Les cerises au diméthoate interdites en France
Certaines cerises sont bannies des étals français. Suite à une décision du ministère de l’Agriculture et de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), les agriculteurs français n’ont plus le droit d’utiliser le diméthoate pour cultiver leurs cerises. Mais certains voisins européens continuent d’utiliser cet insecticide nocif. Depuis le 25 avril 2017, les cerises traitées avec ce produit ne peuvent plus être importées ou commercialisées sur le sol français. Une suspension en vigueur jusqu’au 31 décembre prochain.
Soigner un chagrin d’amour avec un placebo
Une histoire d’amour qui se termine entraîne généralement un long chagrin. Une équipe de chercheurs américains s’est intéressée à la manière de soulager cette douleur. Ils ont suivi 40 personnes ayant souffert d’une rupture amoureuse dans les six derniers mois. L’étude a mis en avant que, si la douleur est réelle, elle peut néanmoins être soulagée avec un placebo. En effet, la moitié des volontaires a reçu un spray nasal censé améliorer leur état et l’autre moitié a bénéficié du même spray mais pensant qu’il s’agissait seulement d’une solution saline. Résultat ? Le premier groupe a ressenti une douleur émotionnelle moins forte que les autres participants.
La bière plus efficace que le paracétamol ?
Étonnant ! Des chercheurs de l’université de Greenwich (Angleterre) ont décidé de s’intéresser aux bienfaits de la bière. Ils ont constaté qu’une consommation de deux pintes pouvait réduire d’un quart une douleur physique. Une fois que le taux d’alcoolémie dépasse 0,08 gramme par litre de sang, la tolérance à la douleur est augmentée. Son effet pourrait donc être supérieur au paracétamol. Attention, pas question pour autant de boire davantage ! N’oubliez pas que l’alcool doit toujours être consommé avec modération et que son abus est dangereux pour la santé.
Du changement dans la consultation chez le médecin
Depuis le 1er mai, la consultation chez le médecin généraliste est passée à 25 euros chez la quasi-totalité des professionnels. Mais cette hausse ne devrait pas peser dans le porte-monnaie des Français. Pour les 95 % d’assurés qui bénéficient d’une complémentaire santé, ils seront toujours remboursés de la même façon. Pour les médecins, cette augmentation de deux euros reste insuffisante et le tarif en vigueur reste éloigné du vrai coût d’une consultation.
APEI-Actualités. Johanna Amselem