Âgé de 44 ans, il en fait aisément dix de moins. Grâce au chocolat ?
Tout petit, Olivier Viel s’intéressait déjà à ce produit. Il en garde une cicatrice au bras, suite à une chute après être monté sur un évier pour atteindre le produit convoité, à Tourouvre, sa commune d’origine.
Tourouvre, où il a commencé à apprendre le métier car « on apprend toute sa vie ».
Il a été salarié, patron, puis salarié à Alençon, avant d’y créer, il y a deux ans, « le Petit chocolatier ».
Pourquoi « petit » ? « Parce que je ne suis pas grand, parce qu’on m’a toujours appelé « le petit chocolatier », et puis par modestie ».
C’est quoi, un bon chocolat ? « Quelque chose de sobre et qui fond en bouche. Sans artifices. Le palais parle ».
La tablette d’argent décernée par le club des Croqueurs de chocolat aussi. Ainsi que la marque des dents, signe d’un produit frais.