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Camille Legris : « L’UBCUA a beaucoup d’ambitions »

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Camille Legris, 22 ans, sera l'un des nouveaux visages de l'UBCUA en 2017/2018 (photo : CS Gravenchon Basket). -
Camille Legris, 22 ans, sera l'un des nouveaux visages de l'UBCUA en 2017/2018 (photo : CS Gravenchon Basket). -

Capable de jouer au poste 1 et 2 (meneuse et ailière), elle arrive de Gravenchon, relégué en N3 et qui jouait dans la même poule qu’Alençon en N2. Arrivée en France à 15 ans après ses premières années en Autriche, formée à Nantes/Rezé, puis passée par La Roche Vendée (N2), Camille Legris joue également avec la sélection autrichienne.

Avec la relégation de Gravenchon en Nationale 3, vous étiez courtisée par plusieurs clubs de N2. Qu’est ce qui vous a convaincu de venir à Alençon ?

« Le projet global du club m’a séduite. Sur le plan sportif comme sur le plan humain. Je sais qu’il y a une très bonne ambiance ici et que le groupe est ambitieux. Je connais déjà quelques joueuses comme Jennifer Vignola, Anaïs Catherine et Abbey Duinker.

Sur le plan sportif, Alençon a beaucoup d’ambitions pour la saison prochaine avec l’envie d’atteindre les playoffs. Pour moi, c’est idéal pour continuer ma progression. Je suis là pour travailler et je sais que Jennifer Vignola va me faire bosser. C’est une joueuse d’un très bon niveau et son expérience va m’aider à progresser. »

Vous allez passer de l’objectif du maintien avec Gravenchon à celui de la montée avec Alençon. Comment gère-t-on un tel changement ?

« C’est vrai que je vais passer du tout au tout en termes d’objectifs. Je sors d’une saison difficile sur le plan physique mais surtout mental. Mais je viens jouer avec des joueuses qui vont forcément me permettre d’élever mon niveau de jeu. »

Comment appréhendez-vous la concurrence avec Jennifer Vignola ?

« Je le prends très positivement. Je ne vois pas cela comme une concurrence mais au contraire comme quelque chose qui va me permettre d’avancer. La voir jouer et m’entraîner avec elle va me faire progresser à coup sûr. »

Quelles sont vos ambitions personnelles ?

« Je veux d’abord trouver ma place dans le groupe en tant que deuxième meneuse, un poste où j’ai beaucoup travaillé lors de mes deux années à Gravenchon. Je peux aussi dépanner au poste 2, celui sur lequel j’ai été formé. Je compte apporter mon énergie et ma niaque. À terme, je souhaite devenir une joueuse majeure en N2 au poste 1 avant d’ambitionner jouer à un niveau supérieur. »

Quel genre de joueuse êtes-vous ?

« Ma qualité principale est le shoot. J’ai été formé pour cela. Mais depuis, en tant que meneuse, j’ai travaillé mon agressivité vers le panier. Je suis une battante et une bosseuse. Je ne lâche jamais rien. »

Trois départs pour 2016/2017

Sarune Povilionyte : l’heureuse parenthèse

Le numéro 10 de l’UBCUA sera porté par Kovalikova.
Le numéro 10 de l’UBCUA sera porté par Kovalikova.

La Lituanienne de 28 ans ne disputera pas la saison 2017/2018 avec l’UBCUA mais ne quitte pas le club pour autant.

Celle qui a rejoint le club l’année dernière en provenance de La Glacerie attend un heureux événement. Elle et son compagnon Christophe Le Royer (joueur de l’équipe masculine en prénationale) vont avoir un bébé en décembre prochain.

La shooteuse (10,05 points de moyenne cette saison) « sera de l’autre côté, dans les tribunes, pour supporter les filles » et « verra plus tard » si elle reprendra l’année suivante. Le couple restera dans tous les cas à Alençon. « C’est sûr que le basket va me manquer et que je voudrais probablement reprendre en 2018 mais il n’y a pas de projet. Le bébé est le seul projet pour le moment »

L’Orne Hebdo présente toutes ses félicitations aux futurs parents.

Coralie Fromentin : la pause personnelle

Coralie Fromentin stoppe toute activité liée au basket.
Coralie Fromentin stoppe toute activité liée au basket.

Coralie Fromentin ne rechaussera pas ses baskets la saison prochaine. La meneuse de 26 ans, grande artisane du maintien lors de la saison 2015/2016, éprouve le besoin de « faire une pause ».

« J’arrête tout », confirme celle qui a disputé 18 matchs cette saison. Pas d’équipe première, ni d’équipe B, ni même de coaching. Bref, elle met le basket entre parenthèses. « Le basket prend beaucoup de temps et il est difficile de lier vie professionnelle, vie personnelle et vie sportive. »

Si elle assure qu’elle « sera présente sur le bord du terrain pour soutenir les copines », elle ne sait en revanche pas si elle reviendra aux affaires la saison prochaine, plus tard ou même jamais. « Peut-être que j’arrêterais définitivement. Je ne sais pas. L’avenir nous dira si le basket me manque. »

Margot Malabry : la cheville vacillante

Margot Malabry ne poursuit pas avec l'UBCUA.
Souvent blessée ces deux dernières années, Margot Malabry ne poursuit pas avec l'UBCUA.

L’ailière ne sera plus Alençonnaise la saison prochaine. Déjà blessée à la cheville durant une grande partie de la saison en 2015/2016, Margot Malabry a de nouveau joué de malchance cette saison malgré quelques prestations convaincantes. Blessée à la cheville droite après la huitième journée, elle a dû subir une opération et n’a plus foulé les parquets lors des 14 matchs suivants.

L’UBCUA disposant d’un effectif limité, conserver une joueuse sujette aux blessures aurait probablement été un risque, que le club n’a pas voulu prendre.


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