Depuis 2006 et ses débuts au Café de la Danse, Michaël Gregorio a bien grandi : Un premier spectacle J’aurais voulu être un chanteur suivi de Michaël Gregorio pirate les chanteurs (qui sera double DVD d’or).
1 million de spectateurs l’ont vu sur scène
Avec Michaël Gregorio En concertS, il se produit dans des salles de plus en plus grandes dont le prestigieux Théâtre du Châtelet, une première pour un imitateur. En tout, plus d’1 million de spectateurs l’ont vu sur scène !
Performer, musicien et véritable bête de scène, il est capable de déchaîner une salle.
De retour en 2016
Pour fêter ses dix ans de scène avec son équipe, Michaël Gregorio revient avec un spectacle-événement inédit et festif. Après une cinquantaine de dates de tournée, il donne rendez-vous à son public le 16 décembre 2016 à Bercy. Mais les spectateurs alençonnais auront le plaisir de le découvrir avant le 24 novembre à Anova.
Pour l’occasion, Michaël fait les choses en grand : les meilleurs moments de ses trois spectacles revisités dans une scénographie innovante, des sketchs inédits, des nouvelles voix, des surprises…
►►► Extraits d’une interview réalisée par Jean Rimbaud
■ Comment se passe cette nouvelle tournée qui a démarré depuis février dernier ?
“Ça se passe merveilleusement bien. On a un très bel accueil du public, de la presse aussi, donc ça c’est vraiment cool, et puis pour toute l’équipe ça fait du bien de se retrouver, de retrouver la route , de retrouver la scène. En plus le spectacle a été finalement construit comme un véritable terrain de jeu, donc c’est beaucoup de fatigue mais c’est surtout beaucoup de plaisir”.

■ Surtout que le repos a été très court, il y a eu quoi en durée, une petite année ?
Un peu moins même… Et il a fallu travailler sur ce spectacle, donc c’est un repos qui a été encore plus court qui légitime ces dix ans de tournée ? Alors disons que oui effectivement il y a eu quelques mois d’arrêt, ce qui nous a permis de bosser le nouveau spectacle. Ce qui m’a permis aussi de tourner aussi une série qui s’appelle « Malaterra »qui a été diffusé sur France 2 il y a quelques mois. Oui on ne sait quand même pas vu pendant plusieurs mois, ça ne nous était pas arrivé depuis neuf ans. Donc ça nous a fait bizarre de ne pas se voir pendant un certain temps, de ne pas jouer aussi moi ça m’a fait quand même vachement bizarre.Je me souviens un jour je tournais justement pendant la fête de la musique, je tournais en Corse la série, et il y avait toutes les scènes comme ça qui se montaient avec les concerts le soir, et puis tous les techniciens comme ça qui étaient là derrière , et puis moi le soir je ne jouais pas, et ça m’a fait un petit pincement au cœur donc là je suis content d’être sur scène à nouveau”.
■ Alors comment vous êtes arrivé à l’idée de la genèse de ce « J’ai dix ans », ça s’est passé comment ?
“Au tout début en fait pour être honnête on ne devait faire qu’une seule date, on ne devait faire qu’une date à Bercy. On devait enchaîner la tournée En ConcertS, et terminer à Bercy, et puis moi j’écrivais, j’écrivais, j’écrivais, et puis il y avait plein de nouveautés. Il y a plein de choses qui arrivaient. J’avais envie de mettre des nouvelles voix, et du coup on s’est dit tant qu’à faire pourquoi ne pas promener ce spectacle un petit peu partout dans les autres villes, et un petit peu partout en France, en Suisse, en Belgique et ailleurs aussi, c’est-à-dire qu’il y avait tellement de nouvelles choses, c’était dommage de ne les faire qu’une seule fois. Voilà et du coup on s’est dit on repousse Bercy d’un an, et puis on démarre en février finalement à Lille, et c’est comme ça que le spectacle s’est appelé « J’ai dix ans » puisque on tombait en 2016, c’était dix ans pile poil après mon premier café de la danse, et du coup il y a eu tous ces thèmes qui sont arrivés, l’enfance, etc… etc….”

■ On va en reparler dans le détail mais « J’ai dix ans « consacre en grande partie les années quatre- vingt dix qui ont été très importantes pour vous ? (pas très vendeur, peut-on décaler cette question après la question 4 sur les nouveautés ?)
“Et alors oui les années quatre-vingt-dix effectivement il y a un gros numéro là-dessus puisque moi j’ai eu dix ans dans les années quatre-vingt-dix donc ça a été vraiment l’occasion de retrouver cette époque de travailler tout un pan de la musique que je n’avais jamais eu l’occasion de bosser, donc ça va vraiment des Boys band comme les 2 be 3 à la dance comme les Night Crawlers ou les Reel to Real en passant par Aqua « Barbie Girl » ou Nirvana, Rage against the Machine, ou Youssou N’Dour & Neneh Cherry, un clin d’œil aussi à la série Friends. Voilà donc il y a tout un numéro comme ça autour des années quatre- vingt dix c’est vrai”
■ Vous avez aussi travaillé de nouvelles voix qui sont, elles dans l’actualité musicale ?
“Il y a des nouvelles voix, il y Maître Gims, il y a Stromae, il y a Kendji Girac, il y a Vianney, il y a Bruno Mars aussi voilà pour les voix dans l’actualité.”
■ Comment vous vous dites, allez j’aime bien cet artiste ça marche bien, j’ai envie de le reprendre dans mon spectacle, ça marche à tous les coups ? Comment démarre cette genèse ?
“Ça dépend je ne suis pas obligé d’aimer l’artiste aussi, ce n’est pas forcément obligatoire même si ça peut aider parfois. Ca peut aussi être un frein donc effectivement l’actualité musicale c’est quelque chose qui est vraiment déterminant dans le choix des artistes présents,mais pas seulement. Ca peut être le plaisir de retrouver soit un artiste que j’aime bien, soit une chanson ou un artiste que les gens apprécient.”
► Pratique
Pour tout renseignement sur le spectacle de Michaël Grégorio le 24 novembre 2016 à 20 heures à Anova Alençon, c’est [ICI]