Quantcast
Channel: actu.fr - Toute l'information nationale, régionale et locale.
Viewing all articles
Browse latest Browse all 47515

32e de coupe de France : Malo Rolland, le gardien du Stade pontivyen est passé par Guingamp

$
0
0
Malo Rolland, le gardien du Stade pontivyen, sera particulièrement sous le feu des projecteurs de Guingamp samedi 5 janvier 2019.

Malo Rolland, le gardien du Stade pontivyen, sera particulièrement sous le feu des projecteurs de Guingamp samedi 5 janvier 2019.
(©Pontivy Journal )

Le gardien du temple noir et or au Roudourou samedi 5 janvier 2019, pour les 32e de finale de la coupe de FranceStade pontivyen-Guingamp : un match très spécial entre les deux clubs de cœur de Malo Rolland, gardien à Pontivy (Morbihan).

Aller-retour

Entre le Stade pontivyen et l’En avant de Guingamp, son cœur balance fortement. Son parcours de formation également.

Ayant commencé le foot à 5 ans dans la cité napoléonienne chez les Jaunes et noirs, Malo Rolland a ensuite migré à 13 ans vers Guingamp. Pour revenir à 20 ans dans sa ville natale, avec un solide bagage technique.

Je considère Guingamp comme mon vrai club formateur, tant humainement que sportivement. Ce club m’a apporté sur tous les plans. Le Stade pontivyen m’a appris les bases du foot, les valeurs inhérentes à la réussite comme l’humilité, le travail.

Il forme les jeunes goals d’En Avant

Troisième ou quatrième gardien du groupe professionnel, notamment sa dernière année, Malo Rolland n’a pas percé dans le milieu pro guingampais. Il n’en garde pas moins d’excellents souvenirs et des relations de confiance : il est responsable de la pré-formation des gardiens de 12 à 15 ans à l’EAG.

Samedi 5 janvier 2019, pour ce 32e de finale de la coupe de France, il fera face à quelques visages connus, comme Ludovic Blas et Marcus Coco, deux jeunes très prometteurs, ou encore Thibault Giresse, aujourd’hui membre du staff.

« Nous étions très soudés tous ensemble, d’où nos très bons résultats. C’est un super sentiment pour moi ! »

Je vais jouer dans le stade où j’ai rêvé, pendant sept ans, d’y jouer comme pro. C’est un honneur et un privilège de le faire avec le Stade pontivyen, dans un stade que mon père, Gilles Rolland, a en plus inauguré le 21 janvier 1990. Ce match représente pour moi une énorme fierté et importance.

« Pas l’ombre d’un sentiment de revanche »

S’il ne veut pas tirer la couverture à lui seul, le dernier rempart pontivyen aimerait briller collectivement. Peut-être plus que les autres.

Je n’ai même pas l’ombre d’un sentiment de revanche, de prouver qu’ils se seraient trompés. Je le répète, c’est un honneur de jouer avec le Stade pontivyen chez un club qui continue à me donner tant ! C’est évident que j’aurais à cœur de bien faire.

Il vit des moments privilégiés avec son premier club de cœur, en coupe de France.  Il a hâte d’y être, c’est son match de rêve !

Ce sont des moments uniques que seule la coupe peut procurer. Tout ça est plus que rêvé. Nous avons vécu une année 2018 mémorable avec le Stade pontivyen ! Pas un d’entre nous n’aurait imaginé ça dans ses meilleurs vœux. Je souhaite que cette nouvelle année soit bonne également. Elle commence d’ailleurs de très belle façon avec ce 32e historique.

LIRE AUSSI  : Coupe de France : les deux clubs de Pontivy face au PSG et à En Avant de Guingamp


Viewing all articles
Browse latest Browse all 47515

Trending Articles