Guillaume Coulbaut, vous vous déplacez samedi chez un moins bien classé, Bihorel. Est-ce que le classement rentre en compte dans l’approche de ce match?
“Oui, car on va affronter une équipe qui joue peut-être une de ses dernières cartes et pour qui la victoire aura une importance quasi-capitale. Comme pour nous d’ailleurs. Je m’attends à un match acharné. Il faudra laisser le basket de côté et jouer avec hargne. C’est le premier tournant de notre saison.
“Même si une victoire comme une défaite ne changerait pas tout, un succès nous permettrait de reléguer un candidat au maintien à trois victoires.”
Guillaume Coulbaut, coach de l’UBCUA
Les vertus de combat, c’est plutôt un des points forts de votre équipe, non?
“Dans ce secteur, nous avons été bousculés à Cholet où on est arrivé la fleur au fusil. À Bihorel, il va falloir y aller le couteau entre les dents et laisser ses performances individuelles de côté.”
Ce match a lieu à une période où habituellement les joueuses sont déjà en repos, c’est un handicap?
“Oui, mais c’est le même contexte pour tout le monde. C’est l’équipe qui tiendra mentalement qui gagnera samedi.”