C’est lors d’un voyage entre Granville et Chausey, en 2000, qu’est née cette collection.
Seize ans après, elle compte « 252 pièces » soigneusement rangées dans un meuble.
Chez Yvette-Coco et Daniel Maquère, les dauphins sont partout, y compris sur les portes des pièces, les couettes, les oreillers, les cadres pour photo…
La collection décline toutes sortes de bleu. Une large palette qui voisine avec des 33 tours. Des galettes en vinyle parmi lesquelles l’inoubliable Mamy… Blue.
Chaque pièce a été acquise entre un et cinq/six euros. La première fut un vase. En tout, le couple y a consacré quelque mille euros.
Mais pourquoi les dauphins ? « C’est le soleil, la mer… Un animal intelligent. Et quand on le voit sauter… ».
Bruits de la mer, bruits de la rivière
Le couple envisage de vendre cette collection. L’histoire d’amour serait-elle finie ? « Réflexion faite, on ne vend plus… ». Mais pourquoi avoir envisagé la cession ? « C’est un nid à poussière. C’est tout ». Un nid nettoyé au sèche-cheveux. Et puis, avoue le duo, ça prend de la place.
Dans le quartier Saint-Léonard à Alençon, Yvette-Coco écoute volontiers un cédérom de bruits de la mer. Qui s’ajoute à celui du barrage sur la rivière Sarthe. Et puis « j’aimerais être réincarnée en dauphin », conclut celle qui, avec Daniel, est un adepte de la marche et qui, même l’automne et l’hiver venus, vit à l’heure des thés dansants.
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