Un accident de la circulation s’est produit mardi 11 février sur la RN 157, au niveau du radar automatique de Noyal-sur-Vilaine, dans le sens Rennes-Paris.
Plusieurs kilomètres de bouchons se sont formés dans ce sens. Vers Rennes aussi, un important ralentissement est constaté.
Samedi 8 février 2020, à Quimper (Finistère), tout est parti du refus d’un automobiliste de se soustraire à un contrôle de police.
À la vue d’une patrouille, le jeune homme de 20 ans a pris la fuite à vive allure. La course-poursuite avec les forces de l’ordre a commencé dans le quartier de Kermoysan. C’était vers 13 h 30.
Le magistrat de permanence du parquet de Quimper raconte la suite des faits :
Pour échapper à la police, l’individu a pris des risques inconsidérés en empruntant une voie piétonne. Il a aussi pris un rond-point à contre sens et a failli percuter deux véhicules.
Deux passagers en fuite
Son véhicule a finalement terminé sa course sur le bas-côté, un peu plus loin. Sans faire de blessé.
Deux autres personnes se trouvaient à bord. Elles ont réussi à s’enfuir.
Seul le conducteur a pu être interpellé. Il doit être jugé mardi 11 février 2020 en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Quimper. Il est poursuivi pour refus d’obtempérer, mise en danger de vie d’autrui et conduite sans permis.
Le jeune homme est déjà connu des services de police et de justice. En attendant son procès, il a été placé en détention provisoire.
Jeudi 30 janvier, à la salle La Garenne à Verneuil-sur-Seine (Yvelines), le candidat tête de liste Naturellement Verneuil, Fabien Aufrechter, a pris position concernant deux dossiers sensibles : le projet de déviation de la RD154 et celui de la pointe de Verneuil qui prévoit la construction d’une marina et de 600 logements (lire ci-dessous).
Concernant la déviation : « Le sujet a cristallisé beaucoup de tensions sur le territoire », note le candidat qui rappelle que sur 750 personnes interrogées à Verneuil, 70 % ont répondu être défavorables au projet.
Beaucoup disent qu’ils sont contre car ils disent ne pas avoir eu suffisamment d’information sur le projet et d’une manière générale, ils estiment qu’il y a eu un manque de concertation. »
Fabien Aufrechter précise par ailleurs que les habitants du boulevard André-Malraux (RD154 actuelle) ne se plaignent pas du trafic car ils sont équipés en double vitrage.
Les quelques commerçants installés là en revanche, se disent favorables à la déviation car ils pensent que les voitures rouleront moins vite sur le boulevard et qu’ils auront plus de clients qui s’arrêteront chez eux. »
Naturellement Verneuil note enfin que ce projet n’est pas porté par la commune mais par le Département.
À Verneuil, nous avons besoin du Département, de la communauté urbaine, de la Région, de l’État. Il est hors de question de s’opposer frontalement à ces strates territoriales ! » En même temps, « il n’est pas question non plus de passer outre le fait que 70 % des personnes interrogées sont défavorables au projet. »
Consultation citoyenne
Fabien Aufrechter a donc pris la décision, que s’il est élu en mars prochain, il organisera une consultation citoyenne avant la fin de l’année.
Je publierai tous les documents en ma possession. Je souhaiterais que les habitants mais aussi les professionnels qui travaillent à Verneuil sans y habiter pour autant, participent à cette consultation. »
Pascal Collado, maire sortant de Vernouillet et candidat à sa propre succession, a fait savoir qu’il ferait la même démarche en cas de réélection.
« Quoi qu’il advienne, que les gens votent pour ou contre, j’en ferai ma position. Et si le non l’emportait, nous tiendrons parole sur l’aménagement de la RD154 en lien avec le Département et avec la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise. » Le candidat indique avoir « tendu une perche » à Pierre Bédier.
J’attends sa réponse. Le bruit fait son chemin, j’ai également été contacté par le sous-préfet de Saint-Germain-en-Laye qui m’a indiqué qu’il ne souhaitait pas prendre position avant le résultat des élections en mars prochain. »
Une alternative à la marina
Fabien Aufrechter a rencontré les représentants de Bouygues immobilier qui porte le projet de construction d’un nouveau quartier sur la pointe de Verneuil, avec notamment l’aménagement d’une marina avec 150 anneaux et la création de 600 logements.
« Nous avons rencontré toutes les associations, que ce soit Adiv-Environnement, Bien vivre à Vernouillet, la Ligue de protection des oiseaux, mais aussi le président de l’aérodrome de Verneuil-Les Mureaux. Nous constatons que l’opposition au projet de marina est avant tout une opposition à la construction de n’importe quoi n’importe où. »
La conclusion de Fabien Aufrechter est également négative pour différentes raisons. Il cite les différentes formes de pollution associées à ce terrain et à son emplacement : pollution sonore avec la voie de chemin de fer côté Verneuil mais aussi côté Triel et avec la proximité de la piste de décollage de l’aérodrome. Pollution des sols, pollution olfactive en raison des quelques activités industrielles qui demeurent et notamment de la station d’épuration à proximité. Il souligne le risque d’inondation « même si le terrain n’est pas entièrement inondable en raison de remblais plus ou moins légaux qui ont été réalisés. »
Autres arguments en défaveur de l’aménagement d’un quartier d’habitation sur la pointe de Verneuil : le caractère enclavé du site.
C’est dangereux en cas d’incendie, d’accident, etc. Cette zone est très mal desservie et est située à équidistance entre la gare des Clairières et celle de Verneuil-Vernouillet, soit à 25 minutes à pied. On ne peut pas construire des logements sur cette pointe car cela générerait du trafic sur un espace restreint avec des conséquences sur le reste de la ville. »
Quant à l’idée d’une marina, Fabien Aufrechter estime qu’il n’y a pas de besoin particulier, vu qu’il existe déjà un port dans l’île de loisirs Val-de-Seine.
À la place de ce projet, la tête de liste propose une double alternative. Selon lui, l’actuelle zone d’activité délimitée par la RD59 et la voie ferrée est en perte de vitesse. Il propose de déplacer les quelques activités existantes et de réaménager la surface, qui est quasiment aussi grande que la pointe de Verneuil pour y construire des logements dans le cadre de l’opération d’intérêt national. Cette zone est située derrière la gare des Clairières. Une liaison pourrait être imaginée.
Avec Eole, les habitants pourront prendre le RER pour rejoindre la gare de Verneuil-Vernouillet d’où ils seront à 10 minutes à pied du centre de Verneuil. »
Les nuisances sonores liées à l’aérodrome, à cet emplacement, sont nettement inférieures à celles subies sur la pointe de Verneuil, affirme le candidat qui a réalisé des tests sur place.
Et sur la pointe de Verneuil, le candidat propose de réfléchir à la création d’un pôle de compétitivité, mêlant université et monde de l’entreprise, qui pourrait s’intégrer dans le cadre naturel environnant en bord de Seine (avec ses zones humides).
En cas d’élection en mars, ces deux idées de projets feraient l’objet d’une concertation préalable avec les habitants.
En tout cas, il est possible d’arrêter la marina et de présenter un contre-projet raisonnable. Si je ne suis pas élu en mars, je souhaite que le futur maire fasse ce choix également. »
Le président du Collecthon du pays deMalestroit (Morbihan), Janick Hercelin, a dressé un bilan en nette baisse concernant les recettes de l’année 2019.
Bien que l’AFM Téléthon soit tout à fait satisfaite des actions menées à Malestroit qui reste une valeur sûre dans le département, les comptes qui ont été présentés et validés montrent une baisse significative de 24 % par rapport à 2018.
Certaines activités ont eu de très bons résultats comme la pétanque ou le cross des écoles mais le gala de football, le vide-greniers ou le fest-noz sont en fort recul. D’autres, comme les courses de décembre, à pieds ou à vélo, s’essoufflent un peu.
Pas assez d’associations
Les associations sont nombreuses à Malestroit mais très peu d’entre elles se mobilisent pour le Téléthon. Les membres du Collecthon déplorent :
Ce sont toujours les mêmes qui répondent présents.
Ils espèrent en fédérer un peu plus cette année pour amener un souffle nouveau dans les animations proposées et avoir, en conséquence, une participation plus importante des habitants de la commune et des environs.
« Cette baisse ne me convient pas du tout, après quatre ans de hausse consécutive. L’objectif sera de se recentrer sur des animations plus sportives et fournies au cours du week-end du téléthon le 5 décembre mais aussi d’amener des nouveautés en cours d’année comme une soirée de fête le 15 août », indique Janick Hercelin. Il poursuit :
Nous pensons également travailler avec les Téléthon voisins pour voir une augmentation significative des résultats en 2020. Nous sommes plus que motivés et notre énergie devra aller dans ce sens.
Cet Orientibus est donc un véhicule qui se déplace dans la région pour aller à la rencontre de nombreux étudiants confrontés à la question de l’orientation.
La principale adjointe indique :
Il est plus orienté sur les formations professionnelles. Il fait la promotion de l’apprentissage et du bac pro. C’est important de montrer que ce sont aussi des filières d’excellence, ce n’est pas réservé qu’à ceux qui ont des petits moyens scolaires.
Près de 350 élèves ont été touchés par cette organisation.
Thierry Lemmet, le principal, avoue de son côté :
Nous avons voulu aussi y inclure les 4e. Anticiper l’orientation est important, car la 3e est déjà une année suffisamment lourde avec le brevet (DNB).
Juste après le stage
Pour ces élèves qui reviennent tout juste de leur stage en entreprise, ces deux jours prennent tout leur sens.
Film sur l’apprentissage, entretien plus personnalisé avec les professionnels et visite de l’Orientibus. Les élèvent apprécient et sont à l’écoute.
Le principal note :
Ils sont totalement impliqués car ils ont participé à la mise en œuvre de cet événement. C’est eux qui ont fait les courriers pour faire venir les intervenants.
C’est aussi l’occasion de découvrir des milieux presque inconnus.
Il ne faut pas les limiter à ce qu’ils connaissent. C’est aussi une ouverture sur le monde.
Une ouverture prônée à l’intérieur de l’Orientibus. Tablettes, casques de réalité virtuelle, tout est fait pour captiver l’attention des collégiens à travers ce qu’ils connaissent.
Maxime, animateur au sein du véhicule explique :
Il y a plusieurs ateliers ici. On a un quizz-métier pour cerner un peu plus la personnalité du jeune, son profil dominant. Il en ressort une petite analyse avec les milieux qui pourraient l’intéresser. Autre atelier sur les tablettes, un exercice plus sur l’orientation, avec les outils qui peuvent les aider dans leurs parcours.
Et la réalité virtuelle qui est assez bluffante. Une fois le casque enfilé, des dizaines de secteurs d’activité s’offrent à vous. Quand vous optez pour un secteur, une vidéo à 360° démarre pour vous expliquer les différents métiers grâce à l’intervention de professionnels.
« Sur le territoire nogentais, il n’y avait pas d’associations tournées vers les questions environnementales. Dans le même temps, de nombreuses structures, chacune de leur côté, mettaient en place des actions » expliquent Paul Benizio, responsable de la Maison du Tertre, Margot Denécheau de la Ressourcerie et Fanny Debarre de la Boîte à Outils.
En 2017, « nous nous sommes réunis pour offrir davantage de visibilité à nos événements, avec de la cohérence. D’où un programme avec de nombreux rendez-vous » note le trio.
L’aventure a débuté « timidement ». Un an plus tard, « nous avons proposé un programme complet ».
En 2019, avec un calendrier chargé pour chacun d’entre eux, « c’était plus calme. Toutefois, notre fête de la Récup’en juillet avait attiré entre 1 500 et 2 000 personnes ».
Différents thèmes
Cette année, vingt-six rendez-vous sont à noter sur vos calendriers, « avec différents thèmes : jardinage, bricolage, réparation, couture, spectacle… ».
Pour toucher un public encore plus nombreux, « nous sortons de nos murs, de nos locaux pour aller à leur rencontre ».
Chaque fois, « nous souhaitons donner un message pour sensibiliser les participants au développement durable et expliquer notre action avec des chiffres clés ». Voulant mettre en avant « les ressources que dispose notre terre percheronne. On peut faire des choses soi-même ».
« Contribuer au dynamisme local »
Des rendez-vous ouverts à tous, « aux Nogentais mais aussi aux personnes du secteur, de l’Eure-et-Loir et des départements limitrophes ».
Leur but ? « Contribuer au dynamisme local ».
Il y en a pour tous les âges, « ils sont adaptés pour les grands et les petits. Bien sûr, un enfant ne peut venir seul. Qu’il vienne avec son père, sa mère, son parrain, son oncle ou grand-père pour partager un moment. Et c’est gratuit ! ».
L’un des moments forts de cette quatrième édition des Rendez-vous Récup’ sera le 11 juillet 2020 avec la grande fête « et de nombreux ateliers de création, des spectacles de rue, des concerts ».
Une programmation festive sous le signe de l’environnement. Sans oublier le même jour, « la course de caisses à savon » dévoile Paul Bénizio. Commencez dès aujourd’hui à préparer vos bolides, « qui emprunteront le même circuit qu’en 2018 ».
Lors de la première « descente », quinze ou dix-sept participants avaient pris le départ, « on espère avoir davantage d’associations nogentaises mais aussi des entreprises ».
À la recherche de bénévoles
Pour ceux qui ne sont pas bricoleurs ou n’ont pas le matériel adéquat, « nous proposons dès maintenant, les mercredis de 17 à 19 heures à la Boîte à Outils, un accompagnement pour construire leur caisse ».
Pour cet événement, « nous recherchons des bénévoles pour sécuriser la course. De même, la Boîte à Outils est preneuse de bricoleurs pour les cafés réparation qui connaissent le succès ».
Pour Harold Huwart, vice-président de la Région et conseiller municipal, « la fête de la Récup’est un exemple en matière d’éducation environnementale ».
Et l’ensemble de ces rendez-vous est né, « grâce à la structuration d’un réseau. Un réseau d’associations qui accompagne la population vers un changement de pratique ».
Tous les Rendez-vous Récup 2020 : Samedi 8 février 2020 : Café réparation à la Boîte à Outils de 14h30 à 17h30. ; Samedi 22 février 2020 : Nichoir avec du bois de palette. De 14 à 17 heures à la Maison du Tertre. Offrez un nid douillet aux oiseaux de votre quartier. Sur inscriptions au 02 37 52 98 65 ; Samedi 7 mars 2020 : Café couture à la Boîte à Outils de 14h à 17h. Adhésion obligatoire à la Boîte à Outils (5 euros/an) ; Mercredi 18 mars 2020 : Fabrication d’un cabas. De 14 à 17 heures à la Boîte à Outils ; Samedi 4 avril 2020 : Fabriquer son composteur. De 10h à 17h30 à la Boîte à Outils, seul(e) ou en binôme, fabriquer votre composteur à partir de palettes de bois. Vous préférez un lombricomposteur, rendez-vous à 13h30 jusqu’à 15 heures ; Mercredi 15 avril 2020 : Créer un sac à vrac. Avec des tissus de récup’ à partir de 14h à la Ressourcerie ; Samedi 18 avril 2020 : Café couture à la Boîte à Outils de 14h à 17h. Adhésion obligatoire à la Boîte à Outils (5 euros/an) ; Samedi 16 mai 2020 : Café réparation à la Boîte à Outils de 14h30 à 17h30 ; Mercredi 20 mai 2020 : Visite de jardin et observation de la biodiversité. Départ à 14h de la Maison du Tertre. Sur inscription au 02 37 52 98 65 ; Samedi 23 mai 2020 : Café couture à la Boîte à Outils de 14h à 17h. Adhésion obligatoire à la Boîte à Outils (5 euros/an) ; Samedi 6 juin 2020 : Prendre soin de son jardin. De 14 à 17h à la Maison du Tertre. Sur inscription au 02 37 52 98 65 ; Samedi 13 juin 2020 : Café couture à la Boîte à Outils de 14h à 17h. Adhésion obligatoire à la Boîte à Outils (5 euros/an) ; Samedi 11 juillet 2020 : Fête de la Récup’ et du Bricolage. De 10 heures à minuit à la Maison du Tertre et à la cou du 111 rue Bretonnerie. Ateliers de création, spectacles de rue, concerts, course de caisses à savon. Info et inscription au 02 37 52 98 65 ; Mercredi 19 août 2020 : Fabriquer un vide-poche. A partir de 14 heures à la Ressourcerie. Un vieux jean, une paire de ciseaux et un peu de couture et le tour est joué ; Samedi 29 août 2020 : Café réparation à la Boîte à Outils de 14h30 à 17h30 ; Samedi 19 septembre 2020 : Café couture à la Boîte à Outils de 14h à 17h. Adhésion obligatoire à la Boîte à Outils (5 euros/an) ; Mercredi 30 septembre 2020 : Réparer son vélo. De 10h à 17h30 à la Boîte à Outils avec des pièces de récup’ à disposition ; Samedi 10 octobre 2020 : Café couture à la Boîte à Outils de 14h à 17h. Adhésion obligatoire à la Boîte à Outils (5 euros/an) ; Samedi 17 octobre 2020 : Journée autour de la pomme. Départ à 10h de la Maison du Tertre. Avec ramassage et transformation. Sur inscription au 02 37 52 98 65 ; Samedi 21 novembre 2020 : Café couture à la Boîte à Outils de 14h à 17h. Adhésion obligatoire à la Boîte à Outils (5 euros/an) ; Mercredi 25 novembre 2020 : Fabriquer un sapin. De 14 à 17h à la Maison du Tertre pour des fêtes zéro déchet. Un sapin tout en carton. Inscription au 02 37 52 98 65 ; Samedi 28 novembre 2020 : Café réparation avec démontage d’objets électroniques à la Boîte à Outils de 14h30 à 17h30 ; Samedi 5 décembre 2020 : Café couture à la Boîte à Outils de 14h à 17h. Adhésion obligatoire à la Boîte à Outils (5 euros/an) ; Vendredi 11 décembre 2020 : Fête de fin d’année. A 19 heures à la salle Simone-Signoret. Inscription au 02 37 52 98 65.
Maire sortant de Plestin-les-Grèves, Christian Jeffroy a présenté lundi soir 10 février une liste de 29 colistiers dont 19 briguent un premier mandat et 10 élus sortants. Rajeunie, la liste reflète une moyenne d’âge de 55 ans et est constituée de 15 femmes et 14 hommes.
La liste
Composition de la liste Plestin 2020-2026 : un nouvel élan par ordre alphabétique :
Christian Jeffroy, 49 ans, maire sortant, chargé des ressources à la Maison du Département ; Régine Bonabal, 66 ans, retraitée agent territorial ; Jean-François Bouget, 36 ans, employé commercial ; Erwan Cresseveur, 40 ans, mécanicien agricole ; Françoise Delanoë, 56 ans, formatrice en informatique de gestion ; Solène Descourt, 40 ans, responsable de service médico-social ; Janic Drouot, 39 ans, intervenante comportementaliste auprès de personnes avec autisme ;
Aurore Fournis-Beyou, 41 ans, conseillère sortante, employée administrative ; François Guehl, 66 ans, conseiller sortant, retraité ouvrier ; Marie-Laure Hinry, 56 ans, éducatrice spécialisée ; Bertrand Huonnic, 58 ans, retraité de la Marine Marchande ; Franck Kerempichon, 38 ans, animateur sport et jeunesse ; Christine Latouche, 62 ans, médecin généraliste ; Yvon Le Brigant, 1er adjoint sortant, 63 ans, retraité cadre commercial ; Madeleine Le Corre, 70 ans, retraitée professeure ; Annie Le Gall, conseillère sortante, 62 ans, retraitée agricultrice ; Jacques Le Glas, 66 ans, retraité technicien en bâtiment ; Claudie Le Rumeur, 59 ans, professeur de l’Éducation nationale ; Frédéric Léon, conseiller sortant, 53 ans, infirmier ; Laurent L’Havéant, 42 ans, contrôleur à la SNCF ;
Jean-Paul Menou, 71 ans, retraité ; Raymond Morinière, conseiller sortant, 69 ans, retraité agent des finances publiques ; Vanessa Perrot, 38 ans, infirmière ; Pascal Petitbon, conseiller sortant, 52 ans, magasinier-vendeur ; Bruno Philippe, 50 ans, responsable de vie scolaire ; Brigitte Prigent, 66 ans, conseillère sortante, retraitée cadre ; Marie-Anne Rioual, 63 ans, retraitée, enseignante de l’Éducation nationale ; Armelle Sénéchal, 47 ans, coordinatrice ; Annette Sourimant, conseillère sortante, 74 ans, retraitée agent de la fonction publique.
Christian Jeffroy a indiqué les grandes priorités du programme de sa nouvelle équipe : « Après ce mandat riche en réalisations, notre ambition est de continuer à œuvrer pour notre belle commune de Plestin : plus agréable à vivre, plus solidaire, plus éco-responsable, plus dynamique et plus attractive ».
« Très ouverte »
Elle sera « très ouverte à la coopération intercommunale avec nos communes voisines au sein du pôle Plestin mais aussi avec une présence forte à l’Agglomération ».
L’équipe « de gauche et d’ouverture, est composée d’élus expérimentés dans la gestion communale mais aussi de nouveaux arrivants enthousiastes pour construire le Plestin de demain. Souhaitant s’engager dans une logique de travail pour l’intérêt commun, sans posture partisane, tous sont impliqués dans la vie associative et/ou économique de notre commune. Notre projet ambitieux, associé à une envie forte de concertation nous permettra de co-construire les projets pour notre cité ».
« La liste, ajoute-t-il, représente la diversité plestinaise tant au niveau de l’âge que de la répartition géographique ou encore des catégories socioprofessionnelles ».
Comité de soutien
Un comité de soutien est en cours de constitution, animé par Hervé Le Bris.
Il invite « tous ceux qui souhaitent participer à la réflexion, à soutenir et accompagner la liste durant les six prochaines années » et à prendre contact via l’adresse : nouvelelan.plestin@gmail.com
À mi-février, et alors qu’il reste huit journées à disputer en Fédérale 3, poule 3, cinq clubs sont en passe de se qualifier pour les phases finales. Trois en sont quasi certains : le Servette Rugby Club de Genève, qui fait la course en tête depuis la première journée, puis l’appliqué RC De La Dombes et le prodigue Saint-Savin Sportif, eux qui suivent à distance respectable. Les deux autres se disputeront la quatrième place en espérant que la cinquième soit qualificative : l’AS Saint Marcel Isle d’Abeau qui a un coup d’avance et le RC Riomois qui s’accroche.
À l’opposé, ils sont sept à craindre encore la relégation puisque cinq points seulement séparent l’AS Ampuis Côte Rôtie (6e) du SCA Cussetois (11e), Rhône Sportif, actuellement dernier, n’ayant pas dit son dernier mot avec un match en moins. Ces trois-là et le RC Andrezieux Bouthéon, le SO Givors Rugby 2 Vallées, l’US Bellegarde Coupy et le SC Tarare n’en ont donc pas fini avec les rencontres couperets.
Les bonnes surprises : Genève et Saint-Savin
Promus au printemps dernier, les Genevois poursuivent leur petit bonhomme de chemin, eux qui ont rejoint le championnat de France en 2014 (3e série). Ils gravissent depuis les échelons un à un, sans accroc à ce jour. Une seule défaite en quatorze journées cette saison, à Saint-Marcel Isle d’Abeau en l’occurrence, et l’ambition de poursuivre leur ascension. Autre club ambitieux, celui de Saint-Savin. Relégués au printemps dernier à l’issue d’une saison galère (une seule victoire), les Isérois ont su rebondir immédiatement et ils pourraient bien dès dimanche venir titiller mathématiquement un leader…qu’ils reçoivent.
Le destin des relégués n’est pas toujours si rose que cela et la formation de Bellegarde en est un exemple. Une seule victoire lors des sept premières journées pour des Bellegardiens qui pour l’heure restent en grand danger, eux qui heureusement cumulent les bonus défensifs (9). Autre équipe en difficulté, Tarare. Les Rhodaniens étaient passés tout près d’une qualification la saison dernière. Ils en sont loin aujourd’hui avec comme seule consolation la qualité de leur défense. Leur programme à venir est assez indigeste et c’est à domicile qu’ils devront ne pas se rater pour espérer se sauver.
Après la relégation, il a été décidé que nous nous appuierions sur la formation du club pour faire en sorte de rebondir. Il fallait recréer une dynamique collective et ce n’est jamais facile sur un temps plutôt court. Il est forcément satisfaisant que nous soyons sur la bonne voie et que les résultats soient au rendez-vous, au sein d’une poule qui n’a rien de facile, il faut le préciser. Nous recevons le leader dimanche et forcément, ce sera un test, mais il ne faut pas lui donner plus d’importance que cela. Nous voulons nous qualifier et voir la suite sans aucune pression, car l’accession n’est pas forcément un objectif affiché. Alors même si une montée ne se refuse pas, je pense qu’il reste du boulot, car derrière, il faut se maintenir. Nous avons beaucoup de jeunes et il faut qu’ils gagnent en compétences. Notre ADN, c’est la formation, et même si j’entends ici ou là que nos statistiques sont bonnes, il ne faut pas trop s’attarder sur des chiffres. (Laurent Mignot, entraîneur de Saint-Savin)
Tout petit arriver dans cette partie basse du tableau et personne n’est tranquille. Les faux pas sont à proscrire, c’est évident. Si nous voulons n’avoir à compter que sur nous, il va nous falloir gagner en constance, éviter les trous d’air qui souvent nous jouent de mauvais tours. On est certes la quatrième division offensive de la poule, mais dans le même temps nous encaissons trop de points. Nous n’y arrivons pas à l’extérieur également alors qu’il nous faut y aller chercher des points. J’espère simplement que nous n’aurons pas à attendre la dernière journée pour nous sauver, notre programme d’ici là n’étant pas simple. Pour moi, le maintien va se jouer autour des 35-36 points et les comptes sont vite fait. Il nous faut trois ou quatre victoires si nous voulons rester à ce niveau de la compétition où franchement se trouve notre place. Je le répète, arrivons à gagner en constance et nous vivrons les choses plus sereinement. (Clément Vidal, entraîneur d’Andrézieux)
La descente de la Brigade de recherche et d’intervention n’est pas passée inaperçue, mardi 11 février 2020, dans le quartier du Grand-Parc, à Hérouville Saint-Clair, près de Caen (Calvados). La BRI accompagnait les enquêteurs de l’antenne caennaise de la police judiciaire, qui agissaient dans le cadre d’une enquête pour un vaste trafic de drogue.
Carole Étienne, la procureure de la République de Caen, indique :
C’est le résultat d’une enquête de longue haleine, lancée à l’été 2019. Elle a nécessité de nombreuses investigations afin d’accumuler des preuves.
Économie souterraine
Neuf personnes – huit hommes et une femme, tous âgés d’une vingtaine d’années – ont été interpellées et placées en garde à vue. Les perquisitions ont permis aux enquêteurs de mettre la main sur 1 kg de cocaïne et 1,5 kg de résine de cannabis, ainsi que des armes et environ 10.000 euros en liquide.
Carole Étienne poursuit :
Ces trafics nourrissent une économie souterraine. On étudie les circuits, les disproportions entre les ressources et le train de vie…
Originaire de Gausson, entre Saint-Brieuc et Loudéac (Côtes-d’Armor), le jeune prodige de la cuisine française Nicolas Carro a repris l’hôtel de Carantec (Finistère) et vient d’obtenir sa première étoile au guide Michelin.
Il est rare de suivre sur près de 15 ans l’évolution d’un adolescent depuis ses études à travers sa passion pour la cuisine. Les premiers articles le concernant remontent à 2006.
Depuis lors, Nicolas a poursuivi un cheminement exceptionnel, pendant ses études au lycée hôtelier de Saint-Meen, lauréat de tous les concours auquel il a été présenté par ses maîtres. Après le baccalauréat, il a été plusieurs fois major de promotion durant ses études à Dinard ou encore à La Réunion. Il a fréquenté les plus grandes maisons : l’Arpège à Paris, Rœllinger à Cancale, le château hôtel de Cordeillan Bages en Bordelais, le Chambard à Kaysersberg, chez Olivier Nasti, double étoilé.
« De l’or dans les mains »
Arrivé deuxième au concours Prosper Montagné derrière un double étoilé, Nicolas n’avait alors que 26 ans et un membre du jury avait alors déclaré : « gardez-le, il a de l’or dans les mains ».
Un pronostic qui se vérifie une nouvelle fois. En effet, le jeune chef Nicolas Carro, 30 ans, qui a repris il y a quatre mois les cuisines de Patrick Jeffroy à l’hôtel de Carantec se voit déjà récompensé par l’attribution d’une première étoile au guide Michelin :
Comme son illustre prédécesseur, il célèbre les produits marins d’ici (araignées, huîtres, ormeaux sauvages, homard). Finesse et délicatesse, jeux de textures bien pensés, cuissons et assaisonnements parfaits, technique au service exclusif du goût… Sa cuisine emporte la mise sans difficulté. À Carantec, l’histoire continue…
Une magnifique récompense pour Nicolas Carro qui a relevé un sacré défi, celui de prendre la suite d’un lieu d’exception.
Outre un projet professionnel, c’est un vrai projet de vie qui commence à Carantec au rythme de la baie de Morlaix, soutenu par mon épouse Élodie, ma famille et mon équipe. Mes collègues, chefs et directeur commercial, nous sommes tous réunis par cette même émotion que je veux transmettre dans mes assiettes.
Pour Franck Jaclin, son associé, « c’est une belle histoire qui se poursuit. Pouvoir créer ou rénover des lieux d’exception, les rendre accessibles, sans transiger sur la qualité, est un exercice original mais porteur de sens. »
Créé par Patrick Jeffroy, lieu emblématique de la cuisine finistérienne, l’hôtel de Carantec fait partie de la route touristique des Pingouins. L’établissement a l’ambition de faire découvrir la gastronomie et les produits bretons à des prix accessibles.
La liste conduite par le maire sortant d’Aubry-le-Panthou Jean-Claude Laigre n’a pas de nom.
Il brigue un 4e mandat à ce poste et siège au conseil municipal depuis 1971. C’est une liste complète qui a été présentée lundi 10 février 2020. Évelyne Osckhowski-Hénon, Raymond Cholet et Alexandre Lefournier ne se représentant pas, trois nouveaux candidats ont rejoint la liste sans étiquette politique, qui se compose d’une femme et dix hommes.
La moyenne d’âge est de 58 ans. Les candidats souhaitent préserver l’identité de la commune « en la conservant telle qu’elle est ». La commune nouvelle n’est pas à l’ordre du jour estimant que le grossissement des collectivités est source « de découragement du bénévolat ».
Animation
Ils souhaitent mener à bien divers projets durant la mandature comme « la réfection des joints extérieurs du clocher de l’église, l’accessibilité du cimetière, refaire la toiture d’un bâtiment communal et poursuivre l’entretien de la voirie rurale » détaille Jean-Claude Laigre, la commune ayant en charge l’entretien d’un réseau d’environ 4 km.
François Raillon ajoute « nous souhaitons qu’il y ait aussi le maintien d’un bon niveau d’animation dans la commune ». Une commune dont la population a progressé de 30 % depuis 2001 à aujourd’hui passant « de 87 à 120 habitants ».
Liste Aubry-le-Panthou, Sans étiquette. Candidats :
Jean-Claude Laigre (tête de liste), exploitant agricole retraité, 74 ans, maire ; Jacky Lethorey, paysagiste retraité, 71 ans, adjoint ; François Raillon, retraité du CNRS, 72 ans, adjoint ; Yves Leclerc, retraité, 66 ans, conseiller ; Jean-Luc Laigre, exploitant agricole, 50 ans, conseiller ; Luc Massot, mécanicien agricole, 56 ans, conseiller ; Damien Moutardier, aide-soignant, 40 ans, conseiller ; Yves De Meulemeester, cadre commercial de l’industrie laitière retraité, 68 ans, conseiller ; Philippe Carpentier, exploitant agricole, 45 ans ; Romain Bouteiller, exploitant agricole, 34 ans ; Colette Mousse, retraitée de l’ingénierie du bâtiment, 62 ans.
Début de cours particulier ce mardi au Judo Club 22 à Lannion. Erwan Fajolles et Patrick Even, applaudis par leurs compagnons d’entraînement, ont reçu leur ceinture noire 1er dan de Judo-Jujitsu des main de leur professeur
Ce grade est la marque du travail accompli par les judokas pendant plusieurs années. Il est le premier des dix dan qui peuvent être décernés dans cet art martial. A titre d’exemple, cette année, Teddy Riner vient d’obtenir son 6ème dan et David Douillet son 8eme.
« Un premier dan, c’est un commencement »
Gilbert Le Gall, professeur du JC 22 explique :
Obtenir son 1er dan n’est pas un aboutissement, mais plutôt un commencement. C’est une première étape qui montre la bonne connaissance des techniques de base du Judo et du Ju-Jitsu. Il permet au judoka de construire son propre judo et d’évoluer vers la maîtrise de cet art, mais aussi d’aider tous ses partenaires à progresser. »
Pour obtenir ce grade, Erwan Fajolles et Patrick Even ont passé l’examen dans sa dominante technique destinée aux pratiquants de tous âges qui ne souhaitent pas faire de compétition.
Le judoka qui passe par cette voie doit présenter le kata (formes techniques de projection ou Nage no Kata, par exemple), un examen pendant lequel on lui demande de présenter sa connaissance technique du judo, un tournoi de grade avec un certain nombre de points à marquer en gagnant des combats.
Et enfin une preuve de son implication dans la vie du judo.
C’est un rendez-vous printanier toujours très attendu par tous les amoureux de la petite reine…
Les Sarthois seront particulièrement gâtés cette année puisque 3 des 4 étapes seront 100 % sarthoises ! Il faut remonter le temps très loin pour retrouver une telle proportion.
Évidemment il y aura des déçus mais en cette année d’élections, difficile d’activer des partenariats avec les municipalités. Résultat : un retour aux sources pour l’épreuve née en Sarthe en 1953.
Le circuit visitera le nord du département avec pour commencer 182,5 km autour de Mamers et dans le Saosnois avec un grimpeur au Belvédère de Perseigne. Le lendemain, direction le Sud-Sarthe avec un parcours de 183,6 km en Vallée du Loir au départ et avec pour arrivée Le Lude avant l’incontournable ascension du Mont des Avaloirs.
Cette « étape de montagne » sera un copier-coller de l’étape de l’an dernier qui s’élancera de l’Abbaye royale de l’Épau, aux portes du Mans pour rejoindre de département de la Mayenne et la commune de Pré-en-Pail-Saint-Samson.
L’arrivée finale sera jugée le vendredi 10 avril 2020 à La Chapelle-Saint-Aubin au terme d’une ultime étape de 179,2 km. Un événement pour cette commune de l’agglomération mancelle qui adore le cyclisme et le sport d’une manière générale.
L’analyse de Daniel Mangeas, voix officielle du Tour de France durant 4 décennies, toujours fidèle commentateur de l’épreuve sarthoise :
Si le parcours sera peut-être un brin moins corsé que les années précédentes, côté coureurs la barre risque d’être fixée très haute. 17 équipes retenues soit 102 coureurs mais surtout 6 formations UCI WorldTeams, l’élite du cyclisme mondial. Du jamais vu sur les routes sarthoises !
Le président du comité d’organisation Gérald Feuvrier se régale déjà :
« On s’attend à du mouvement car on a 6 équipes du World Tour (ex ProTour). Les autres voudront également marquer des points au classement UCI »
Côté sarthois, seule la présence de Tony Hurel semble certaine. En revanche peu de chance de voir Nicolas Edet (Cofidis) qui doit disputer au même moment le Tour du Pays Basque pour prépare la Grande Boucle de l’été prochain. L’incertitude plane en ce qui concerne Benoît Jarrier (Arkéa Samsic).
La liste se précisera après le Paris-Nice qui se disputera du 8 au 15 mars 2020.
Une priorité : la sécurité
Quoi qu’il en soit, tous les ingrédients sont réunis pour assurer le spectacle avec un mot d’ordre : la sécurité.
La gendarmerie nationale veillera au grain. Plusieurs motocyclistes de l’escadron départemental de sécurité routière (EDSR) seront sur le pont ou plus exactement sur leurs engins pour encadrer les coureurs tout au long des 730 km.
Le hic c’est que la facture augmente de 20 % chaque année mais pour l’heure l’organisation parvient à faire face à cette hausse qui avait fait polémique. Le problème n’est visiblement pas réglé et inquiète toujours les organisateurs d’épreuves. Affaire à suivre…
– Les 17 équipes retenues :
UCI WorldTeams : AG2R La Mondiale (France), Groupama-FDJ (France), Cofidis (France), CCC Team (Pologne), Israël Start-up Nation (Israël), Team Jumbo Visma (Pays-Bas) ; UCI ProTeams : B&B Vital Concept (France), Arkéa Samsic (France), Total Direct Energie (France), Nippo-Delko Provence (France), Sport Vlaanderen-Baloise (Belgique), Androni Giocattoli-Sidermec (Italie), Circus-Wanty Gobert (Belgique), Rally Cycling (USA), Wallonie Bruxelles (Belgique), Alpecin-Fenix (Belgique) ; Équipe continentale : Saint Michel-Auber 93 (France)
Le parcours du circuit cycliste Sarthe-Pays de la Loire 2020 à la loupe : – 1ère étape, le mardi 7 avril 2020 : Mamers – Mamers 182,5 km (2 boucles : 57,6 km + 60,1 km + 8 tours de 8,1 km) via Panon, Vezot, Saint-Rémy-du-Val, Villeneuve-en-Perseigne, – 2e étape, le mercredi 8 avril 2020 : Le Lude – Le Lude 183,6 km (122 km en ligne + 7 tours de 8,8 km) via La Chapelle-aux-Choux, Saint-Germain-d’Arcé, Chenu, Montval-sur-Loir (Château-du-Loir), Montabon, Vaas, Aubigné-Racan, Sarcé, Coulongé, Mansigné, Saint-Jean-de-la-Motte, Luché-Pringé, Thorée-les-Pins et Savigné-sous-le-Lude. – 3e étape, le jeudi 9 avril 2020 : Abbaye royale de l’Épau – Pré-en-Pail-Saint-Samson 184,4 km (119,3 km en ligne + 5 tours de 13 km) via Savigné-l’Évêque, Joué-l’Abbé, La Bazoge, Conlie, Tennie, Sainte-Suzanne-et-Chammes, Saint-Georges-sur-Erve, Izé, Courcité et Villaines-la-Juhel. – 4e étape, le vendredi 10 avril 2020 : La Chapelle Saint-Aubin – La Chapelle Saint-Aubin 179,2 km (99,2 km en ligne + 8 tours de 10 km) via Fay, Souligné-Flacé, Crannes-en-Champagne, Vallon-sur-Gée, Saint-Pierre-des-Bois, Chantenay-Villedieu, Chevillé, Brûlon, Saint-Denis-d’Orques, Torcé-Viviers-en-Charnie, Neuvillette-en-Charnie, Saint-Symphorien, Bernay-en-Champagne, La Quinte et Lavardin.
Vous qui pensiez passer la soirée de la Saint-Valentin avec Maxime Le Forestier à Forges-les-Eaux, c’est partie remise.
En effet, sur le site internet de l’Espace de Forges et sur sa page Facebook, on peut y lire :
Pour des raisons indépendantes de notre volonté, le concert de Maxime Le Forestier du vendredi 14 février 2020 est reporté au mercredi 13 mai 2020. Asterios spectacles et L’Espace de Forges sont sincèrement désolés et vous remercient de votre compréhension.
Suite à la parution du classement des casinos français établi en fonction du produit brut des jeux (Pbj), le groupe Barrière, reste en tête des casinos en France et en Europe, avec six de ses vingt-sept casinos français dans le top 10.
Et le premier est celui d’Enghien-les-Bains, devant Blotzheim, Bordeaux, Toulouse, Deauville et Lille.
Les casinos Barrière sont le premier métier du groupe en termes de chiffre d’affaires (75,5 % pour l’exercice fiscal 2019 clos le 31 octobre).
« Ces résultats sont le fruit d’une stratégie de groupe volontariste avec une intensification des investissements sur l’offre de jeux. Malgré un contexte économique et social complexe (dont l’augmentation de la Csg depuis deux ans), Barrière a multiplié les initiatives et les innovations, notamment avec la diversification régulière de ses machines à sous et jeux électroniques, des tests de nouveaux jeux, une politique marketing toujours plus offensive et ciblée, et un programme d’animations toujours plus festif », explique-t-on au groupe Barrière.
Depuis dix-huit années, le casino Barrière Enghien-les-Bains tient la tête du classement et réalise un Pbj de plus de 160 millions d’euros. Pour l’année à venir, l’établissement prévoit de poursuivre ses investissements dans de nouveaux concepts, dont la création d’une salle de jeux de table haut de gamme.
Carré Vip
Le nouveau programme de fidélité Carré Vip serait aussi une des raisons du succès du groupe.
Il remporterait un franc succès avec plus de 50 % du chiffre d’affaires réalisé grâce aux clients cartés, qui bénéficient de nombreux avantages offerts par le groupe pour les remercier de leur fidélité.
Afin de conquérir de nouveaux clients, notamment un public plus jeune, Barrière organise et accueille le Barrière Esport Tour, des spectacles innovants et festifs rassemblant les plus grands influenceurs digitaux français.
« Alors que les offres de divertissement n’ont jamais été aussi diversifiées, il est réjouissant de voir que les casinos restent une activité plébiscitée par les Français. Notre groupe familial a réalisé plus de 9,5 millions d’entrées dans nos casinos en 2019. Cet engouement montre bien que le casino est plus que jamais un lieu qui rassemble toutes les générations. Un lieu de convivialité et de loisirs, avec près de 3 500 spectacles et animations proposées tous les ans », déclare Dominique Desseigne, président-directeur-général de Barrière.
C’est une exposition consacrée au sexisme et à l’égalité entre les filles et les garçons qui est installée aux Mureaux (Yvelines) jusqu’au 24 mars à Seinergy Lab.
Conçue par l’Exploradôme, le musée des sciences, des techniques et du numérique situé à Vitry-sur-Seine, l’exposition Super-Égaux, le pouvoir de l’égalité filles-garçons, essaye de mettre à mal certains clichés.
« Dès la naissance, on conditionne les enfants à se diriger vers tel ou tel métier avec les jouets qu’ils reçoivent, explique Quentin, un jeune en service civique chargé de l’animation. La première question que je pose aux visiteurs est : Le cerveau a-t-il un sexe ? En général, les réponses sont assez partagées. »
Sans tabou
Pour Virginie Bacoulon, cheffe de projet chez Seinergy Lab, l’objectif est de briser les tabous.
« On essaye de questionner les visiteurs sur les stéréotypes. Il y a ce qu’on appelle une porte des clichés. Quand on passe devant, un message sonore est diffusé. Par exemple, les femmes ne savent pas bricoler. Chacun va devoir dire s’il est d’accord ou pas avec cette affirmation. Et en général, les débats sont assez riches. »
La cible ? Des écoliers mais avant tout des collégiens concernés par l’orientation.
« Le message qu’on veut faire passer, c’est qu’il n’y a pas de métiers réservés spécifiquement aux hommes ou aux femmes. Des femmes qui sont pompiers, ça existe, de même qu’un homme qui est assistant social. »
Tout au long de cette exposition « où il est interdit de ne pas toucher », le slogan de l’Exploradôme, des vidéos, des quiz, des manipulations, des jouets.
Pour une seule conclusion : l’égalité entre les femmes et les hommes a progressé partout dans le monde mais les inégalités sont encore importantes.
Heureusement, la nouvelle génération semble avoir les atouts en main pour remédier à cela.
Pratique
Exposition Super-Égaux, le pouvoir de l’égalité filles-garçons, jusqu’au 24 mars à Seinergy Lab, 53, avenue Paul-Raoult aux Mureaux. Visites libres le mercredi de 14 h à 17 h. Pour les scolaires, du lundi au vendredi (sauf mercredi après-midi) de 9 h 30 à 11 h, puis de 14 h à 15 h 30. Entrée gratuite.
Pauline Guinier et Margaux Le Scornet vont se lancer dans l’aventure (DR)
Le lundi 17 février de 10 h à 12 h, vous pourrez voir, place Max Lejeune à Abbeville (Somme) la 4 L de Pauline Guinier d’Abbeville et Margaux Le Scornet de Caours, deux jeunes filles qui vont avoir la chance de participe au 4L Trophy. Rencontre.
Pauline et Margaux suivent des études GEA (Gestion des entreprises et des administrations) à l’IUT d’Amiens. Dans le cadre de ce cursus, elles doivent mener une action réunissant un aspect financier, un aspect médiatisation et ayant un but humanitaire. Tout naturellement, la participation au 4L Trophy leur a paru être tout à fait conforme à ces exigences.
Pauline, ami de longue date de Margaux, a donc pensé à elle pour partager l’aventure :
Nous connaissions une personne qui avait déjà fait le 4 L Trophy, et le côté aventure nous a séduites. »
10 000 € de budget
L’idée dans la tête, il leur fallait encore trouver la voiture et le financement.
Côté voiture, elles ont contacté un ancien participant qui leur a cédé le véhicule.
En ce qui concerne les fonds, les 10 000 € nécessaires à la participation, elles ont bénéficié de l’aide de leurs parents pour trouver 35 sponsors, dont les plus importants TFI (Tôlerie fine industrielle), Techer (tailleur de pierre), Hannedouche pompes funèbres et Manufacture française du cuir.
Et la préparation ?
Les fonds et la voiture réunis, restaient encore quelques détails à paufiner. Les jeunes filles ont appris les rudiments de la tolerie et de la mécanique. Même si le moteur et la mécanique d’une 4L sont assez simples, il faut quand même avoir quelques notions. Pour Pauline : «Certes il y a une grosse équipe d’encadrement car nous sommes 3 000 étudiants à participer et il y a 1 400 voitures, mais mieux vaut savoir se débrouiller. » Sur le terrain en effet, une équipe de 85 mécaniciens, dits les « Mike » sera toujours aux petits soins pour réparer les 4L jusqu’à l’aube si besoin.
Aujourd’hui les deux étudiantes sont quasiment prêtes à prendre le (pré) départ d’Abbeville le lundi 10 février, place Max Lejeune à 12 h. La voiture y sera exposée de 10 h à 12 h.
Après, direction Biarritz, où les participantes déposeront 10 kg de denrées alimentaires à destination de la Croix Rouge, puis après un passage par le bateau pour rejoindre l’Espagne, 6 000 km de pistes au Maroc (où elles déposeront fournitures scolaires, matériels médical et informatique, équipements sportifs, vêtements, jouets pour les écoliers).
L’aventure des jeunes filles n’a pas encore vraiment débuté.
Avant de s’en mettre plein la panse, un peu de culture ! Connaissez-vous la différence entre la crêpe et la galette ?
Certains diront que la galette est salée et la crêpe sucrée… Eh bien, pas du tout ! C’est juste une question d’appellation géographique : entre les Bretons de Haute (à l’est) et de Basse (à l’ouest) Bretagne.
On dira plutôt crêpe salée et crêpe sucrée à l’ouest, alors qu’à l’est, on dira galette pour les salées au sarrasin et crêpes pour les sucrées au froment…
Vous me suivez ?!
Le blé noir n’est pas du blé
Mais ce n’est pas fini ! Saviez-vous également que le sarrasin, appelé aussi blé noir et utilisé pour confectionner les crêpes salées n’a rien à voir avec le blé traditionnel ?
Rapporté d’Asie au XIIe siècle lors des croisades, il s’est avéré que les terres bretonnes étaient tout à fait adaptées à cette plante cousine de l’oseille et de la rhubarbe.
Maintenant que vous êtes devenus incollables en crêpe, vous avez le droit à la liste des crêperies de Cherbourg, mais attention, interro la semaine prochaine !
La Régal’ette, 52 quai Caligny.
Au Saint Michaël, 51 rue Tour Carrée.
Le Ty-Billic, 73 rue au Blé.
Crêperie de la mer, 50 rue Surcouf, Equeurdreville.
Ty Breiz, 7 rue du Général Leclerc, Tourlaville.
La Pizza, 48 quai de Caligny.
Mais aussi un peu plus loin…
Cour Sarrasine à Valognes.
Tous les samedis et dimanches après-midi à La Belle Mer, Bretteville-en-Saire.
L’escale, Fermanville.
Crêperie la Gravelette, Jobourg.
Et pour les plaisirs sucrés :
Café Pompon, 1 rue maréchal Foch.
Boulangerie-pâtisserie d’Autrefois, 1 place Henry Gréville.
Petit Jean, rue du château.
Le Café du Port, 20 qui de Caligny.
Ils aiment aussi :
– « J’aime beaucoup les crêpes de La Belle Mer à Bretteville ! On peut même les empor-ter. » @Marie Line L.
– « Au camping des Sablons, 70 centimes la crêpe au sucre, un régal ! » @Christian L.
– « A l’Escale à Fermanville du jeudi au dimanche… Pour l’ambiance et les assiettes. » @Bruce L.
– « Ty Breiz à Tourlaville ! Excellentes, bien garnies et originales ! Et les patrons sont très accueillants. » @Aurore V.
– « Le Ty-Billic, la seule vraie adresse pour les crêpes à Cherbourg ! La crêperie de la mer est très bien aussi ! » @Maryline C.