Environ 15 000 vétérinaires exercent dans l’hexagone. Certains se spécialisent dans le traitement des chats ou des NAC (nouveaux animaux de compagnie). D’autres font intervenir les médecines douces dans leurs traitements.
►En cabinet ou dans une clinique ?
Une clinique vétérinaire regroupe en général différents praticiens aux spécialités variées. Le généraliste et le cardiologue y côtoient le comportementaliste. Idéal pour traiter son animal sur le long terme. Néanmoins, le nombre élevé de consultations ne permet pas forcément de créer une relation privilégiée. Le centre hospitalier vétérinaire intervient en dernier recours lors d’une urgence ou d’une opération lourde, par exemple. Lorsqu’on hésite entre deux adresses, rien ne vaut le bouche-à-oreille. Les autres propriétaires d’animaux sont les mieux placés pour décrire les méthodes du vétérinaire.
►Une relation de confiance
Le patient ne pouvant exprimer ses maux, le vétérinaire compte sur le propriétaire pour décrire le plus précisément possible les symptômes. Le professionnel doit être à l’écoute. Le propriétaire doit se sentir libre de dire tout ce qui lui semble important et de poser toutes ses questions. Questions auxquelles le vétérinaire se fera un plaisir de répondre. On évite les professionnels pressés ou désagréables. On opte pour un vétérinaire généraliste capable d’orienter son patient vers un confrère spécialisé au cas où. Ses horaires de garde ainsi que ses tarifs sont aussi des critères à prendre en compte. En effet, les vétérinaires sont libres, selon la loi, de fixer leurs tarifs.
►Première visite
Les premiers vaccins sont la parfaite occasion d’organiser une consultation-test. Pas question de s’y prendre à la dernière minute. Le choix du vétérinaire se prépare dès l’arrivée de l’animal à la maison, voire dès le moment où on envisage d’adopter. La première visite est en général l’occasion de faire un examen clinique complet. Avec un animal en bonne santé, on compte en général une visite par an chez le vétérinaire.
APEI-Actualités. M.B.