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Santé : Stress et mails, médicaments génériques, centre de soins palliatifs….

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Des spécialistes du Future Work Centre (Londres) ont constaté que le stress vient de la manière dont les internautes gèrent leurs mails professionnels. Il en ressort que 62 % des personnes interrogées gardent leur boîte mail ouverte pendant toute la journée. Et la moitié reçoit même les messages en temps réel, une mauvaise habitude qui augmente le lien permanent entre le salarié et son monde professionnel. Pour lutter contre le stress, il est également recommandé de ne pas lire ses messages au lever ou au moment du coucher.

Les génériques n’ont toujours pas la cote

Les médecins boudent les médicaments génériques. Depuis janvier dernier, ils doivent prescrire les médicaments avec la Dénomination Commune Internationale (DCI) qui contient le nom de la molécule. L’association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir dresse un constat sans appel : 73 % des médicaments sont toujours prescrits sous la marque. Seulement 27 % des prescriptions le sont avec la molécule. Actuellement, aucune sanction n’est prévue par la loi pour les médecins qui ne suivent pas cette démarche visant à favoriser les médicaments génériques.

Création d’un centre consacré aux soins palliatifs

La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé la création du Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie. L’objectif ? Mieux informer les patients sur les soins palliatifs et les droits liés à la fin de vie. Cette structure est issue de la fusion du Centre national de ressources en soins palliatifs et de l’Observatoire national de la fin de vie. La présidente de ce nouveau lieu est le Dr Véronique Fournier, directrice du centre d’éthique clinique de l’hôpital Cochin.

La pilule contraceptive ne serait pas responsable de malformations congénitales

Une étude publiée dans le British Medical Journal s’est intéressée au lien entre la prise de la pilule et les malformations congénitales (système nerveux, tête, cœur…). Et la conclusion est rassurante. Les femmes qui ont continué à prendre la pilule au début de leur grossesse n’avaient pas plus de risques d’avoir des enfants avec une malformation congénitale que ceux dont les mères ne prenaient pas de contraception orale. Des résultats qui vont certainement rassurer de nombreuses femmes.

APEI-Actualités. Johanna Amselem

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