la députée Natalia Pouzyreff et Évelyne de Lignières, déléguée adjointe à la Fondation du patrimoine dans les Yvelines.

Très endommagé par le temps, il était urgent de commencer la réfection et la remise en état de ce site patrimonial. Les travaux ont débuté en novembre dernier pour un coût de 71 000 €.

À noter que le Département a financé 65 % de ce montant en partenariat avec l’agence départementale Ingéniery.

F.-M. A.


Village des marques près de Vernon : McArthurGlen impose son exigence

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Sept cents postes sont à pourvoir au Village des marques de Douains

Sept cents postes sont à pourvoir au Village des marques de Douains (©BCP/LeDémocrate)

« Prenez part à quelque chose d’extraordinaire ». Les panneaux indiquant la salle de réunion donnent le ton. On ne travaille pas chez McArthurGlen comme dans une vulgaire boutique.

Dans la salle, deux cents chaises étaient prévues. Il en aurait fallu plus de quatre cents. La moitié du public a dû assister à la rencontre en se postant à l’étage.

Lire aussi : Village des marques McArthurGlen à Douains : une première pierre posée le 6 juillet

Pour faire le show à l’américaine, pas moins de trois directeurs du groupe anglo-saxon avaient fait le déplacement. Les partenaires locaux (Pôle emploi, Mission locale, Région, Chambre de commerce et d’industrie) étaient aussi en bonne place : ce sont eux qui formeront les candidats à la vente, à l’hôtellerie, à la restauration ou à la sécurité.

Le groupe séduit

Plus de quatre cents personnes de tout âge sont venues assister à la réunion d'information sur les emplois au Village des marques de Douains

Plus de quatre cents personnes de tout âge sont venues assister à la réunion d’information sur les emplois au Village des marques de Douains (©BCP/LeDémocrate)

Peu de mains se sont levées quand les organisateurs ont demandé « qui a déjà visité un centre de marques McArthurGlen ». Qu’importe, le concept semble déjà plaire et les futurs employés conquis.

Une vidéo avec images virtuelles leur sera projetée pour une immersion plus vraie que nature dans le village, ainsi que quelques diapositives pour rappeler les bons chiffres du groupe. McArthurGlen sait séduire. Avec ses sept cents emplois à la clé, le groupe n’a pas besoin de convaincre mais d’affirmer son niveau d’exigence avant l’ouverture de son centre à l’été 2021.

Lire aussi : McArthurGlen : qui touchera le 1,5 millions des « compensations » ?

Exigence, émotion, excellence

Les représentants du groupe McArthurGlen ont rappelé les fondamentaux de la vente

Les représentants du groupe McArthurGlen ont rappelé les fondamentaux de la vente (©BCP/LeDémocrate)

Frédérique Jacques, « retail manager » (une sorte de responsable des ventes) pour le groupe, a témoigné de son expérience et de ses attentes. Cohésion d’équipe, engagement, expérience humaine.

Pour travailler dans la vente, il faut connaître quelques bases, souligne-t-elle :

Un blaser c’est bleu marine avec des boutons dorés et ce n’est pas autre chose ».

Ou qu’on ne propose pas la même tenue à une cliente taillée « en X ou en H ». Et en O, on ne vous en parle même pas. Exigence, émotion, excellence.

« Pour être vendeuse, il faut avoir un intérêt pour la mode, le sens de l’accueil et un anglais opérationnel », insiste la manageuse. Et bien sûr, garder le sourire.

Car la vente, c’est une vocation, un don de soi, conclut-elle. Vous pouvez faire toutes les formations qui existent, ça ne suffit pas si vous n’êtes pas fait pour ça ».

Que les partenaires formateurs ne désespèrent pas, certains participants ultra-motivés étaient déjà prêts à laisser leur CV pour être candidats au job dating : cinq entretiens de trois minutes avant de décrocher un emploi. À l’américaine.

Lire aussi : Village des marques : les formations débuteront le 2 mars 2020

McArthurGlen Normandie en chiffres :
200 millions d’euros d’investissement
20 000 mètres carrés de superficie
100 boutiques
10 restaurants
700 emplois

Municipales 2020 à Ludres : candidats, dates et résultats des 1er et 2e tours

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A Ludres, deux candidats vont se faire face lors des municipales 2020.

A Ludres, deux candidats vont se faire face lors des municipales 2020. (©Wikipédia)

A Ludres, l’une des 20 communes de la Métropole du Grand Nancy, la campagne pour les élections municipales 2020 est lancée.

Voici un récapitulatif du fonctionnement de cette élection : dates, maire sortant, candidats et mode de scrutin.

Lire aussi : Municipales 2020 à Laxou : candidats, dates et résultats des 1er et 2e tours

Qui sont les candidats à Ludres ?

Pour ces élections, les Ludréens risquent d’avoir une sensation de déjà-vu. Le scénario pour 2020 est en effet le même que celui de 2014 puisque les candidats sont :

  • Pierre Boileau, tête de liste Ludres avenir et maire sortant
  • Claude Lombard, tête de liste Pour Ludres, résolument

En 2014, deux sièges étaient alloués à la commune de Ludres au sein de la Métropole du Grand Nancy.

Lire aussi : Municipales 2020 à Villers-lès-Nancy : candidats, dates et résultats des 1er et 2e tours

Inscriptions, vote : quel calendrier ?

La date des élections municipales est déjà connue : le premier tour aura lieu le dimanche 15 mars, le second tour le 22 mars 2020. 

Pour participer, les électeurs doivent être inscrits sur les listes électorales.

Les listes qui se présentent aux élections municipales doivent être complètes et composées d’autant de femmes que d’hommes, avec alternance obligatoire une femme/un homme ou inversement.

Lire aussi : Municipales 2020 à Jarville-la-Malgrange : candidats, dates et résultats des 1er et 2e tours

Résultats du 1er et du 2e tour

Voici les résultats complets des deux tours pour la commune de Ludres.

Quimper : le Bagad Kemper a deux penn soner

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Le Bagad Kemper a un duo de penn soner composé de Gwendal Poder et Kevin Loussouarn.

Le Bagad Kemper a un duo de penn soner composé de Gwendal Poder et Kevin Loussouarn. (©Côté Quimper.)

La bise plutôt qu’une poignée de main. La façon de se saluer en dit déjà long sur les liens de complicité entre Gwendal Poder et Kevin Loussouarn. Fin novembre 2019, le duo a pris la succession de Steven Bodenes, penn soner du Bagad Kemper ces 10 dernières années.

Lire aussi : Quimper : Le bagad Kemper sort un nouvel album

Gwendal Poder, 39 ans et employé dans un commerce de gros, est le plus bavard des deux. « Avec Kevin, nous nous sommes présentés tous les deux car le penn soner a une importante charge de travail. Or, le travail de l’un s’enrichit de celui de l’autre et des musiciens du groupe. »

Kevin Loussouarn, 27 ans, exerce le métier de dentiste. « Auparavant, je faisais partie du bagad Glazik. Mais cela fait maintenant sept ans que Gwendal et moi jouons ensemble. »

Studieux

Aucun d’entre eux n’entend tirer la couverture à lui. On leur demande de se décrire réciproquement. Les mots peinent à sortir mais les adjectifs « méticuleux » et « rigoureux » reviennent à plusieurs reprises.

Les silences des deux penn soner traduisent leur discrétion. « Ils sont surtout très impliqués », glisse un des membres du bagad. Voire studieux.

Kevin Loussouarn reprend : « Depuis que nous avons repris le poste, il a fallu travailler vite pour écrire la suite musicale en vue du concours de Brest, le 16 février. » Cette première échéance arrive à vitesse grand V. « Nous avons construit une suite dans la continuité du son et de l’esprit du Bagad Kemper tout en veillant à son harmonie », poursuit Gwendal Poder.

Pas de pression

Pour leur premier concours comme penn soner, ils ne se sont pas fixé d’objectif. Depuis quelques années, on sait que le Bagad Kemper aimerait renouer avec la victoire.

« Personne ne nous a parlé de gagner à Brest ou à Lorient ni mit une quelconque pression », coupe Gwendal Poder. Il confie cependant leur volonté de « faire le mieux possible ». « Nous avons surtout l’envie de bien faire », prolonge Kevin Loussouarn.

Après les festivités pour le 70e anniversaire du bagad l’an dernier, les deux penn soner savent que 2020 est également bien remplie. Fin février, ils seront sur la scène du Pavillon pour le concert de Dan ar Bras à Quimper. Pour la Nuit de la Bretagne au printemps, une représentation de leur création Nerzh est prévue à la Nanterre Arena.

Lire aussi : Quimper : Dan ar Braz repart en concert avec un nouvel album

Pour boucler le premier semestre, une collaboration inédite avec Arthur Lavandier, compositeur de musique classique. Ce projet a été lancé par le Théâtre de Cornouaille. Les penn soner Gwendal Poder et Kevin Loussouarn seront alors dans le bain.

 

Infos pratiques
Championnat des bagadoù de 1ère catégorie, dimanche 16 février à partir de 13 h au Quartz à Brest.
Tarif unique : 20 euros.

Municipales à Saint-Gilles-Croix-de-Vie : voici les colistiers de François Blanchet

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François Blanchet et la liste Ensemble Continuons pour Saint-Gilles (absents sur la photo : Sandra Dubos, Béatrice Justin et Lionel Guilbaud).

François Blanchet et la liste Continuons Ensemble pour Saint-Gilles (absents sur la photo : Sandra Dubos, Béatrice Justin et Lionel Guilbaud). (©Continuons Ensemble pour Saint-Gilles)

Du jamais vu, pour l’heure, à Saint-Gilles-Croix-de-Vie ! François Blanchet est pour le moment le seul candidat déclaré pour les élections municipales (jusqu’à la date limite, pour les dépôts de candidatures, du 27 février à 18h).

Lire aussi : Municipales : à Saint-Hilaire-de-Riez, Laurent Boudelier candidat à sa propre succession

Pour autant, le maire sortant le reconnaît :

C’est très déroutant d’être seul. Mais nous ne partons pas pour autant comme des vainqueurs, et avons décidé de mener la campagne normalement, qu’il y ait d’autres candidats ou non en face. Cela doit être une vraie campagne municipale, car nous parlons avant tout des enjeux de la commune.

La liste complète de Continuons Ensemble pour Saint-Gilles

Voici la liste (sans étiquette) au grand complet, d’une moyenne d’âge de 50,2 ans :

  • François Blanchet, 43 ans, directeur de rédaction
  • Denise Renaud, 67 ans, commerçante retraitée
  • Thomas Perrocheau, 35 ans, ostéopathe
  • Estelle Chauvin, 39 ans, infirmière
  • Antoine Gasnet, 33 ans, chargé de mission du Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux de la Vie et du Jaunay
  • Nicole Boulineau, 67 ans, retraitée de la Fonction publique territoriale
  • Joël Giraudeau, 66 ans, hôtelier restaurateur en retraite
  • Manon Achalle, 28 ans, conseillère en séjour touristique
  • Marc Herrou, 61 ans, directeur d’usine
  • Julie Morisot, 37 ans, psychologue du travail
  • Raphaël Chaussin, 27 ans, employé commercial
  • Elodie Lebourdais-Pouzet, 37 ans, co-dirigeante d’un bureau d’études
  • Camille Avrillas, 20 ans, étudiant en histoire
  • Béatrice Justin, 52 ans, secrétaire de direction
  • Jérôme Mesnard, 44 ans, peintre
  • Sandra Dubos, 40 ans, sophrologue
  • Claude Guibert, 66 ans, retraité de France Telecom
  • Josette Alabert, 68 ans, retraitée du secteur tourisme
  • Jean-Pol Girot, 72 ans, conservateur des hypothèques à la retraite
  • Anne-Claire Maugrion, 69 ans, retraitée de la Fonction publique territoriale
  • Jean-Louis Rambeau, 67 ans, retraité de la Gendarmerie
  • Séverine Cossu, 46 ans, adjoint administratif de la Fonction publique territoriale
  • Jean-Bernard Morineau, 55 ans, surveillant de port
  • Murielle Royer, 58 ans, responsable administrative d’un cabinet d’assurance
  • Olivier Coste, 61 ans, adjoint au chef d’agence routière départementale
  • Marie-Françoise Sartoux, 65 ans, directrice d’établissement sanitaire et social à la retraite
  • Lionel Guilbaud, 59 ans, cadre dirigeant d’une entreprise de logistique internationale
  • Nathalie Joncour, 33 ans, éducatrice sociale en médiation par l’animal
  • Stéphane Grenon, 49 ans, conseil en stratégie et organisation commerciales.

Deux suppléants et des candidats à la communauté de communes

Pour palier d’éventuelles démissions en cours de mandat, la loi autorise désormais les candidats à désigner, s’ils le souhaitent, jusqu’à deux suppléants. François Blanchet a donc désigné comme tels :

  • Claudie Deville, 67 ans, professeur d’histoire, géographie, éducation civique à la retraite
  • Jean-Philippe Rivière, 57 ans, directeur d’un service départemental d’incendie et de secours.

Lire aussi : Municipales : à Notre-Dame-de-Riez, le maire sortant Hervé Bessonnet est candidat

Les candidats aux élections municipales ont désormais l’obligation, en désignant leur liste, de flécher ceux qui seront aussi élus communautaires, tout en respectant la parité.

Sont donc désignés sept titulaires et deux suppléants :

  • François Blanchet
  • Denise Renaud
  • Thomas Perrocheau
  • Nicole Boulineau
  • Joël Giraudeau
  • Béatrice Justin
  • Jérôme Mesnard
  • Sandra Dubos (suppléante)
  • Claude Guibert (suppléant).

 

Plus d’infos : http://continuons-ensemble.fr

Yvelines. [Vidéo] Versailles : le Campus d'excellence pour les filières pros ouvrira à la rentrée

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Charline Avenel, rectrice de l'académie de Versailles (Yvelines), présente le campus d'excellence qui ouvrira à la rentrée dans les Grandes écuries du château.

Charline Avenel, rectrice de l’académie de Versailles (Yvelines), présente le Campus d’excellence qui ouvrira à la rentrée dans les Grandes écuries du château. (©78actu)

[Vidéo] Les chevaux de l’Académie équestre de Bartabas vont bientôt avoir de nouveaux voisins. C’est désormais officiel. Le Campus dédié aux filières professionnelles ouvrira ses portes à la rentrée de septembre. Pas n’importe où : dans une aile des Écuries royales situées en face du château de Versailles (Yvelines). Pas avec n’importe quel titre : il a reçu le label d’excellence, le 6 février 2020, pour la promotion du patrimoine et de l’artisanat.

Le 18 avril dernier, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, était venu dévoiler ce qui n’était encore qu’un projet, sans budget chiffré.

Lire aussi : Yvelines. Un campus d’excellence pour les filières pros à Versailles ?

Il avait bousculé l’agenda de la présentation, à la lumière d’un événement majeure. Deux jours plus tôt, la cathédrale Notre-Dame de Paris brûlait. La promesse de sa reconstruction rapide par le président de la République forçait l’évidence. On allait avoir besoin de beaucoup d’artisans qualifiés, tous corps de métiers confondus.

Dès le départ, la rectrice de l’académie de Versailles, Charline Avenel, avait insisté sur un point.

Il ne s’agit pas de créer un nouvel établissement scolaire. Mais bien un lieu qui servira à tous les étudiants et leurs professeurs pendant une semaine, deux semaines ou plus. »

200 à 300 jeunes par semaine

Aujourd’hui, on en sait un peu plus sur ce qui se passera sous les hauts plafonds de l’aile des Grandes écuries. Chaque semaine, ce sont entre 200 et 300 jeunes apprenants qui passeront par là, autour de cinq familles de métiers : patrimoine bâti, art et design, horticulture et espaces paysagers, gastronomie, accueil et services et tourisme. La volonté est de favoriser les échanges avec les chercheurs, les professeurs ou encore les collectivités, dans une dynamique d’évolution des métiers. Celle de l’appréhension des nouveaux outils numériques et celle de la transition écologique.

L’endroit se voudra ouvert au public, particuliers et professionnels. Tous pourront venir voir les jeunes à l’ouvrage, assister à des démonstrations.

Le Campus va valoriser des métiers dont notre pays a besoin et qui manquent de visibilité. Saviez-vous qu’en Ile-de-France, nous manquons cruellement de plâtrier ? Un jeune qui s’intéresse à cette voie ou à celle de la charpenterie, par exemple, pourra venir découvrir les métiers dans ce Campus. Et il pourra aussi trouver un espace qui lui permettra de s’orienter dans son parcours scolaire. Les entreprises pourront aussi venir y recruter, trouver des talents. Pour les étudiants déjà engagés dans un parcours, il s’agira d’une formidable opportunité, celle d’enrichir leur profession. Ils pourront, par exemple, augmenter leurs connaissances en histoire de l’art et ainsi élargir les possibilités de travailler sur des chantiers d’exception », insiste Charline Avenel, la rectrice de l’académie de Versailles.

D’abord 600 m2

Dès le mois de mars, des « lundis de la voie professionnelle » seront organisés au château de Versailles. Ils visent à améliorer l’orientation des collégiens.

En septembre, ce sont 600m2 qui seront d’abord ouverts. Les 6 400m2 restant le seront à partir de 2023. Près de 1000 m2 seront dédiés à la vie quotidienne, à la détente, au sport, à la recherche avec une bibliothèque ou au multimédia. L’ensemble coûtera 50 millions d’euros.

Un autre site, en région parisienne, doit également ouvrir dans le même esprit. Ce sera le Campus des métiers d’art et du design à la Manufacture des Gobelins, à Paris.

C’est un beau projet qui s’est clarifié, apprécie François de Mazières. Il correspond bien à l’image de notre ville, avec cette première partie qui servira à exposer. Cette culture de l’artisanat et des traditions fait partie de notre identité profonde. Le tout dans un site fort et prestigieux… C’est une bonne chose. »

Tennis : au Challenger de Cherbourg, Jules Marie fait briller la Normandie

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Jules Marie est en huitièmes de finale du Challenger de Cherbourg.

Jules Marie est en huitièmes de finale du Challenger de Cherbourg.

Jules Marie (FRA, 965) bat Matteo Viola (FRA, 214) : 6-3, 3-6, 7-6 (5)

Issu des qualifications, le Caennais Jules Marie s’est qualifié pour les huitièmes de finale du Challenger de Cherbourg en battant, ce mercredi, Matteo Viola au bout de 2 h 10 de jeu et trois sets. Il avait déjà éliminé le Slovaque Lukas Klein (6-2, 7-6) lundi au premier tour.

J’ai bien entamé la rencontre. C’était un match un peu tendu et crispé avec du suspense. C’est toujours sympa de jouer des matchs comme ça et de les gagner. »

On s’engageait dès les premiers échanges dans un duel de fond court. L’Italien essayait bien de prendre le filet mais il se faisait contrer. Tant et si bien que c’est Jules Marie qui prenait les devants (5/1). Il variait son jeu et, avec sa qualité de passings et ses quelques amorties, il prenait à défaut son adversaire et remportait la manche initiale par 6 jeux à 3.

Cela restait très disputé. Après une égalité à 2 jeux partout, Jules Marie se montrait en difficulté. Matteo Viola alignait ainsi trois jeux d’affilée pour mener 5/2. Le deuxième set ne pouvait plus échapper à l’Italien (6/3).

 J’ai eu un petit coup de barre physique et il a mieux joué en commettant moins de fautes »

Un tie-break final bien maîtrisé

Il fallait donc avoir recours à la manche décisive. Le Caennais retrouvait des couleurs puisqu’il allait faire la différence (4/1). Après avoir gâché deux balles de 5/1, il voyait l’Italien recoller (4/3). Ce dernier prenait même l’avantage (6/5).

Mais Jules Marie, porté par ses supporters, ne pouvait pas laisser le gain de ce match au regard de la qualité de sa prestation. On eut droit à un tie-break qui fut à l’image de la rencontre, c’est-à-dire âprement disputé. Et après avoir été mené par 5 points à 4, le Normand alignait trois points d’affilée pour conclure sur sa première balle de match.

Face à un autre Italien ce jeudi en huitième de finale

Jules Marie (Fra, 28 ans, 965e) affronte, ce jeudi après-midi, Roberto Marcora (Ita, 30 ans, 166e) en huitièmes de finale. Le public de Chantereyne devrait être encore une fois à fond derrière son chouchou.

Je joue bien en ce moment donc pourquoi pas faire un bon parcours ici. J’y pensais mais de là à le faire… »

Lire aussi : Tennis : la 4e journée du Challenger de Cherbourg en images

Twirling bâton : des champions départementaux à Crulai

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Lou-Ann, Lorianne, Alicia, Emma, Méghane et Sophie (devant) sont championnes de l'Orne

Lou-Ann, Lorianne, Alicia, Emma, Méghane et Sophie (devant) sont championnes de l’Orne (©T crulai)

Le Twirling Crulaisien a participé à la première compétition du championnat national N3 les 1er et 2 février dernier. Les résultats sont très encourageants pour les athlètes.

Solos

Benjamines : Sophie Nouail, championne du département.

Benjamins : Baldon Guilletti, champion du département.

Minimes F. : Stella Bredy-Guidette, championne du département ; Lou-Ann Rolland, médaille d’argent, vice-championne du département ; Ellyne Denos, médaille de bronze.

Cadettes : Téana Blondel, championne du département.

Cadets : Dylane Denos, champion du département.

Juniors : Jade Piret, championne du département.

Duos

Minimes : Ellyne et Lou-Ann, championnes du département.

Cadets : Clémence et Louise, championnes du département.

Juniors : Jade et Téana, championnes du département.

Enfin l’équipe minime, Lou-Ann, Lorianne, Alicia, Emma, Méghane et Sophie, a clôturé le palmarès avec le titre de championne du département pour leur première participation en championnat.


Que faire pendant les vacances à Évreux ?

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Modelage à la Maison des arts, anglais à la MJC, chimie à ,la Maison des découvertes...

Modelage à la Maison des arts, anglais à la MJC, chimie à ,la Maison des découvertes… (©DR)

Arts plastiques

Pendant les vacances de février, la Maison des Arts Solange-Baudoux propose des stages :

* de sculpture/matières/couleurs, thématisé sur le cadavre exquis en boîte, animé par Emmanuel André et à destination des 5-8 ans, les 17 et 18 février de 10 h à 12 h et de 14 h à 16 h ;

* de modelage sur terre, avec Christiane Müller et à destination des 7-12 ans, les 27 et 28 février de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 16 h 30 ;

* et de modelage de héro de BD en plastiline, avec Christiane Müller, pour les ados de 10 à 16 ans, le 29 février, de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 16 h 30.

Renseignements et inscriptions : 02 32 78 85 40.

Lire aussi : BD. Alain Dodier en dédicace à Evreux

Jeux en bois, chimie et mécanique

La Maison de l’Enfant et des Découvertes propose trois stages :

* Fabrication de jeux en bois du 17 au 21 février de 14 h à 17 h, pour les enfants dès 10 ans. Tarif : 81 € + adhésion.

* P’tits chimistes, du 24 au 28 février, de 10 h à 12 h, pour les petits de 4 et 5 ans. Tarif : 70 € + adhésion.

* Roule tes mécaniques, du 24 au 28 février, de 14 h à 17 h, pour les 7-12 ans. Tarif : 81 € + adhésion.

Inscriptions obligatoires : 02 32 33 47 39

Langues, théâtre et écriture

La Maison des Jeunes et de la Culture Bel-Ébat propose trois stages pendant ces vacances de février :

* L’anglais en cuisinant : mardi 18 février de 10 h à 12 h pour les 5-6 ans, et de 14 h à 16 h 30 pour les 7-10 ans. Tarifs en fonction du créneau horaire.

* Mlle Aude organise un stage de théâtre pour les enfants (7-11 ans) du 24 au 28 février, de 10 h à 12 h. Tarifs : 70 €, 60 € pour les adhérents.

* Un atelier d’écriture mené par Axel Desgrouas, compositeur et chanteur de Metro Verlaine, du 24 au 26 février, de 10 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 16 h, accessible dès 13 ans. Tarifs : 70 €, 60 € pour les adhérents.

Inscriptions obligatoires : 09 72 601 600.

 

Météo : alerte aux vents forts, à la pluie et aux orages ce jeudi en Lorraine

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La pluie s'est abattue sur Nancy en début d'après-midi ce jeudi 13 février 2020.

La pluie s’est abattue sur Nancy en début d’après-midi ce jeudi 13 février 2020. (©Nicolas Zaugra/Lorraine Actu)

Après la tempête Ciara survenue dans la nuit de dimanche 9 à lundi 10 février 2020, la Lorraine va de nouveau devoir faire face à de fortes rafales de vent et de fortes pluies.

L’ensemble de la région est en effet placé en vigilance jaune par Météo France.

Lire aussi : Tempête Ciara : le toit d’un collège s’envole en Lorraine, les élèves étaient en cours

Alerte aux vents violents

Selon Météo France, la Meuse, la Meurthe-et-Moselle et la Moselle vont être le théâtre d’averses orageuses ce jeudi 13 février 2020. Une nouvelle perçue comme inquiétante lorsque l’on sait que les sols sont actuellement toujours gorgés d’eau et que le niveau des cours d’eau est toujours élevé.

Des rafales atteignant les 90 km/h sont attendues en Lorraine ce jeudi.

Des rafales atteignant les 90 km/h sont attendues en Lorraine ce jeudi. (©Météo France/Screen)

La région, y compris les Vosges cette fois, va également devoir faire face à de fortes rafales de vent. Si elles seront plus faibles que celles de la tempête Ciara, 90 km/h, les services météorologiques appellent toutefois à la prudence.

Des orages sont également attendus en fin d'après-midi en Lorraine.

Des orages sont également attendus en fin d’après-midi en Lorraine. (©Météo France)

Municipales à Lille. Qui sont les 61 candidats sur la liste de Violette Spillebout (LREM) ?

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Découvrez les 61 personnes qui composent la liste de Violette Spillebout (LREM) pour les élections municipales à Lille (Nord).

Découvrez les 61 personnes qui composent la liste de Violette Spillebout (LREM) pour les élections municipales à Lille (Nord). (© Nicolas Demollien/Lille actu)

On sait désormais officiellement qui accompagnera la candidate LREM Violette Spillebout pour les élections municipales 2020 à Lille (Nord). Les 61 noms qui composent sa liste viennent en effet d’être dévoilés.

Une liste que l’équipe de campagne qualifie « de renouvellement réel » avec une place largement faite « aux jeunes, à la diversité et aux experts ». Et la candidate de glisser : « le renouvellement est très attendu par les Lillois, dans une ville tenue par les mêmes depuis 25 ans ».

Lire aussi : Municipales à Lille. Martine Aubry présente sa liste et les priorités de son programme

44 novices en politique

Sur les 61 noms qui composent la liste, 44 personnes vivront là leur première candidature à une élection. 57 habitent la ville, les quatre restants habitent dans la métropole à Lille. Le plus jeune candidat a 19 ans, le plus âgé 74 ans. La moyenne d’âge est ainsi de 46 ans.

On  note que 21 personnes sont sans étiquette politique, les autres étant issus de LREM (23), du Modem (7), des Sociaux Démocrates Lillois (5), UDI (3), MRSL (1) et UDE (1).

Lire aussi : Municipales 2020 à Lille. Écologie et sécurité au cœur de vos préoccupations pour le prochain mandat

Enfin, Violette Spillebout insiste sur le fait que 20 personnes sont issues de l’appel aux Lillois lancé par son équipe. Pour mémoire, il s’agissait d’inciter les citoyens qui n’avaient jamais osé se présenter, particulièrement les femmes, à le faire. 

Nous nous étions engagés à réserver quinze places sur la liste, nous avons été au-delà avec 20. Et en bonne place, 14 sont éligibles dans la perspective de la victoire.

Les 61 noms sur la liste

Les 61 noms qui composent la liste de Violette Spillebout sont les suivants : 

1 – Violette Spillebout, 47 ans, directrice de la Relation Client
2 – Ali Douffi, 45 ans, opticien
3 – Ingrid Brulant, consultante en communication
4 – Nicolas Lebas, 53 ans, administrateur territorial et vice-président de la Région Hauts-de-France
5 – Vanessa Duhamel, 49 ans, directrice de joaillerie
6 – Bernard Charles, 63 ans, élu au conseil municipal de Lille
7 – Clémentine Dupuy, 23 ans, étudiante
8 – Emmanuel Chatelain, 59 ans, directeur de clientèle
9 – Brigitte Liso, 60 ans, députée du Nord
10 – Louis-Dominique Laugier, 74 ans, magistrat honoraire
11 – Najate Muller, 53 ans, chef d’entreprise
12 – Thomas Werquin, 46 ans, urbaniste
13 – Audrey Regnauld, 46 ans, expert collectivités en transition énergétique
14 – Laurent Guyot, 56 ans, directeur aménagement et développement
15 – Victoria Godefrood-Berra, 32 ans, avocat
16 – François Kinget, 39 ans, ostéopathe
17 – Sophie Bricout, 44 ans, conseillère régionale de la Région Hauts-de-France
18 – Florian Thieffry, 27 ans, chef d’entreprise et enseignant en science politique
19 – Dei Muteba, 43 ans, attachée parlementaire
20 – Thibault Denis du Péage, 31 ans, enseignant
21 – Delphine Garnier, 52 ans, consultante export
22 – Nicolas Blaringhem, 50 ans, agent immobilier
23 – Sophie Nikula, 47 ans, chef d’entreprise
24 – Béchir Boudjemaa, 59 ans, médecin du sport
25 – Romande Bouillez, 21 ans, étudiante
26 – Hugo Tardif, 26 ans, urbaniste
27 – Isabelle Plenier, 56 ans, chirurgien
28 – Michel Coursil, 54 ans, créateur d’entreprise
29 – Stéphanie Allard, 43 ans, orthophniste
30 – Faouzi Khireddine, 52 ans, directeur du développement
31 – Sarah Bibaut, 42 ans, responsable d’agence conseil
32 – Pierre Brahic, 52 ans, entrepreneur
33 – Louise Challal, 57 ans, manager développement
34 – Jean-Jacques Kizimale, 50 ans, médiateur social
35 – Marie Noël, 30 ans, responsable développement
36 – Benoît Hivon, 51 ans, responsable pédagogique
37 – Maryvonne Savary, 65 ans, ancienne cadre en financement immobilier
38 – Thomas Sanchez, 30 ans, responsable culture et communication
39 – Annie Barde – Merac, 63 ans, dentiste
40 – Rémi Bureau, 52 ans, chef d’entreprise
41 – Mélodie Bernal, 24 ans, étudiante
42 – Philippe Merviel, 64 ans, retraité du secteur bancaire
43 – Fatima Ghilassene, 51 ans, juriste
44 – Pierre Ferrant, 24 ans, étudiant
45 – Amélia Dantec, 25 ans, élève avocat
46 – David Turotte, 28 ans, chargé de recrutement
47 – Candice Bignot, 29 ans, gérante de commerce
48 – Aïssa El Morabiti, 40 ans, artisan
49 – Mila Legay, 19 ans, étudiante
50 – Grégory Evrard, 32 ans, responsable e-commerce
51 – Souhad Ghazouani, 37 ans, haltérophile de haut niveau
52 – Philippe Duez, 65 ans, consultant en développement économique
53 – Sadia Goudaga, 37 ans, conseillère en insertion professionnelle
54 – Claude Lenglet, 72 ans, ingénieur
55 – Nathalie Lapère, 55 ans, assistante de direction
56 – Jean-Marie Lambrechts, 73 ans, retraité
57 – Christine Petitprez, 72 ans, médecin du travail
58 – Rodrigue Bauchet, 46 ans, comédien
59 – Céline Motti, 49 ans, ingénieur d’affaires BTP
60 – Raphaël Coursier, 44 ans, chirurgien orthopédiste
61 – Prune Richmond, 62 ans, chargée de mission.

Plus d’informations sur le site officiel de Violette Spillebout.

Lire aussi : Municipales 2020 à Lille. Transports, tourisme, numérique… Le Medef fait 50 propositions

En Mayenne, il reste des places pour le concert au profit d'une fillette touchée par le handicap

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Inaya Bouvet (en pantalon rouge, devant à gauche) avec Naty Leroux.

Inaya Bouvet (en pantalon rouge, devant à gauche) avec Naty Leroux. (©Haut Anjou)

Depuis 2013, Naty Leroux, professeur de chant à La Roë (Mayenne), propose de venir en aide aux familles avec des enfants souffrant de handicap grâce à son association Des voix pour un don.

Cette année, ce sont Audrey et Florian Bouvet de Louvigné-de-Bais (Ille-et-Vilaine) qui profiteront des bénéfices de la soirée concert pour continuer à offrir des cours d’équithérapie à la jeune Inaya.

Quatre des six enfants handicapés

La jeune fille souffre d’un autisme léger et de mutisme. Quatre des six enfants du couple souffrent d’un handicap.

La famille cumule entre 18 et 21 rendez-vous médicaux dans la semaine pour leurs enfants. kiné, ergothérapeute, psychomotricienne, orthophoniste, équithérapeute, sans compter les professionnels à rencontrer dans le centre de rééducation, les hôpitaux…

Lire aussi : Ces travailleurs handicapés de La Selle-Craonnaise fabriquent des calendriers pour toute la France

La soirée-concert aura lieu dimanche 15 février 2020 dans la salle de l’Orion, à 20 h sur le thème : Love. Des chanteurs bénévoles interpréteront des solos, duos, trios, de belles chorégraphies et certains refrains seront traduits en langage des signes.

Pratique – Il reste quelques places (tél. : 02 43 06 92 55 ou 06 16 84 00 27). 10 € pour les adultes et 5 € pour les enfants de moins de 10 ans.

Budget travaux : comment l’évaluer au plus juste ?

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Goodluz - stock.adobe.com

Mieux vaut perdre du temps à établir un budget le plus juste possible avant de commencer vos travaux que de gérer les mauvaises surprises financières pendant le chantier. (©Goodluz – stock.adobe.com)

Quel budget sera-t-il nécessaire de débloquer pour mener à bien votre projet de rénovation ? Cette question est cruciale mais il n’est pas toujours facile d’y répondre. Ça dépend en effet de nombreux critères. S’agit-il d’un simple rafraîchissement, d’une transformation partielle ou d’une rénovation complète ? Logiquement, plus le chantier sera complexe, plus il vous coûtera cher. La surface concernée, la qualité des matériaux choisis et le prix de la pose sont des éléments que vous devrez prendre en compte.

Afin de parvenir à l’estimation la plus juste possible (sachant qu’un chantier n’est pas à l’abri d’aléas susceptibles de faire grimper la note), il faut identifier les travaux à réaliser à chaque étape de la rénovation en commençant par le gros œuvre : murs porteurs, poutres, planchers, charpente, toiture, portes, fenêtres. Passez ensuite au second œuvre : revêtements de sol, cloisons et portes intérieures, escalier, plomberie, chauffage, sanitaire, électricité. Puis aux peintures, papiers peints, éléments de décoration…

Fourchettes de prix

Angelov - stock.adobe.com

Le budget dépend évidemment de la nature des travaux : simple rafraîchissement, transformation partielle ou rénovation complète… (©Angelov – stock.adobe.com)

Cette méthode vous aidera à y voir plus clair sur les postes de dépenses à couvrir. En moyenne, comptez autour de 400 €/m2 pour une rénovation basique, 1 000 €/m2 pour des travaux plus importants et 1 500 €/m2 pour une réhabilitation complète. Le coût d’une rénovation complète de la salle de bains ou de la cuisine est estimé entre 500 € et 1 200 €/m2. Des prix qui peuvent s’envoler pour des prestations haut de gamme ou être réduits si vous assurez vous-même une partie des travaux.

Dans le cadre d’une rénovation d’ampleur, si vous avez des doutes sur vos prévisions budgétaires, n’hésitez pas à faire appel à l’expertise d’un architecte ou d’une entreprise générale du bâtiment. Celle-ci ne sera pas gratuite mais pourrait bien, au final, vous faire faire des économies ! Si vous contactez vous-même les artisans, comparez le détail des travaux proposés et leurs tarifs sur au moins trois devis différents.

Des conseils sur mesure

Pour des travaux de rénovation énergétique, les conseillers du service public FAIRE sont là pour vous guider gratuitement. Vous obtiendrez un rendez-vous dans un espace d’accueil proche de chez vous en prenant contact par téléphone au 0808 800 700 ou sur le site.

Sur ce site, vous trouverez également « Simul’Aid€s », un outil sur lequel vous pourrez décrire la situation de votre foyer, les caractéristiques de votre logement et les travaux que vous envisagez afin de déterminer les aides financières auxquelles vous pouvez prétendre. De quoi alléger votre budget !

APEI-Actualités

Baseball-softball : 2020, année de la conquête du championnat national pour Pontivy

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Le club de baseball et de softball de Pontivy (Morbihan) affiche ses ambitions en 2020 avec deux équipes en compétition : l’une restera en régional, l’autre évoluera en national.

Le club de baseball et de softball de Pontivy (Morbihan) affiche ses ambitions en 2020 avec deux équipes en compétition : l’une restera en régional, l’autre évoluera en national. (©Pontivy Journal)

Les Breizhlanders, club de baseball et de softball de Pontivy (Morbihan), affichent leurs ambitions en 2020 avec deux équipes en compétition : l’une restera en régional, l’autre évoluera en national. En plus d’organiser un tournoi national de softball à Pontivy les 30 et 31 mai 2020.

Être dans le top 2 régional pour la saison 2019-2020

Ils sont arrivés à Pontivy, en provenance de Pluméliau, en septembre 2017, et depuis, ils progressent à vitesse grand V. Ils ? Les Breizhlanders de Pontivy, le club de baseball et de softball.

Lire aussi : Baseball. Les Breizhlanders à la conquête de Pontivy

Ils impressionnent en championnat régional depuis deux ans, tenant la dragée haute à des équipes bretonnes plus installées comme Lannion, Brest… En juin 2019, les Pontivyens terminent 2e de l’Open Hawks, le tournoi national qui rassemble 18 équipes françaises, organisé par le club de La Guerche-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine).

On a bien travaillé depuis deux ans pour avoir une équipe qui tienne la route. Pour le moment, on est 2e du championnat régional, derrière Brest qui a quatre matchs de plus que nous. Notre objectif est d’être sur dans les deux premiers : Brest est la plus grosse équipe bretonne. Mais on les a déjà battus…

Sébastien Moine, joueur, est aussi le président des Breizhlanders de Pontivy. Fort de 47 licenciés, le club de baseball-softball est principalement composé de joueurs et joueuses seniors. Seulement dix jeunes ont intégré les Breizhlanders, malgré des initiations proposées aux scolaires.

Lire aussi : Baseball-softball : en championnat régional, Pontivy vise le top 2 cette saison

Deux équipes en 2020, une régionale et une nationale

Grâce cette réserve de seniors et aux futurs recrutements, les Breizhlanders vont pouvoir aligner deux équipes l’année prochaine.

Une équipe restera en championnat régional, l’autre ira en national. En national, l’équipe sera strictement masculine (Ndlr : il n’y a pas de mixité à ce haut niveau). On fera des déplacements essentiellement sur l’ouest de la France. On va voir comment ça va se passer… 

Les Pontivyens sont dans les starting-blocks : ils vont enchaîner plusieurs tournois nationaux avant la reprise de la saison en extérieur début avril. Comme les 1er et 2 février 2020 à Rennes, où ils affrontaient Lannion, Paris ou encore Rouen, « la plus grosse équipe française ». En mars 2020, direction Le Mans, pour un autre tournoi national.

Un tournoi national à Pontivy fin mai

Avant le leur. Leur tournoi national sur le site de Toulboubou à Pontivy, samedi 30 et dimanche 31 mai 2020 : la Pondi Soft Cup. Une vingtaine d’équipes sont attendues.

Une dizaine d’équipes est déjà inscrite. Comme celle de Montigny-le-Bretonneux (Yvelines), le club de Mélissa Mayeux, la seule Française qui évolue aux États-Unis aujourd’hui (Ndlr : passée par Miami avant de rejoindre les Ragin’ Cajuns de Louisiane, championne d’Europe 2019 avec l’équipe de France féminine de baseball). Il y aura aussi les équipes de Grand-Champ, Ploërmel, Lannion, Brest, Bordeaux… Nous devions avoir deux équipes britanniques, mais le tournoi tombe au milieu de leur championnat. Ce sera pour la prochaine fois ! On a déjà des joueurs impliqués, qui font des résultats, ce tournoi va développer le softball en Centre-Bretagne.

Publiée par Breizhlanders – Pontivy baseball/softball sur Lundi 16 décembre 2019

Une championne à Pontivy les 22 et 23 février

Pontivy, bientôt cité incontournable du baseball et softball ? Et pourquoi pas ? Autre signe qui ne trompe pas, la venue Raïna Hunter, joueuse de l’équipe de France de softball et sept fois championne de France, à Pontivy samedi 22 et dimanche 23 février 2020.

Raïna Hunter animera un stage sur un week-end complet, pour faire progresser les pitchers (lanceurs) et les catchers (receveurs). Nous serons 20, dix Pontivyens et dix joueurs de l’extérieur. C’est une reconnaissance ! Cela montre que le club est investi sur le territoire.

Infos pratiques
Samedi 30 et dimanche 31 mai 2020, à Toulboubou à Pontivy (Morbihan), Pondi Soft Cup avec une vingtaine d’équipes françaises de softball. Entrée gratuite, buvette et restauration sur place.

Seine-et-Marne. Les élèves se testent sur la scène du Paddy Rock

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Les élèves ont de l'EMMDT ont investi la scène du Paddy

Les élèves ont de l’EMMDT ont investi la scène du Paddy (©RSM77/F.R)

Une manière pour les élèves d’évoluer en condition réelle. Mercredi 5 février, l’école municipale de musique, danse et théâtre de Saint-Fargeau-Ponthierry a investi, le Paddy Rock, à Chailly-en-Bière. « De 10 à 70 ans, les élèves ont répondu présent », souligne Philippe Debeneix qui gère au bon fonctionnement de l’EMMDT.

Avec les consommations des familles, le bar a également tiré son épingle du jeu. Un bon compromis qui évite une location de salle et qui permet surtout de mettre les élèves en parfaite immersion. 

« Il s’agit d’une vraie scène, avec un vrai public, du coup les groupes d’élèves ont tendance à être un peu plus stressés, poursuit-il. Ils doivent penser à tout, la balance, les passages de câbles, la position des pédales, le contexte est différent des cours au sein de l’école. »

Si pour le moment les séances sont annuelles, le rythme devrait prochainement s’accélérer. « C’est la proposition que je vais faire au responsable du Paddy Rock », conclut Philippe Debeneix. En attendant, les prochains concerts de musiques actuelles sont programmés les 26 et 27 février (19h), à Espace culturel des 26 couleurs Saint Fargeau Ponthierry

Renseignements – EMMDT : 81, avenue de fontainebleau à Saint-Fargeau-Ponthierry. PADDY ROCK : 27, route de Paris, à Chailly-en-Bière


Marne. Montmirail : 2019 année de succès pour l'immobilier

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Stéphane Paquet:

Stéphane Paquet. (©LPB)

Les résultats des agences immobilières sont sortis. On assiste à une augmentation significative des ventes en 2019. Les biens changent de main rapidement et c’est le boum de l’immobilier. Pour l’année 2019, on a pu enregistrer plus d’un million de transactions immobilières partout en France.

Beaucoup de facteurs viennent expliquer ce phénomène. Sylvie, Jean-Bernard et Stéphane sont des professionnels de l’immobilier à Montmirail. Ils connaissent le marché et ne sont pas surpris par cette année profitable autant aux vendeurs qu’aux acquéreurs.

Les taux d’intérêt en chute libre

La première des explications vient des taux d’intérêt constamment en baisse depuis quelques années. Cela rend les emprunts plus attractifs même si parfois compliqués avec les banques qui ne veulent plus prendre de risques avec des profits moindres. Le temps de vaches grasses des banques est terminé et ce sont les emprunteurs qui en profitent. Les épargnants eux, déplorent la baisse des taux d’intérêt et nombreux sont ceux qui finissent par cesser les placements bancaires devenus peu rentables pour passer « à la pierre ». Ils achètent alors des propriétés à mettre en location avec un profit plus grand.

La migration sociale

Jean-Bernard attire l’attention sur un phénomène qui a révolutionné la vie des Français depuis plus de 50 ans. Au début du XXe siècle, on se mariait et on achetait une maison. Cette maison allait rester le foyer de la famille toute la vie. La maison était ensuite transmise par héritage.

Ce début de XXIe siècle a apporté une tout autre manière de vivre. Désormais, on loue les biens et même si l’on se porte acquéreur, on sait souvent que ce n’est que provisoire et que la maison sera vendue en quelques années.

Les familles se déplacent pour des raisons professionnelles. Les Français sont devenus des migrants allant de région en région, changeant au gré de la vie professionnelle ou familiale.

La famille décomposée et recomposée

Un autre élément important entre en ligne de compte dans ces changements d’habitations plus fréquents que par le passé. Les familles se construisent d’une manière différente qu’à la fin de la 2e guerre mondiale. Au début du siècle dernier, on se mariait souvent pour la vie, le meilleur et le pire et souvent, malgré le pire, on ne partait pas.

La société moderne a apporté un assouplissement de ces règles et les familles se forment et se défont de manière plus naturelle. Le mariage n’est plus ressenti comme une obligation et les ruptures peuvent changer la vie de ces familles qui vont chacune de leur côté construire une vie nouvelle.

Le changement d’habitation est une des conséquences de ces ruptures.

« On cherche plus grand »

Et puis, il reste également ceux qui, déjà propriétaires, osent le pas « vers une maison plus grande ». Ayant vécu quelques années dans une première maison, on se permet de rêver à plus grand avec un terrain et on change de maison mettant en vente la première pour en acheter une autre. Ce sont deux biens qui changeront de main dans les six mois suivants.

On l’aura compris, les raisons de cette année faste pour les vendeurs de maisons ont des causes multiples. Pour investir à Montmirail, 2020 est la bonne année. Gageons que l’année 2020 continuera à garder le secteur de l’immobilier actif. Les résultats des agences immobilières sont souvent le reflet de la bonne santé d’une société. Les investissements sur le territoire montmiraillais restent donc une opportunité à étudier.

Karaté : le SPN de Vernon récolte 48 médailles

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Le SPN Vernon a remporté 48 médailles le week-end dernier.

Le SPN Vernon a remporté 48 médailles le week-end dernier. (©Le Démocrate vernonnais)

Un week-end décisif attendait les Karatékas normand à Forges-les-eaux avec la tenue des championnats de Normandie combats. Cette compétition réunit chaque année environ 500 athlètes de la région qui viennent décrocher leur qualification aux championnats de France.

Dominateur depuis de longues années, le SPN Vernon abordait une nouvelle fois ce championnat avec l’ambition de qualifier un maximum d’athlètes.

Ce fut un bilan hors norme encore une fois avec 48 médailles dont 32 qualifications individuelles et trois équipes qualifiées.

Lire aussi : Avec le SPN karaté à Vernon : un nouveau cours de self-défense pour les femmes

Cinq titres pour les jeunes

Le samedi était dédié aux plus jeunes qui remportent 10 médailles dont cinq titres et huit qualifications avec Marcelin Sino, Ilyes Charafdine, Gabriel Fillau-Lefebvre, Lylou André et Ilona Sireude qui remportent le titre de champion de Normandie. Ils sont suivi par Marwa Id-Yassine, Norah El Gaddah, Thibaut  qui remportent l’argent; enfin Firdaws Id Yassine et Jivane Koc remportent le bronze.

Les ados, adultes et épreuves par équipe se déroulaient le dimanche et le SPN Vernon a remporté 38 médailles dont onze titres, seize finales disputées et qualification. 

Podium chez les filles

En minimes, ce fut un podium vernonnais chez les filles -50kg avec Pauline Lesieur en or, Nourhane Bencheikh en argent et Gwendoline Caux en bronze. Imrane Id Yassine remporte l’argent pour son retour à la compétition et il est suivi par Merveille Nougbodohoue qui se classe 5e et se qualifie.

En cadets, Ikram Bencheikh, Yanis Boumad remporte l’or, ils sont  suivi par Melina Kinouani qui remportent l’argent. Enfin, Nicola Strohm  et Timothée Toulet se classent 5e .

En junior, finale 100% vernonnaise entre Tiphaine Lefebvre ( 1re) et Soukhaïna Dzogang (2e).

Chez les Garçons, Sofiane Boubidi remporte facilement le titre et est suivi par Brendon Guillot qui prend l’argent. Les équipes Juniors filles conservent leur titre régional et les Garçons doivent se contenter de l’argent. 

Enfin en senior, deux finales vernonnaises entre Bora Guloren (1er) Face à Karime Ramdane ( 2e) en -75kg et David Lopes (1er) face à Lyes Larbaoui (2e) en -84kg.

Jason Blanchet en -67kg et Soraya Sabbani -68kg remportent également l’or et enfin Jonathan Grivel doit se contenter de l’argent.. Nasser Amguine passera à coté de son compétition et devra se contenter de la 5e place.

Comme chaque année, l’équipe seniors masculine remportera le titre régional face à nos amis de Breteuil dans une belle finale fraternelle.

Les champions Vernonnais  permettent au club de se classer une nouvelle fois premier club normand.

Infos et renseignements http://spnkarate.wix.com/spnkarate ou 06 25 63 19 28.

Avranches : l'église ferme après la tempête Ciara

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L’église Notre-Dame-des-Champs est fermée depuis le mardi 11 février 2020. La Ville d’Avranches a pris un arrêté de fermeture considérant que l’état des locaux compromet « gravement la sécurité du public. » La tempête Ciara a endommagé deux vitraux de l’église.

Ces derniers sont situés sur le côté de l’église orienté vers le Foyer des jeunes travailleurs. 

« Quelques mois »

Ludovic Coudrat, le directeur de la communication à la ville donne des précisions :

« Etant dans des espaces accessibles au public, il a donc été décidé de fermer l’église temporairement le temps de la sécuriser, probablement pour quelques mois. »

Le coût des travaux « est difficilement chiffrable dès maintenant car très peu d’entreprises sont spécialisées dans ce type de prestation et l’intervention nécessite sûrement un diagnostic plus approfondi avant de lancer les réparations », indique Ludovic Coudrat.

Communions en avril

De son côté le père Hervé Destrès comprend cette décision.

 À partir du moment où il y a un risque, il faut sécuriser. Un autre coup de vent peut arriver. 

L’église Notre-Dame-des-Champs reste un lieu cultuel important. Y a été célébrée la Sainte-Genevière des gendarmes début février. Les communions se dérouleront en avril, tout comme les mariages.

Deux églises fermées

Il ne reste à ce jour plus qu’une église sur trois ouvertes à Avranches. L’église Saint-Saturin est fermée depuis 2 ans. Elle avait fermé pour des questions de sécurité. Il n’y a aucun projet pour l’instant pour cet édifice religieux.

 

Lire aussi : Une cheminée menace de s’écrouler dans le centre-ville d’Avranches, la rue de la Constitution coupée

Municipales 2020 : Bernard Cavé présente sa liste pour Fercé

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Une première liste a été dévoilée pour les prochaines élections municipales de Fercé (Loire-Atlantique), en mars 2020.

Une première liste a été dévoilée pour les prochaines élections municipales de Fercé (Loire-Atlantique), en mars 2020. (©L’Éclaireur)

« Une équipe solidaire pour servir et défendre Fercé (Loire-Atlantique) ». Bernard Cavé, agriculteur, ainsi que ses colistiers, se présenteront aux suffrages des Fercéennes et Fercéens en mars prochain.

Leur liste est composée de six hommes et cinq femmes, parmi lesquelles deux ont déjà vécu l’expérience d’un conseil municipal. Dans l’esprit d’ouverture, cette équipe intègre aussi de « nouveaux installés » dans la commune. Tous désireux de participer activement à la vie communale.

Lire aussi : Municipales : les entreprises du Pays de Châteaubriant interpellent les candidats

Voici, par ordre alphabétique, la composition de cette équipe : Jean-François Baudrier, 47 ans, ouvrier maçon et musicien ; Evelyne Boucherie, 58 ans ; Pierrick Boudet, 60 ans, retraité ; Bernard Cavé, 62 ans, agriculteur ; Philippe David, 59 ans, ancien commerçant artisan, chef d’entreprise ; Elisabeth du Boispéan, 67 ans ; Loreleï Gautier, 25 ans, conseillère en insertion professionnelle ; Estelle Gérard, 27 ans, secrétaire de mairie ; Anne Jégard, 67 ans, retraitée ; Emmanuel Hoarau, 36 ans, peintre industriel ; Jacques Rakotomalala, 44 ans, technicien monteur pneumatique.

La présidente du RN, Marine Le Pen veut éradiquer « l'insécurité et la délinquance » à Rouen

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Sur les quais de Rouen ce matin, la présidente du Rassemblement National, est venu soutenir le candidat Guillaume Pennelle pour les élections municipales

Sur les quais de Rouen jeudi 13 février 2020 au matin, la présidente du Rassemblement National, Marine Le Pen est venue soutenir le candidat Guillaume Pennelle pour les élections municipales (©Yann Rivallan/76actu)

Alors que la pluie venait de s’arrêter, jeudi 13 février 2020 au matin, une certaine Marine Le Pen a pointé le bout de son nez sur les quais de la rive-droite de Rouen (Seine-Maritime). Venue soutenir le candidat investi par le Rassemblement National pour les prochaines élections municipales, Guillaume Pennelle, la présidente du parti d’extrême droite a voulu frapper les esprits et rappeler « la priorité » que représente pour elle « l’implantation locale et les élections de proximité ».

La sécurité à Rouen : « une honte »

D’entrée de jeu, le ton était donné. « L’insécurité » est revenue à mainte reprises dans la bouche de la mandataire du parti frontiste. On le savait déjà, la « sécurité » est l’un des grands thèmes qui composent le programme de Guillaume Pennelle pour la ville de Rouen. Une sécurité qu’il semble primordial de développer, selon Marine Le Pen, sachant qu’il n’y a « que 52 policiers municipaux, non armés, pour toute la ville de Rouen ». Une « honte » pour Guillaume Pennelle qui rappelle que « 110 000 personnes » vivent dans la capitale normande. 

Lire aussi : INTERVIEW. Municipales à Rouen : Guillaume Pennelle repart avec les couleurs du RN

La solution ? Augmenter le nombre de « caméras de vidéosurveillance, armer la police municipale » et surtout doubler les effectifs pour que les services soient opérationnels 24 heures sur 24. Des solutions basées sur ce qui se fait déjà dans d’autres municipalités où le parti d’extrême droite est majoritaire et qui, selon sa représentante, « fonctionnent ».

L’immigration, « un élément d’aggravation de l’insécurité »

Pour compléter, Marine Le Pen n’a pas hésité à rappeler que « l’insécurité a baissé dans les villes Rassemblement national », à l’inverse « des autres » villes gérés par ses opposants. Pour étayer son propos, elle s’est empressée de ressortir les chiffres de la sécurité à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), pour « l’exemple ». 

Lire aussi : Municipales à Rouen. Le Rassemblement National présente ses mesures liées à la sécurité

Cette baisse significative des incivilités dans les communes du parti s’expliquent, pour elle, par un « assez faible problème d’immigration clandestine ». Immigration clandestine qui serait, d’après la mandataire, « incontestablement un élément d’aggravation assez spectaculaire de l’insécurité » et de la « déliquance » dans les grandes villes de France comme à Paris – là aussi pour l’exemple – où « près de la moitié des auteurs de délits et de crimes sont étrangers ».

À la conquête des municipalités en Seine-Maritime

Les « hyper-centres » comme aiment les appeler les élus du Rassemblement National, sont une priorité dans leur campagne municipale. Rouen en fait indéniablement partie, mais dans le département de Seine-Maritime, les plus petites communes, « aux mains de la gauche et sans opposition », sont aussi convoités par le RN qui envisage de faire « barrage au socialisme ». Guillaume Pennelle cite notamment des communes de la rive gauche de Rouen, telles que Sotteville, Grand-Quevilly ou encore Petit-Quevilly qui semblent être des cibles prioritaires pour le parti. 

Lire aussi : Marine Le Pen à Rouen. Une manifestation contre le Front National prévue

Marine Le Pen le rappelle, leur seul objectif est de « conserver » toutes leurs communes. Pour le reste, il n’y a « pas d’objectif » dans la mesure où « personne n’est capable de prévoir » les issues de ces élections municipales. Mais « chaque commune gagnée sera une victoire », dit-elle en souriant. 

La déroute du « clivage gauche-droite », c’est l’annonce d’un « nouveau clivage entre mondialistes et nationalistes » assure la présidente du RN. Deux blocs qui se formeraient autour de La République En Marche et du RN, et qui assureraient une position inédite pour le parti d’extrême droite lors des prochaines « élections locales », que sont « les départementales et régionales ». « Une implantation locale qui nécessite du temps », selon Marine Le Pen. Mais, elle et son parti comptent bien sur un « succès » dans les prochains mois. Petit à petit, l’oiseau fait son nid.

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