L’automne (”le printemps de l’hiver” selon Toulouse-Lautrec) est à son paroxysme. Celui des couleurs.
L’occasion de marcher.
En Multonne, en Ecouves, en Perseigne, en Andaines, dans les Alpes mancelles, et ailleurs.
De rappeler qu’il vaut mieux marcher dans la bonne direction que courir dans la mauvaise.
Que marcher, c’est avancer.
Debout.
En équilibre, la tête dans le ciel, les pieds sur terre.
Et donc de penser.
Marcher en pensant. Penser en marchant.
Découvrir, sans autre but.
Nourrir l’esprit et le corps.
Et être tellement ravi de marcher que l’esprit danse.
Comme les jambes.
Comme le coeur.
JMF