Plus de 300 personnes ont défilé, lundi 1er mai, dans les rues de la ville, à l’appel des syndicats CGT, FSU Solidaires. L’entre-deux tours de l’élection présidentielle était le sujet de discussions et de revendications.
Christine Coulon (NPA) appelle à combattre les politiques d’austérité et anti-sociales de Macron. « Macron, c’est la politique d’Hollande puissance 10. Nous devons appeler les jeunes à résister afin qu’aucune voix aille au Front National ».
« Pas une voix dans le parti de la haine », annonce Isabelle Ledoux, secrétaire départementale de la CGT. Émilie, Alexis et Léonard, deux ans et demi, sont venus de Pré-en-Pail pour le défilé. « Nous sommes solidaires des travailleurs. Il faut mettre la pression au futur gouvernement pour conserver nos acquis ».
« Régression des droits sociaux : non », « Sécurisation de l’emploi : oui », « Réfléchir, c’est déjà désobéir » : les banderoles affichaient les revendications des manifestants partis de la Préfecture. Au cœur du défilé, un petit groupe de jeunes avançait avec une affiche peu banale : « Ni patrie, ni patron, ni Le Pen, ni Macron ».
Plus de 300 personnes pour un défilé du 1er mai d'exception entre les deux tours de la présidentielleDSC_2705.JPGDSC_2709.JPGDSC_2712.JPGDSC_2717.JPGDSC_2719.JPGDSC_2721.JPG